Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

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MarineD77
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Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par MarineD77 »

Bonjour, je m''appelle Marine, Je vais avoir 21 ans en octobre et je suis dépendante des anxiolytiques depuis l'age de 14 ans, du au stress causé par les examens scolaires que je ne savais pas maîtriser...
Depuis 5 ans je suis sous Lexomil, j'étais à une barrette par jour voir plus. En 2010, je me suis faite hospitalisée en médecine générale et non psy pendant une semaine, pour des douleurs abdominales inconnues, un psychiatre venait me rendre visite tout les 2 jours et m'a mis un Neuroleptique car mes douleurs étaient apparemment psychologiques. Seulement j'ai eu une réaction au Neuroleptique, médicament trop fort pour moi (Dogmatil) et qui est généralement prescrit en cas de psychose ce qui n'était pas mon cas, de plus, je n'avais que 18 ans... J'ai eu des dyskinésies, rotations involontaires des yeux et de la tête qui ont durer toute une soirée, traumatisée et repensant au film l'exorciste en voyant que ma tête venait presque à faire un tour sur elle même si je ne l'a tenais pas, j'hurlais que j'étais possédée et j'étais en larme... Le psychiatre voulait que je continue le traitement mais l'ai supplié de l'arrêté, ça s'est passé un vendredi, je suis rentrée le lundi avec mes parents. Le psychiatre m'avait menacée à deux reprises, la première fois c'est parce que le matin de l'incident je voulais rentrée chez moi, il m'a dit, si tu insiste pour rentrer je te fais internée d'office. La seconde fois c'était pour rentrer, il a dit à mes parents, si ces crises lui reprennent ramenez là et on s'occupera d'elle.

Depuis ce jour j'ai été traumatisée, je doublais la dose de mon lexomil, la moindre secousse musculaire ou douleur à la nuque me rappelait mon horrible expérience, je ne prends plus d'anxiolytiques que je ne connais pas par appréhension, ne prends aucun antidépresseur etc. J'ai vu un Psychiatre et une psychologue en 2011 c'était vers mars, dans un CMP, là j'ai compris que ça ne s'arrangeait pas, la psychologue ne m'aidais pas, elle ne faisais que m'écouter mais ne me conseillais rien de faire, en gros je parlais et pleurais dans le vide, et chaque fois que j'entrais dans son cabinet j'avais des crampes d'estomac... Et le psychiatre qui paraissait sympathique au final après avoir parler avec mon père, voulait m'envoyer dans une clinique pour m'aider mais je refusais, c'est ma phobie, la peur d'être internée, la peur d'être forcée de prendre des médicaments contre mon plein gré, tout ça... Puis le psychiatre à commencé à me parler de névrose, là je ne me suis pas inquiétée, jusqu'à ce qu'il prononce le mot qu'il ne fallait pas "Neuroleptique", je peux vous en prescrire un me dit-il, cela vous aidera, j'ai refuser de suite, lui ai expliquer pourquoi, il m'a dit que ça me ferait du bien, que j'en arriverait surement là un jour de toute façon, qu'il ne m'y forçait pas mais insistait tout de même jusqu'à me dire qu'il pouvais me prescrire un correcteur contre les dyskinesies en plus, mais j'ai refuser. Après cela je n'ai plus jamais voulu le revoir.

Ma phobie, en plus des médicaments qui provoquent des dyskinesies, ce sont les psychiatres qui pourraient me faire interner à tout moment, rien qu'avec l'appui de l'entourage qui est contre moi et ne me comprend pas, ou toujours vouloir me prescrire des médicaments, alors je ne peux plus voir de psychiatre, ça m'a suffisamment traumatiser.

A l'heure actuelle, je suis en pleins sevrage de Lexomil, médicament que me prescrit mon médecin généraliste, j'ai diminuer au début de 3/4 un jour sur deux, l'autre jour j'en prenais une barrette complète. Après deux mois, j'ai tenté de passé à 3/4 deux jours sur 3, le 3eme jour j'en prend une barrette. Mais voilà le problème, je suis tombée en dépression récemment, maux de tête, fourmillement dans la tête, envie de pleurer tout le temps, aucun motivation, je dors tout le temps, je me sens triste et culpabilise pour tout, j'ai une émotion pour peu de chose, même en regardant un film d'horreur je vais avoir envie de pleurer... C'est affreux. Mais voilà, je suis contre les antidépresseurs et en plein sevrage de mon Lexomil. Cette nuit, j'ai été prise d'une crise d'angoisse et n'ai presque pas dormi, à chaque fois que je commençais à me détendre pour m'endormir, j'avais l'impression de ne plus respirer, que l'air ne rentrais plus et ne sortait plus de ma bouche et que mon coeur allait s'arrêté, et à chaque fois je me levais d'un coup pour respirer comme si je venais de faire un cauchemars... encore là je suis angoissée et ça fourmille dans la tête.

Vous connaissez mon histoire, j'ai besoin d'une aide en dehors des psychiatres et des cliniques, j'accepte les psychologues, hypnotiseurs, et autre thérapies, mais je veux me sortir de ces crises d'angoisses, de ces tensions nerveuses, de ces dépressions. (PS : Je ne suis pas suicidaire même en dépression, la mort m'effraie et je prie chaque jour pour restée en vie)
shadoko
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par shadoko »

Au sujet des psychiatres (qui ne sont QUE des médecins spécialisés dans les "maladies mentales"), j'ai souvent lu que leur problème est qu'ils ne cherchent qu'à soigner les symptômes à coup de médocs sans chercher à soigner les causes psychologiques. Aussi, certains médocs ont des effets secondaires que tu connais certainement ...

Au final, les blessures de ton esprit ne sont pas soignées; les symptômes physiques et physiologiques de tes blessures psychologiques sont plus ou moins bien dissimulés par les médocs, mais les médocs te font subir des effets secondaires qui endommagent un peu plus ton corps et ton esprit; tu développes de nouveaux symptômes et de nouvelles souffrances psychologiques que ton psychiatre veux essayer de cacher avec d'autres médocs; etc; Tu tournes en boucle sans aller mieux pour au final te voir proposer un séjour en clinique ...

L'idéal serait d'avoir un double suivi :
- un suivi psychologique pour soigner les blessures de ton esprit qui sont à l'origine des souffrances et symptômes actuels
- un suivi médical pour obtenir des médocs qui calmeraient certains symptômes qui amplifient ton mal être (insomnies, angoisses, stress permanent ... ?).
J'ai vu un Psychiatre et une psychologue en 2011 c'était vers mars, dans un CMP, là j'ai compris que ça ne s'arrangeait pas, la psychologue ne m'aidais pas, elle ne faisais que m'écouter mais ne me conseillais rien de faire, en gros je parlais et pleurais dans le vide, et chaque fois que j'entrais dans son cabinet j'avais des crampes d'estomac..
Pendant combien de temps as-tu vu cette psychologue ?

Aussi, le role de la psychologue n'est pas nécessairement de te "coacher" en réfléchissant pour toi.
Il me semble que son but est de te permettre d'exprimer toutes les souffrances psychiques que tu gardes en toi depuis des années, parfois sans le savoir depuis ta toute petite enfance. Car ce sont ces souffrances irrésolues ou inexprimées qui sont souvent à l'origine d'un mal être et de la plupart des problèmes comportementaux que l'on rencontre adulte.

Même s'il lui arrive d'occulter certains souvenirs, le cerveau n'oublie pas les événements marquants et traumatisants de son histoire. Et lorsque tu te trouves face à une situation qui évoque de près ou de loin les circonstances d'un événements marquant ou traumatisant à ton inconscient, ton inconscient a l'impression de revivre cet événement marquant ou traumatisant, il te pousse à adopter des comportements irrationnels conditionnés, et tu finis dans un état de détresse que tu as parfois du mal à comprendre.

Je ne sais pas si derrière le stress des examens scolaires que tu avais à 14 ans, et qui t'a conduit à une dépendance aux anxiolytiques, se cachait une blessure psychique importante que tu aurais pu / dû soigner en passant par un suivi psychologique, mais il est clair qu'aujourd'hui tu as subis un traumatisme à cause de ton suivi psychiatrique chaotique ...

Peut-être devrais-tu demander l'aide d'une psychologue pour parler de tout ça et soigner les blessures que ton esprit a subit ces dernières années ?

... mais sans oublier que le role de la psychologue n'est pas de te coacher : son role est de permettre à ton esprit d'exprimer ses souffrances à travers la parole. Il ne faut rien garder d'inexprimé ou d'irrésolu à l'intérieur de soi ! Sinon ça devient comme une plaie qui s'infecte ...

Dans un CMP ce n'est peut-être pas aussi simple, mais si une psychologue ne te convient pas, il est recommandé d'en changer jusqu'à trouver celui ou celle qui te convient.
(PS : Je ne suis pas suicidaire même en dépression, la mort m'effraie et je prie chaque jour pour restée en vie)
Bravo ! Tu vas donc t'en sortir :)
la conscience est le néant et l'infini qui se font face
MarineD77
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par MarineD77 »

Je n'ai fais que 4 séances de psy et suis partie car ça me gavais, j'ai changée deux fois de psychologue, ça n'a rien changé... les deux ne faisait que m'écouter mais moi ce que je veux ce n'est pas déballer mon sac, c'est qu'on me coatch justement pour m'en sortir, m'aider à faire des exercices etc, pas seulement me fait, hum hum... Ok, je vois etc.... car ça me stress deux fois plus c'est comme si on s'en foutais de ce que je disais, ce n'est pas ce que je veux.

Après je n'ai pas d'argent pour payer une ou un psychologue, et les CMP, c'est de la merde, je le dis par expérience.
Je n'ai pas de travail à cause de mes dépressions et mes tensions musculaires qui m'handicapent au travail, du coup je ne sais plus quoi faire, de plus mes parents me menace souvent de me foutre dehors le lendemain de mon anniversaire de cette année car je vais avoir 21 ans, et que je n'ai pas de travail que je ne fais que courir chez les médecins et que c'est leur compte en banque qui trinque...
shadoko
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par shadoko »

MarineD77 a écrit :Je n'ai fais que 4 séances de psy et suis partie car ça me gavais, j'ai changée deux fois de psychologue, ça n'a rien changé... les deux ne faisait que m'écouter mais moi ce que je veux ce n'est pas déballer mon sac, c'est qu'on me coatch justement pour m'en sortir, m'aider à faire des exercices etc, pas seulement me fait, hum hum... Ok, je vois etc.... car ça me stress deux fois plus c'est comme si on s'en foutais de ce que je disais, ce n'est pas ce que je veux.
Honnêtement, 4 séances, c'est un peu court pour se permettre de juger des résultats ... :D

Déballer son sac, c'est parfois une étape essentielle pour se libérer (je parle par expérience personnelle, et en tant qu'observateur sur ce forum). Si le faire devant une psy qui remplie une grille de sudoku (blague ! :D ) en faisant "hum hum ok je vois" te bloque, rien ne t'empêche de le faire ici sur le forum : Tout ce qui te pèse à l'intérieur, tu le sorts. Tu vide tes plaies. Ca ne te coûtera rien, ça te fera peut-être plus de bien que tu ne le crois, et en plus, il y a quelques psychologues et psychothérapeutes très compétents qui gardent un oeil sur nous tous et qui, à l'occasion, pourront te guider.

CECI DIT, je comprend parfaitement ton envie d'aller de l'avant et au plus vite en étant coatchée, puisque cela fait de trop nombreuses années que tu souffres, et qu'en plus de ne pas te comprendre, ta famille te met injustement la pression ...

Certains psychothérapeutes ont une approche de "coatching". (mais là encore, il y aurait à financer).

Il faut savoir que certains psy acceptent de s'adapter aux finances de leur patient. Il suffit d'en parler avec eux dès les première séances souvent gratuites.
Après je n'ai pas d'argent pour payer une ou un psychologue, et les CMP, c'est de la merde, je le dis par expérience.
Je n'ai pas de travail à cause de mes dépressions et mes tensions musculaires qui m'handicapent au travail, du coup je ne sais plus quoi faire, de plus mes parents me menace souvent de me foutre dehors le lendemain de mon anniversaire de cette année car je vais avoir 21 ans, et que je n'ai pas de travail que je ne fais que courir chez les médecins et que c'est leur compte en banque qui trinque...
Oui, les CMP, j'en ai souvent lu des critiques négatives.

As-tu demandé à être reconnue travailleuse handicapée auprès de la MDPH ?
En ayant cette reconnaissance, tu pourrais bénéficier d'un accompagnement de Cap-Emploi (qui est l'équivalent de Pole-Emploi pour les TH (Travailleurs Handicapés)).
Je précise tout de suite qu'il n'est pas nécessaire d'être en fauteuil pour bénéficier d'un tel accompagnement.
Il est parfois un peu long avant d'obtenir une offre d'emploi qui soit adaptée à ses compétences et à son handicap, mais cela permettrait de montrer à tes parents que tu ne restes pas passive, que tu cherches à t'en sortir malgré tes difficultés. Et puis ton handicap serait reconnu !

Aussi, le statu de TH permet d'accéder à des formations professionnelles dans des centres spécialisés pour personnes handicapées si souhaité, OU dans des centres de formations "normaux" (comme l'AFPA par ex.) avec possibilité d'être hébergé(e) et nourri(e) gratuitement sur place tout en percevant une modeste rémunération du département.
Il y a souvent une liste d'attente d'un à 2 ans pour accéder à ces formations, mais cela pourrait montrer à ta famille que tu fais des démarches et des projets, et te laisser un peu de répit.
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MarineD77
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par MarineD77 »

Non je ne peux pas être reconnu handicapée car mon anxiétée généralisée n'est pas considérée comme maladie handicapante, et donc mon médecin ne veut pas. De plus mes parents veulent "que je bouge mon cul" mal ou pas ils veulent que je bosse et ramène un salaire...
shadoko
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par shadoko »

MarineD77 a écrit :Non je ne peux pas être reconnu handicapée car mon anxiétée généralisée n'est pas considérée comme maladie handicapante, et donc mon médecin ne veut pas. De plus mes parents veulent "que je bouge mon cul" mal ou pas ils veulent que je bosse et ramène un salaire...
Normalement, même s'il doit remplir un volet confidentiel du dossier (que tu peux aller retirer toi même à la mairie), ce n'est pas à ton médecin de te donner l'autorisation. La demande de reconnaissance vient de la personne qui se sent handicapée. Si tu te sens handicapée, tu as droit de demander à ce que ton handicap soit reconnu. Et ce sera des spécialistes qui statueront et trancheront.
Si ton médecin te fait obstacle, et que tu n'arrives pas à le convaincre de t'aider, changes-en ...

Ensuite la loi du 11 février 2005 reconnaît le "handicap psychique" (qu'elle différencie du "handicap mental ou intellectuel") parmi les 6 types de handicaps reconnus.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Handicap_psychique

Le statu de T.H. n'est pas acquis définitivement. Il faut refaire la demande tous les X années. Ainsi, si tu estimes que tes traitements et ta souffrance psychique ont des répercussion handicapantes sur ton intégration sociale et professionnelle et sur ton quotidien (ça me semble évident que c'est le cas !), tu as le droit de demander la reconnaissance de ce handicap psychique même si ça ne dure que le temps de ta thérapie (qu'il te faudra suivre même si ça te donne l'impression de tourner en rond !).
Ce sera la CDAPH (Commission des Droits et de l'Autonomie des Personnes Handicapées) qui tranchera.

Ca ne te coûte donc rien d'essayer ou d'insister un peu auprès de ton médecin pour qu'il t'aide à t'en sortir ...
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shadoko
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par shadoko »

Et en attendant, ça ne te coûterait rien non plus de te décharger de certains poids sur ce forum.

Courage !
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MarineD77
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par MarineD77 »

Me vider en parlant ne change rien à ma dépression ou a mon angoisse permanante, hier soir j'ai tout deballer a un ancien ami, et j'ai fait une crise d'angoisse cette nuit, ça ne fait rien du tout...
Et puis mon entourage ne me considère pas comme handicapée, ni moi, c'est juste que je n'arrive jamais à garder un travail à cause de ces crises et les dépressions.
Mon médecin refuse de m'aider car pour elle ce n'est pas un handicap ce n'est que psychologique et je dois bosser pour oublier mon stress, mais ça ne fonctionne pas comme ça, et la moindre pression au travail me fait craquer et je demissionne...

Je me suis déjà renseignée par le passé, et je ne suis pas considérée comme handicapée, voilà.
Et si je venais à l'être mes parents me ferait interner en psychiatrie car je serais bonne à rien faire de mes journées et ils ne veulent pas de ça chez eux.
shadoko
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par shadoko »

MarineD77 a écrit :Me vider en parlant ne change rien à ma dépression ou a mon angoisse permanante, hier soir j'ai tout deballer a un ancien ami, et j'ai fait une crise d'angoisse cette nuit, ça ne fait rien du tout...
Parfois on croit tout déballer, mais on ne déballe que ce qui est en surface. Il y a d'autres trucs sous-jacents que notre inconscient refoule ou occulte, et qui sont la vraie cause de tout le reste.
Ensuite, on ne "guéri" pas d'un coup de baguette magique ... sinon ça se saurait.
Et puis mon entourage ne me considère pas comme handicapée, ni moi, c'est juste que je n'arrive jamais à garder un travail à cause de ces crises et les dépressions.
Si je reformule ta phrase, tu dis : "mes crises et les dépressions m'handicapent en m'empêchant de conserver un travail. Mais je refuse d'admettre l'idée que je puisse être handicapée à cause du regard de mon entourage."

Mon médecin refuse de m'aider car pour elle ce n'est pas un handicap ce n'est que psychologique et je dois bosser pour oublier mon stress, mais ça ne fonctionne pas comme ça, et la moindre pression au travail me fait craquer et je demissionne...

Je me suis déjà renseignée par le passé, et je ne suis pas considérée comme handicapée, voilà.
Et si je venais à l'être mes parents me ferait interner en psychiatrie car je serais bonne à rien faire de mes journées et ils ne veulent pas de ça chez eux.
Pour le statu de TH, si tu n'y vois ni réalité, ni opportunité, ou que l'idée d'avoir ce statu te répugne ou te fais craindre le jugement de ton entourage, oublie cette piste ...
Et puisqu'une psychanalyse ne te séduit pas non plus, oublis ...

Peut-être t'en sortiras-tu très bien et aussi vite que tu le souhaites avec quelques conseils et un peu de "coaching" ...

Si je récapitule, tu as besoin d'aide pour :

- gérer tes crises d'angoisses
- gérer le stress
- sortir de tes dépressions
- mieux supporter ton sevrage médicamenteux
- mieux supporter la pression familiale

Quoi d'autre encore ?
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MarineD77
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Re: Anxiété généralisée et dépendance médicamenteuse

Message par MarineD77 »

également gérer mes phobies car oui je suis phobique en plus de tout, phobique des maladies, des microbes, de conduire je ne peux donc pas passer mon permis, la peur des hommes plus agés aussi à cause de tout ce qui se passe viols etc, j'ai peur de beaucoup de choses...
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