Grand-mère effondrée...

Forum parents
sacha95
Messages : 1
Inscription : 22 août 2017, 19:13

Grand-mère effondrée...

Message par sacha95 »

Bonjour à tous,
Je vous écris ce samedi car je suis en grande souffrance et je n'ai personne à qui confier ma profonde tristesse...
J'ai élevé ma fille seule et nous avons une relation très fusionnelle. Celle-ci aujourd'hui bientôt âgée de 40 ans, a eu 2 enfants,un garçon de 14 ans et une fille de 9 ans.
J'ai eu la chance de les voir grandir et de partager de merveilleux moments.
Après une relation de 15 ans, ma fille s'est séparée du père de mes petits enfants.
Chacun ont refait leur vie de leur côté, le tout en 1 an et ils ont opté pour la garde alternée...
Ce bouleversement familial a été très dur pour ma fille car elle a dû chercher un nouveau logement et se séparer se des enfants qu'elle chérit par dessus-tout.
Je n'ai pas eu de peine quant à cette séparation, mon ex gendre et moi n'ayant jamais eu d'affinités et encore moins avec sa famille.
Aujourd'hui,le renouveau familial semble avoir trouvé sa place, si ce n'est l'attitude mon petit-fils vis à vis de sa mère et de moi.
Il rabaisse sa mère en permanence, ne travaille pas au collège et se montre insolent et méprisant.
Je vois ma fille en grande souffrance lorsque les enfants sont chez elle.
Lorsque je l'ai vue cette semaine, ma fille m'a fait part de sa profonde souffrance vis à vis de son fils, qu'elle sentait qu'il ne l'aimait plus.
Il s'enferme durant des heures pour jouer à la PS4 et discuter sur son portable avec ses copains. Ma fille fait tout ce qu'elle peut pour lui faire plaisir ainsi que moi-même, mais on ne peut rien lui dire. Il lui parle mal et pense qu'il a tous les droits.
Je l'ai affronté et lui ai fait part de ma colère devant son comportement que j'ai jugé de "minable" de faire souffrir sa mère à ce point.
La situation s'est détériorée et nos propos ont été vraiment très brutaux.Je suis à ses yeux "une grand-mère de papier"...

J'aurais dû partir au lieu de l'affronter et je m'en veux d'avoir laissé exploser ma colère de cette manière.
Ma fille rentrant à la maison n'a pu que constater que mon petit fils pleurait et il lui a expliqué ce qui s'était passé.
Apprenant que j'avais révélé en partie ce qu'elle m'avait exprimé, elle s'est mis profondément en colère , m'a dit que c'était à elle de régler cela et que je n'avais pas à prendre sa place et m'a demandé de partir, alors que je n'ai voulu que la défendre...

Voilà. Depuis plus de nouvelles. J'ai envoyé un texto à ma fille pour lui demandé pardon d'avoir "révélé" certaines de ses confidences, ignorant que c'était un secret et que j'e n'avais aucunement eu l'intention de prendre sa place. Je n'ai pas eu de réponse.

Je me sens très mal et coupable car non seulement j'ai profondément blessé ma fille et humilié mon petit-fils.Mais de mon côté,je ne sais plus où est ma place de grand-mère.
Ma famille est le centre de ma vie et je me sens aussi terriblement dévalorisée à travers tout cela.
Je ne sais pas si la relation s'améliorera mais elle laisse beaucoup de séquelles je pense à tout le monde.

J'ai besoin de votre aide. Merci de m'avoir lue.
Dubreuil
Psychologue clinicien
Messages : 19379
Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: Grand-mère effondrée...

Message par Dubreuil »

]Déjà, l'important c'est en effet de reprendre une relation " normale " avec votre fille. Parce que votre petit fils va se sentir encore plus déstabilisé tout en se retrouvant " tout puissant " face aux " deux femmes de sa vie ".
Le différents qui vous oppose ne concerne pas seulement votre petit fils. C'est également " un règlement de compte " de génération. La petite fille a grandit, dans son enfance elle devait obéir à sa maman ( vous ) et ce qui n'a pas été dit par peur ou rancœur peut prendre l'excuse de l'éducation de l'enfant… Là aussi il faut avant tout régler toutes les deux " vos contentieux ".

Dommage donc que votre fille n'ait pas saisi la balle au bond,( croyant asseoir son autorité ) pour se souder avec vous, montrer au petit garçon qui a besoin d'une Loi des adultes que c'était ainsi et pas autrement.
Votre petit fils aura très vite fait d'accéder au chantage, et de " manipuler " l'une ou/et l'autre, avec aussi pas mal de " mépris " pour les interdictions, voire même celles qui les profèrent.

MAIS... 14 ans c'est aussi l'adolescence, et aucun enfant n'y échappe. La plupart de ses réactions sont " normales ", correspondent aux clichés bien connus, et tout rentre plus ou moins dans l'ordre vers 17/18 ans.
D'autre part, un jeune homme de 14 ans n'a PLUS GRAND BESOIN d'environnement féminin régulier ! A part pour se plaindre, se faire " chouchouter " et tester sa jeune autorité de mâle ( !!! ) Son identité se fait, et doit s'établir " du côté du père. Du côté de l'image sexuée de l'homme qu'il va devenir.
C'est à lui maintenant que doit incomber la Loi, les gronderies et explications, les punitions.
D'une semaine à l'autre, il ne doit pas y avoir 2 mesures. Papa et Maman restent " les commandants " et la punition suit dans l'autre famille ( si la situation a été grave bien sûr). Père et mère doivent chaque semaine se consulter et savoir ce qui va bien, et ce qui ne va pas !
La maman ( les femmes ) protègent le petit garçon, l'éduque à la sensibilité, l'écoute, le respect du plus faible, etc , maisson devenir est du côté du masculin. Et c'est avec son père qu'il doit apprendre à vivre ses relations... avec les femmes ! Tout va dépendre du discours du père, sur vous, sur la mère, sur lerespect qu'i lvous apporte...
Dans la situation qui vous échoit, c'est au père de dire à son fils qu'ilne doit pas dépasser les bornes. Pas à vous à vous défendre comme des victimes.

Si vous voyez votre petit fils très souvent, autant que la maman, vous devez impérativement toutes les deux vous mettrent d'accord sur ce qui permis et interdit, sur les punitions éventuelles, les sorties, etc, etc... il doit savoir que c'est ainsi et pas autrement. Et votre autorité à toutes les deux sera préservée sans peine.
Si vous voyez rarement votre petit fils, ou de temps à autre, ou une fois par semaine, par exemple... détachez-vous de son éducation. Dites à votre fille que c'est à elled'exiger qu'il ne vous manque pas de respect. Chaque fois que vous pouvez : déléguez, en disant : - C'est ta maman qui sait, qui doit décider, etc... ou encore : Tu as été très incorrect avec moi, j'en parlerai à ton papa et ta maman et NOUS VERRONS ENSEMBLE quelle punition tu auras...
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
Psychologue clinicien
Messages : 19379
Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: Grand-mère effondrée...

Message par Dubreuil »

Voilà. Depuis plus de nouvelles. J'ai envoyé un texto à ma fille pour lui demandé pardon d'avoir "révélé" certaines de ses confidences, ignorant que c'était un secret et que j'e n'avais aucunement eu l'intention de prendre sa place. Je n'ai pas eu de réponse.
*** Laissez tomber, n'en faites plus de cas.
C'est fait, c'est passé.
Libre à elle de continuer à jouer les offensées ( contentieux autre certainement, entre vous deux… )
Pourquoi vous rabaisser ? Vous avez fait ce que vous avez jugé bon pour elle, vous l'avez " défendu "....
Vous avez fait le maximum.

Quant à votre petit fils, dommages, les grandes personnes ressemblent aux copinesqu'il avait au CP !
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
Psychologue clinicien
Messages : 19379
Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: Grand-mère effondrée...

Message par Dubreuil »

LA CRISE D'ORIGINALITE CHEZ L'ADOLESCENT

Une horreur de la banalité, une propension à faire de soi quelqu’un d’exceptionnel et d’unique, caractérise l’adolescent. Ce désir d’originalité débute aux environs de 14 ans pour la fille et 15 ans pour le garçon. Il constitue un des premiers éléments de la "puberté mentale" qui accompagne les transformations d’ordre physiologique. La crise d’originalité désigne la forme la plus visible et la plus complète du désir d’originalité. Cette crise n’est pas permanente, elle présente des fluctuations. Son début est très souvent rattaché à un événement tel que l’éloignement, la mort d’un être aimé, un brusque changement dans l’existence, un chagrin d’amour, une ambition déçue, etc. Cette crise éclate soudainement et avec violence et présente deux faces :
- une face individuelle se caractérisant par l’affirmation de soi avec exaltation, une contemplation et une découverte du Moi comparable à la découverte du corps chez le bébé. Elle peut se traduire par un goût de la solitude, du secret, par des excentricités vestimentaires, comportementales, langagières ou épistolaires. La pensée est avide d’inédit et de singulier. La passion de réformer, de moraliser ou de bouleverser le monde est intense. Plusieurs degrés existent. - Une face sociale se manifestant par la révolte juvénile : révolte à l’égard des adultes, des systèmes de valeurs et des idées reçues. Les adolescents adressent deux griefs à l’égard des adultes : leur manque de compréhension et le fait qu’ils attentent à leur indépendance. En fait, il s’agit d’une révolte vis à vis de tout ce qui peut gêner cette affirmation de soi.

LA CRISE JUVENILE SIMPLE

Dans les crises juvéniles simples, l’acceptation de l’image de soi est assez facile, les réactions de l’adolescent sont liées à des motivations vivantes et chargées d’angoisse. En consultation, le médecin ou le psychologue apparaît réel, solide dans l’esprit de l’adolescent. Si les attitudes d’échec sont observables, elles sont réversibles et l’intelligence reste disponible.
Au contraire, dans les crises juvéniles sévères, l’acceptation de l’image de soi est difficile. En consultation, le praticien semble flottant, incertain, décevant aux yeux de l’adolescent. Trois tableaux caractéristiques sont décrits :
- La névrose d’inhibition, avec des inhibitions multiples, une difficulté à s’exprimer, une crainte de la personne du sexe opposé, une inhibition intellectuelle et sociale avec souvent des traits phobo-obsessionnels. - La névrose d’échec avec échec scolaire, échec sentimental, expression brutale d’interdit surgissant de l’inconscient, refusant le succès que semble souhaiter le conscient. La pensée devient perturbée, labile, instable, investie par des problèmes névrotiques ; - La morosité, qui n’est ni la dépression ni la psychose, mais un état proche de l’ennui infantile : "je ne sais pas quoi faire, à quoi m’intéresser, à quoi jouer, etc.". C’est un état qui manifeste un refus d’investir le monde, les objets, les êtres, la sexualité, plutôt qu’une perturbation thymique véritable. La vigilance est de mise en raison des risques passages à l’acte : fugue ou délinquance, drogue, suicide.
Ces crises sévères doivent cependant être distinguées des aspects dissociatifs où l’image de soi n’est plus acceptée du tout, et où, en plus, on observe parfois une division de la personnalité avec des bizarreries sortant du cadre de la simple originalité. Une schizophrénie débutante doit naturellement être évoquée, mais sans précipitation, et une consultation spécialisée s’impose. Le devenir avec le temps semble un des meilleurs critères diagnostiques.

LA CRISE DE L'ADOLESCENCE
Le cerveau se développe très rapidement durant la petite enfance puis adopte une vitesse de croisière assez lente jusqu’à l’âge adulte.
Le cerveau est formé à 95/100 dès l’âge de 5 ans, mais les secteurs les plus sophistiqués ne complètent leur développement qu’à la fin de l’adolescence. Dans le cerveau, la partie appelée corps calleux est un ensemble de nerfs réunissant tous les secteurs du cerveau qui participent à son bon fonctionnement, par exemple dans la prise des décisions
Cet ensemble de « câbles » est indispensable à l’intelligence, à la conscience, à la connaissance de soi.
Au tout début de l’adolescence le cortex préfrontal connait une poussée de croissance spectaculaire. L’essentiel de la maturation de cette partie du cerveau a lieu entre 12 et 20 ans.
Vers 20 ans le cortex est pratiquement maître du contrôle des émotions, de la maîtrise de soi, et de la rationalité des décisions.
Tant que le cortex frontal est inopérant les systèmes de compréhension de soi et des autres sont plus ou moins anarchiques.
Sport, musique, réussite scolaire, sens des responsabilités, conscience sociale, peuvent être câblés chez les adolescents.
Il se peut que les années de l’adolescence soient arqués par la rage, la dysfonction, et la désaffection, et ces aspects peuvent restés « gravés » dans la tête de l’adolescent à son passage adulte.
Tout comme le cerveau de l’enfant, celui de l’adolescent est parfois instable, dys-fonctionnel, et imprévisible. On pourrait dire qu’ils ont des circuits nerveux tout neufs qui se déclenchent souvent de façon inattendue. Ils sont momentanément inaptes à contrôler leur impulsivité, à anticiper, et à comprendre les conséquences probables de leurs actes.
Impulsivité et goût du risque sont extrêmement importants dans le développement de la maturité et de l’identité de l’adolescent.
Il est dangereux de demander à un adolescent de se conduire comme un adulte, ou qu’il le fasse en croyant disposer de tous les privilèges de cet état. Il ne sera pas encore en mesure de gérer son autonomie, l’indépendance de ses décisions, et l’évaluation de sa propre conduite, son cerveau ne maîtrise pas tout.
Les impulsions cérébrales l’emportent sur le jugement, le comportement souvent particulier est dû à des « ratés » du système nerveux, sans plus. Il faut attendre que ça passe.
La croissance désordonnée du cerveau peut se traduire par d’imprévisibles modes de pensée, où les réactions subites l’emportent sur le jugement rationnel.
Une déficience neurologique peut empêcher l’enfant, puis l’adolescent à bien identifier et se servir correctement des émotions sociales, telles que la peur ou la colère.
Tout ceci ne sont pas des défauts de caractère, de la méchanceté, de la perversion narcissique, mais le résultat transitoire d’un vice de « câblage » qui se réglera avec le temps !
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
Psychologue clinicien
Messages : 19379
Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: Grand-mère effondrée...

Message par Dubreuil »

LE COMPLEXE DU HOMARD

Dolto a inventé cette image pour représenter la crise d’adolescence. L’enfant se défait de sa carapace, soudain étroite, pour en acquérir une autre. Entre les deux, il est vulnérable, agressif ou replié sur lui-même. Mais « ce qui va apparaître est le produit de ce qui a été semé chez l’enfant », avertit Dolto. Les parents devraient donc voir les crises explosives comme une preuve qu’ils ont rempli leur contrat, les repères éducatifs s’avérant suffisamment souples pour « sauter » au bon moment.
A l’inverse, si les parents sont trop rigides, l’ado restera prisonnier de sa carapace et désarmé face à la dépression. "

REPONSE INTERNAUTE sur Centraide
ADOLESCENCE

- Dans quel sens on peut interpréter cette explosion. Ne peut-elle pas autant s'exprimer par un replis prononcé (c'est imploser alors), que par une extériorisation impulsive?
Mais dans cette situation, ne pas se laver, rester devant la console, serait rester prisonnier?
Parce que, quoi qu'il en soit, ou la façon dont celle-ci est exprimé, la "crise", ou se passage, est invariable.
Peut importe alors la façon dont l'ados exprime sa crise, l'on ne peut qu'y faire "face"; on y répond, il est aussi bien évident que le cadre ou les limites évolue en fonction de l'âge et de la maturité de l'enfant? ba, si le cadre est suffisamment claire, il en est finalement le même (ou presque) entre les adultes et les enfants (on ne tape pas, par exemple). L'enfant s'amène avant tout, à trouver plus de liberté, simplement, c'est celle qu'il acquière par sont autonomie, c'est sa liberté d'existence qui l'amènera jusqu'à sont émancipation, sa vie d'adulte. C'est donc plutôt des droits et liberté que l'on acquière du à notre maturité, plus que de nouveaux cadres et repère? Ou bien il se complète tout de même car elles sont aussi l'expression de droit et d'interdit.

- Que demande t-on, que peut-on demander à l'autre (l'ados) dans notre désir (?) ou position d'éducation, nos obligations d'éducation, ce que l'on peut faire ou amener à l'autre pour l'aider ou le soutenir dans le développement de sa vie.
Peut-on imposer face à celui qui s'oppose, comment s'amener à aider l'ados qui se laisse "se perdre?", jusqu’où ira t-il, finalement, on se laisse prendre de doute, sur sont avenir, sur des attentes, social, ou autre, qui ne sont pas encore affirmé.
- Parce que l'ados est en "crise", en développement, qu'il passe par des phases d'agitations qui l'amène à tout ses comportements qui nous paraisse immature, inconscient, risqué...

Mais l'est-il réellement, l'ados finis t-il toujours à sa perte, quand bien même tous ses comportements? Ne craignons pas des choses qui n’arrive que dans nos "cauchemars", par le fait de trop s'approprier la vie de notre enfant, de ne pas lui faire suffisamment confiance, d'avoir des aspirations et des désirs qui ne sont pas les nôtres, car l'ados acquière toujours plus sont identité et ses propres valeurs au dépends et aux plus grand mal, parfois, des parents qui ont du mal à accepter que leurs enfants n'est pas le reflet de leurs désirs et de se qu'il idéalisait à travers leur enfant.
Ce qui nous inquiète chez notre enfant est le résultat de nos craintes, de ce que l'on aspire pour le bien-être et la réussite de notre enfant, il est donc évident que l'on s'y implique pour le voir reprendre "forme". Mais comment l'aider de notre côté pour ne pas se laisser débordé et l'amener à prendre conscience de cette "réalité"(?). L'ados vie autant le réelle que nous, c'est jusque que sont développement encore immature le laisse paraître comme on le voit de notre position. Mais quelque part, à chaque instant de notre vie on se laisse percevoir notre immaturité d'hier, (à 60 ans je me perçoit immature à 40 ans...).

L'expression de cette fameuse crise en est (normalement) que passage, une façon de pouvoir s'écarter, d'aller vers d'autre limite, d'expérimenter, celle que l'on nous interdit, celle qui font parfois peur, cela amène à prendre meilleur conscience de nos repères, pour un retour au source, cadre rassurant et prospère, celui toujours connus, car l'être s'amène bien souvent à retrouvé ou se retourner sur se qu'il a connus. (quelque part n'est ce pas pour rien, homme ou femme, retrouvant chez sont partenaire des similitudes avec sont passé, sont enfance; relation au père ou à la mère).

- Alors, que peut-on faire, que doit-on faire, doit-on laisser?
La meilleur chose à faire, je pense, est de garder et maintenir se qui attrait aux besoins essentiel d'une personne. Se sentir reconnus, accepter, comprise, soutenus...
Mais vers ou, jusqu’où peut-on laisser l'autre dans sont escalade, à quel moment réagir, comment réagir face à des comportements alarmant, mais le sont-ils réellement...

Les interdits et les limites sont essentiel et construise une sécurité rassurante, quand bien même elle sont frustrante, l'ados ne fait que vivre ou revivre différemment ses frustrations infantile. Ils leurs donnent une nouvelles approche, un nouveaux sens, une nouvelle signification, se laisse peut-être affirmer la continuité de l'enfance dans cette affirmation, continuant à vérifier le réelle, que sont environnement continus à être suffisamment solide pour l'accompagner face à ses nouvelles inquiétude d'ados, toujours sous le nid familiale, aux angoisses de la séparation (celle qu'il vivait ses premiers mois de vie)...
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Répondre
  • Sujets similaires
    Réponses
    Vues
    Dernier message

Revenir à « Forum parents »

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 12 invités