j'ai un ami imaginaire a 16 ans
j'ai un ami imaginaire a 16 ans
j'ai un ami imaginaire a 16 ans, il s'appel Bobi, et c'est un espri
Re: j'ai un ami imaginaire a 16 ans
je discute, rigole, lie, et vais au collège avec lui...
Re: j'ai un ami imaginaire a 16 ans
Donnez-lui bien le bonjour de ma part.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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Re: j'ai un ami imaginaire a 16 ans
Bonjour c'est intéressant ça !
Vous le voyez réellement ou c'est juste discuter en l'imaginant ?
Je n'ai jamais eu d'amis imaginaires.
Vous le voyez réellement ou c'est juste discuter en l'imaginant ?
Je n'ai jamais eu d'amis imaginaires.
Re: j'ai un ami imaginaire a 16 ans
Tout dépend de ce que entendez par " ami imaginaire " ?
Vous avez des posts à ce sujet sur ce forum, les avez-vous lus ?
En voici un parmi les autres...
Ami imaginaire
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Messagepar fireworks09 » 07 déc. 2014, 10:10
Bonjour
Je suis une fille de 17 ans et je manque cruellement de confiance en moi, je doutes de tout et me dévalorise constamment bref classique. A l'extérieur j'essaye de ne pas le montrer, si on se montre vulnérable on se fait bouffer.
Du coup je me suis crée un sorte de personnage qui me parle, qui m'encourage, et qui me tient la main quand je suis seule. Je suis consciente que cet être imaginaire, ami imaginaire n'existe pas mais je reste perplexe sur le sain de la chose.
Je n'arrive pas à avancer, j'ai un vide incessant et lancinant en moi. Je le comble avec la bouffe et la dépendance affective (le mot est fort mais c'est un peu ça)
Merci de me donner des pistes
Messagepar Dubreuil » 07 déc. 2014, 11:43
Ce n'est pas pathologique de s'inventer un personnage pour ne pas être trop seule. Ce qui me fait dire cela c'est que c'est volontaire de votre part et que vous l'avez créé pour vous épauler, vous encourager. Comme une présence aimante et bienveillante. Un peu ce que le petit enfant attend de sa maman.
Vous n'êtes pas " manipulée " par une voix qui vous enjoint de la croire et vous incite à faire le mal. Ce qui se trouve dans les délires psychiques.
Côté psychologique, il est très courant de rencontrer des personnes ( ce n'est pas votre cas je l'espère ) qui ayant subi des traumatismes ont recours à ce procédé pour " se protéger " de la dépression, ou encore de juguler leur terreur d'en perdre la raison. C'est donc un excellent " garde-fou " contre la psychose.
Pour conclure, cela rejoint l'exemple de milliers de personnes qui se parlent à elles-mêmes pour se féliciter ou se " gronder " d'un truc dont elles sont fières ou pas. Ce que l'on se dit aussi dans l'effort pour se donner du courage, ou encore ce que l'on " s'invente après coup " à la suite d'une situation où l'on ne s'est pas senti brillant, et où on refait l'histoire en se donnant le beau rôle ou en trouvant les réponses que l'ont aurait du donner au moment ou cela se passait !
Vous avez des posts à ce sujet sur ce forum, les avez-vous lus ?
En voici un parmi les autres...
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Messagepar fireworks09 » 07 déc. 2014, 10:10
Bonjour
Je suis une fille de 17 ans et je manque cruellement de confiance en moi, je doutes de tout et me dévalorise constamment bref classique. A l'extérieur j'essaye de ne pas le montrer, si on se montre vulnérable on se fait bouffer.
Du coup je me suis crée un sorte de personnage qui me parle, qui m'encourage, et qui me tient la main quand je suis seule. Je suis consciente que cet être imaginaire, ami imaginaire n'existe pas mais je reste perplexe sur le sain de la chose.
Je n'arrive pas à avancer, j'ai un vide incessant et lancinant en moi. Je le comble avec la bouffe et la dépendance affective (le mot est fort mais c'est un peu ça)
Merci de me donner des pistes
Messagepar Dubreuil » 07 déc. 2014, 11:43
Ce n'est pas pathologique de s'inventer un personnage pour ne pas être trop seule. Ce qui me fait dire cela c'est que c'est volontaire de votre part et que vous l'avez créé pour vous épauler, vous encourager. Comme une présence aimante et bienveillante. Un peu ce que le petit enfant attend de sa maman.
Vous n'êtes pas " manipulée " par une voix qui vous enjoint de la croire et vous incite à faire le mal. Ce qui se trouve dans les délires psychiques.
Côté psychologique, il est très courant de rencontrer des personnes ( ce n'est pas votre cas je l'espère ) qui ayant subi des traumatismes ont recours à ce procédé pour " se protéger " de la dépression, ou encore de juguler leur terreur d'en perdre la raison. C'est donc un excellent " garde-fou " contre la psychose.
Pour conclure, cela rejoint l'exemple de milliers de personnes qui se parlent à elles-mêmes pour se féliciter ou se " gronder " d'un truc dont elles sont fières ou pas. Ce que l'on se dit aussi dans l'effort pour se donner du courage, ou encore ce que l'on " s'invente après coup " à la suite d'une situation où l'on ne s'est pas senti brillant, et où on refait l'histoire en se donnant le beau rôle ou en trouvant les réponses que l'ont aurait du donner au moment ou cela se passait !
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: j'ai un ami imaginaire a 16 ans
oui, je le voie, il me conseil, et c'est mon meilleur ami. il a l'aparence d'un bhonome fantôme, avec un bonnet marron.
Re: j'ai un ami imaginaire a 16 ans
Et… que voulez-vous que cela nous fasse si vous vivez en bonne intelligence avec lui ?
Tout va bien donc. Donc bonne route. ( évitez l'hopital psychiatrique quand même )
Tout va bien donc. Donc bonne route. ( évitez l'hopital psychiatrique quand même )
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