Crise d'angoisse - Aidez moi

Forum stress, stress post traumatique
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Lolipop88
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Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Lolipop88 »

Bonjour,

je poste aujourd'hui car je me sens complètement défaillir... J'ai besoin de raconter mon histoire et qu'on m'aide, je n'ai que 23 ans et je ne veux pas tout foutre en l'air alors que j'ai tout pour être heureuse...
Voilà maintenant un peu plus d'un mois que j'enchaîne les crises d'angoisse et j'en viens à avoir peur de moi-même.
La poitrine qui se sert, les avants bras engourdis, et surtout l'irrépressible envie de fuir.

Cela a commencé lorsque mon conjoins a trouvé un CDI à 200km de notre logement. Il n'avait guère le choix que d'accepter, d'autant que c'était une occasion en or pour sa carrière. De mon côté, à la recherche d'emploi depuis environ 6 mois à ce moment là, je n'avais aucune raison de ne pas le suivre. Mais voilà que ce déménagement devient concret, et je ressens le besoin d'avouer à mon conjoins que je l'ai trompé 3 ans auparavant. Mon conjoins parvient à passer outre, à me pardonner, on se rapproche, ça va mieux, on fait les cartons et on déménage.
Nos parents respectifs nous aident, mes parents à moi viennent avec leur camping car et restent dans notre ville du samedi au lundi pour profiter un peu. Le fait est que mes parents vivent à 6h30 de route de notre nouvelle ville, en sommes, ce n'est pas la porte à côté.
Lorsque ceux-ci finissent par partir, l'heure du au revoir est extrêmement difficile pour moi, pleure et énorme tristesse, j'ai l'impression que je ne vais pas pouvoir les revoir de si tôt.
De là en découle une nouvelle crise d'angoisse, l'une des plus fortes jamais connu jusqu'à maintenant. Je repense à ce que j'ai fais à mon homme, j'ai simplement l'impression de ne pas le mériter tant il est adorable, compréhensif. Je lui parle, lui explique que j'ai envie de m'endormir pour ne pas me réveiller parce que je souffre. Je n'arrête pas de cogiter, de penser encore et encore, je tourne en boucle dans ma tête ce qui ne va pas et j'en viens à penser des choses : je veux fuir, je ne mérite pas mon homme même s'il me veut encore après ce que je lui ai fait... Et pourtant je sais que je l'aime plus que tout, je sais qu'il est fait pour moi.

Cette crise dure une semaine, durant laquelle mon homme en est venu à me dire qu'il faudrait que je rentre chez moi, mais que ça pourrait pas continuer entre nous. Il avait simplement l'impression que je ne l'aimais plus, que je ne pourrais pas passer outre mon malêtre. C'était dur pour lui de me voir aussi mal, il s'est alors sentit extrêmement coupable. Mais alors comme un électrochoc, je me rends compte que je n'ai pas envie de le laisser, de le faire souffrir, j'ai envie d'être là pour lui parce que je me sens bien d'habitude avec lui. Je reprends le dessus finalement, et pendant une semaine je me sens mieux, je ne me pose plus de question, peut-être parce que je savais que la semaine d'après j'allais rentrer chez mes parents pendant 1 semaine entière. De plus, j'avais réussi à obtenir un entretien d'embauche pour un poste pas trop mal, et nous avions passer des supers moments avec mon conjoins durant cette semaine.

Je récapitule donc en terme de chronologie :
J'apprends pour le déménage -> première crise d'angoisse -> j'avoue ma faute d'il y a 3 ans à mon conjoins -> on se pardonne on déménage, ça va mieux -> le déménagement fini, mes parents repartent -> nouvelle crise d'angoisse d'une semaine -> finalement ça va mieux pendant 1 semaine, durant laquelle j'apprends pour l'entretien et je passe l'entretien -> je retourne chez mes parents pour 1 semaine.


Et voilà où j'en suis, de retour chez mes parents, je me sens mitigé. Dans la lignée de la semaine précédente où ça allait mieux, j'ai pu me changer les idées et profiter avec bonheur de toute ma famille. Mon homme me manque, je suis heureuse de l'avoir au téléphone et de lui parler par sms. Finalement, j'apprends que j'ai été retenu pour le poste en temps partiel et CDD. Je suis contente, je vais avoir un salaire ça me fait du bien. Mais 2 jours après avoir reçu l'appel de confirmation, je commence les matins à me ressentir mal. De nouveau ma poitrine se sert etc... Quand mes parents rentrent du travail ça va alors mieux, ils me changent les esprits. Mais jour après jour ça persiste et le retour dans ma nouvelle ville approche.
Le samedi matin, quelques heures avant que je prennent le train, je craque. Je parle avec ma mère de mon malêtre, qui je le pense est dû au stress, mais également à la distance avec ma famille, et je dois préciser également que mon grand père est mourant... Ma maman me rassure, je prends le train plus ou moins sereine, un pincement au coeur de les laisser, quelques larmes versées mais ça passe. Puis dans le train je cogite et j'en viens à me dire que la vie est complètement vaine. J'en ai marre de me battre, j'ai envie de disparaître, j'ai envie de m'en fuir, de rentrer chez mes parents parce que là bas, je n'ai pas vraiment à assumer les choses. J'appelle mon homme, il me rassure, me fait sécher mes larmes.

Après 7h de trajet (train et attente), mon conjoins vient me chercher à la gare et je me sens pas bien. Lui se pose alors des questions et doute de mes sentiments pour lui. J'ai l'intime conviction qu'il doit se dire "c'est repartit pour un tour, elle ne m'aime pas au fond". De son point de vue à ce moment là, je n'aurais jamais dû le suivre, je suis une "fille" immature qui n'a pas coupé le cordon avec sa "moman" et son "popa"... Mais au fond je sais que ce n'est pas vraiment cela, j'ai juste besoin de profiter des personnes que j'aime, parce que j'aime ma famille... Alors s'en suit une nouvelle crise d'angoisse, une crise d'angoisse que j'éprouve encore et qui me fait très peur parce que j'ai envie de fuir, de fuir tout ça, de fuir cette nouvelle ville, j'ai envie de me mettre en boule dans un coin et de retrouver mon insouciance... Après plusieurs discussions difficiles entre mon conjoins et moi (l'une le soir l'autre le matin en se levant, les moments où je suis le plus angoissé), je finis par me dire que peut-être je n'aime plus autant mon homme. Et pourtant, quand il me dit que j'ai un train à telle heure, que je peux rentrer chez moi, avec en sous entendu que je peux partir et mettre fin à notre histoire, je ne peux m'y résoudre. Je ne me vois pas sans lui, sans son rire, sans ses attentions... ça me redonne de l'entrain mais j'ai toujours cette envie de fuir...

Je ne sais donc plus quoi faire, et quoi penser, je n'ai pas envie de foutre en l'air mon couple simplement parce que j'ai peur et que, peut-être, je cherche simplement une "excuse" pour fuir cette situation...

S'il vous plaît, aider moi...
akouma
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Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par akouma »

peut être vous faire aider par un psychologue pour soigner vos angoisses et réussir à être pleinement heureuse
Lolipop88
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Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Lolipop88 »

J'ai fais les démarches pour aller voir un psychiatre... Mais rendez-vous que dans un mois je ne vais pas tenir longtemps comme ça...
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Dubreuil »

Lolipop88 a écrit :J'ai fais les démarches pour aller voir un psychiatre... Mais rendez-vous que dans un mois je ne vais pas tenir longtemps comme ça...
Je suis abasourdie par la méconnaissance du public sur la différence entre psychologue et psychiatre.
Le psychiatre est UN MEDECIN qui donne UN TRAITEMENT PSYCHIATRIQUE pour faire taire la douleur mentale. La plupart du temps la personne n'en a absolument pas besoin et en ressort encore plus malade qu'avant ( rebond des médicaments ) sans avoir régler quoi que ce soit de son histoire.
Et le psychologue clinicien est un PSYCHOTHERAPEUTE qui aide le patient à parler de lui, de ses peurs, de ses angoisses pour en comprendra la raison profonde. Et en guérir.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Dubreuil »

[quote="Lolipop88

Voilà maintenant un peu plus d'un mois que j'enchaîne les crises d'angoisse et j'en viens à avoir peur de moi-même.[/b]
La poitrine qui se sert, les avants bras engourdis, et surtout l'irrépressible envie de fuir.
* Ce sont les symptômes de la spasmophilie. Faites un traitement de magnésium. Il y a de bons produits simple en pharmacie conjugués avec des oligo-éléments qui vont faire leur effet au bout de 2 ou 3 semaines et " colmater " vos crises d'angoisse.

Cela a commencé lorsque mon conjoins a trouvé un CDI à 200km de notre logement. Il n'avait guère le choix que d'accepter, d'autant que c'était une occasion en or pour sa carrière.
* Vous êtes sentie abandonnée peut-être

De mon côté, à la recherche d'emploi depuis environ 6 mois à ce moment là, je n'avais aucune raison de ne pas le suivre. Mais voilà que ce déménagement devient concret, et je ressens le besoin d'avouer à mon conjoins que je l'ai trompé 3 ans auparavant. Mon conjoins parvient à passer outre, à me pardonner, on se rapproche, ça va mieux, on fait les cartons et on déménage.
* En effet, il faut avoir le courage d'assumer seule sa vie intime, ou les erreurs que nous considérons avoir commises. C'est comparable à de la lâcheté que d'avoir un grand élan de sincerité, quand on ne pense juste qu'à soulager sa conscience, sans penser à la douleur que l'on va faire à l'autre. Et il faut être naif pour croire que l'on en sera aussi épargné.

Nos parents respectifs nous aident, mes parents à moi viennent avec leur camping car et restent dans notre ville du samedi au lundi pour profiter un peu. Le fait est que mes parents vivent à 6h30 de route de notre nouvelle ville, en sommes, ce n'est pas la porte à côté.
Lorsque ceux-ci finissent par partir, l'heure du au revoir est extrêmement difficile pour moi, pleure et énorme tristesse, j'ai l'impression que je ne vais pas pouvoir les revoir de si tôt.
* Quand on devient adulte, il est important de prendre son indépendance en ne mêlant plus les parents à notre vie personnelle. Ce n'est ni de l'égoïsme ni un manque d'amour ou de reconnaissance, mais une façon d'être qui permet vraiment de nous émanciper en nous tournant vers la personne que l'on aime amoureusement.

De là en découle une nouvelle crise d'angoisse, l'une des plus fortes jamais connu jusqu'à maintenant. Je repense à ce que j'ai fais à mon homme, j'ai simplement l'impression de ne pas le mériter tant il est adorable, compréhensif. Je lui parle, lui explique que j'ai envie de m'endormir pour ne pas me réveiller parce que je souffre.
* Il vous a pardonné parce qu'il vous aime, certes, mais aussi parce qu'il est intelligent, et qu'il sait que ce qui s'et passé est passé et ne peut être réparé. D'autre part, votre corps et vos pensées intimes n'appartiennent qu'à vous. Et il en et de même pour lui. Vous ne lui appartenez pas, et il ne vous appartient pas. Vous êtes revenu vers lui parce que vous l'aimiez. C'est cela qui compte.
Vous complaire dans cette hypothétique responsabilité est une façon de vous poser en victime face à lui, et le fera partir certainement un jour ou l'autre.
C'est à la fois un manque de maturité, un affront à son amour, et l'urgence d'aller immédiatement en parler à un professionnel pour vous aider à faire la part des choses et évoluer.

Je n'arrête pas de cogiter, de penser encore et encore, je tourne en boucle dans ma tête ce qui ne va pas et j'en viens à penser des choses : je veux fuir, je ne mérite pas mon homme même s'il me veut encore après ce que je lui ai fait...
STOP !

Et pourtant je sais que je l'aime plus que tout, je sais qu'il est fait pour moi.

C'était dur pour lui de me voir aussi mal, il s'est alors sentit extrêmement coupable. Mais alors comme un électrochoc, je me rends compte que je n'ai pas envie de le laisser, de le faire souffrir, j'ai envie d'être là pour lui parce que je me sens bien d'habitude avec lui. Je reprends le dessus finalement, et pendant une semaine je me sens mieux, je ne me pose plus de question, peut-être parce que je savais que la semaine d'après j'allais rentrer chez mes parents pendant 1 semaine entière.
* C'est cette fin qui est dangereuse, en fait pour ne vous remettez pas en question et vous agissez comme une petite fille qu'il faut rassurer, alors que vous êtes une femme qui n'a de compte à rendre à personne.

Quand mes parents rentrent du travail ça va alors mieux, ils me changent les esprits. Mais jour après jour ça persiste et le retour dans ma nouvelle ville approche.
Le samedi matin, quelques heures avant que je prennent le train, je craque. Je parle avec ma mère de mon malêtre, qui je le pense est dû au stress, mais également à la distance avec ma famille, et je dois préciser également que mon grand père est mourant... Ma maman me rassure
* Et si vous n'aviez pas de maman ?

De son point de vue à ce moment là, je n'aurais jamais dû le suivre, je suis une "fille" immature qui n'a pas coupé le cordon avec sa "moman" et son "popa"...
* Il a entièrement raison.

Après plusieurs discussions difficiles entre mon conjoins et moi (l'une le soir l'autre le matin en se levant, les moments où je suis le plus angoissé), je finis par me dire que peut-être je n'aime plus autant mon homme.
* C'est cela l'effet de ne compter que sur les autres sans se prendre en charge.
C'est possible aussi que vous l'ayez " utilisé " comme une enfant capricieuse... si on lit ces derniers propos. Utilisé pour vous rassurer, remplacer papa et maman parce que devenir adulte vous séparait d'eux.

Et pourtant, quand il me dit que j'ai un train à telle heure, que je peux rentrer chez moi, avec en sous entendu que je peux partir et mettre fin à notre histoire, je ne peux m'y résoudre. Je ne me vois pas sans lui, sans son rire, sans ses attentions...
* Voilà, il vous est utile " superficiellement "......

ça me redonne de l'entrain mais j'ai toujours cette envie de fuir...
* Alors assumez, fuyez.
Ou allez démêler cela avec un psy clinicien.

S'il vous plaît, aider moi...[
* Encore faudra -il que vous ayez le courage de réfléchir sur mes propositions....
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Lolipop88
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Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Lolipop88 »

Wow ! Je suis choquée par vos propos...

Je conçois que je n'ai pas forcément le bon comportement mais je me bats contre moi-même pour justement trouver les solutions qui sauront m'épanouir sans faire souffrir les personnes que j'aime réellement !... Je suis peut-être immature, sûrement, j'ai du mal à assumer certaine chose, sans doute. Mais croyez-vous sincèrement que me dire que je suis en sommes une horrible personne qui se sert de la personne qu'elle aime va m'aider ?
Vous croyez que je ne sais pas le mal que je fais en partageant mon mal-être avec l'homme que j'aime et mes parents ?
Vous êtes-vous sentit seulement une fois mal dans votre peau, dans votre tête, au point de ne plus vous reconnaître, au point d'avoir l'impression de tout voir à travers un filtre ? de ne même pas reconnaître votre main ?

Je me sens mal, j'ai des crises d'angoisse et je cherche simplement de l'aide, pas que l'on m'enfonce !!!

Ceci étant dit, je conçois que certaines de vos remarques ne sont pas dénué de sens ! Néanmoins peut-être devriez-vous faire plus attention à la façon dont vous vous exprimer qui est réellement prise comme de l'agressivité pour moi.
Lolipop88
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Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Lolipop88 »

Je rebondi également sur vos propos en ce qui concerne la différence entre Psychiatre et Psychologue... Je suis ravie que vous m'expliquiez la différence bien que -- et peut-être est-ce simplement moi qui interprète mal -- je trouve que vous l'expliquez de manière assez agressive.

On m'a conseillé d'aller voir des psychiatres parce qu'ils sont remboursés, maintenant saurez-vous peut-être me dire si les psychologues le sont ?
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Jeannette
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Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Jeannette »

Lolipop88 a écrit : On m'a conseillé d'aller voir des psychiatres parce qu'ils sont remboursés, maintenant saurez-vous peut-être me dire si les psychologues le sont ?
Par certaines mutuelles, oui.
Et la majorité des psychologues adaptent leur tarif aux possibilités financières de leurs patients.
Tu peux par ailleurs en rencontrer gratuitement (ou presque) dans certaines structures associatives ou publiques.
Mais aussi curieux (voire "choquant" pour certains) que cela paraisse, payer pour une thérapie en fonction de ses moyens fait partie de la thérapie.
Si quelque chose s’oppose à toi et te déchire, laisse croître, c’est que tu prends racine et que tu mues. A. de St Exupery - Citadelle
Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter. K. Gibran
Dubreuil
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Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Dubreuil »

En général..

Pour une question précise concernant un sujet grave, ce forum n’est pas un bureau des plaintes, il n’a pas vocation d’alimenter les bénéfices secondaires de votre mal-être, ni d’abonder dans le ressassement de vos malheurs en vous complaisant dans la sympathie ou la pitié occasionnés par votre situation dramatique.
Ce forum est au contraire géré par un Administrateur et des Professionnels de la Santé mentale, tous diplômés, soucieux de la qualité de leurs interventions, et qui prennent de leur temps pour se mettre à l’écoute et à la disposition des internautes véritablement disposés à comprendre leur problématique pour aller mieux et évoluer dans leur vie personnelle.

Il suffit parfois d’un seul entretien avec l’un d’eux pour tirer à profit l’interprétation d’un rêve, ou débloquer une situation qui paraissait inextricable. C’est à vous à le contacter par message privé pour lui demander un entretien.

D’autre part, si chaque personne est différente, et chaque cas unique, il n’en demeure pas moins que des explications psychologiques sont déjà données à d’autres internautes, dans différentes rubriques regroupées sous, ex : perversion, inceste, mutilation, boulimie, anorexie, troubles sexuels, troubles du comportement chez l’enfant, etc… Ces explications vous aideront de suite, sinon à trouver la réponse que vous attendiez, du moins à disposer d’une base vous permettant de mieux exposer votre situation au professionnel que vous choisirez d’interpeller pour vous accompagner dans vos questionnements.

Ne perdez pas votre temps avec certaines réponses des internautes qui abondent trop longtemps dans votre sens, ne vous apportent aucun éclaircissement professionnel, ne sont que leurs propres projections intimes, ou risquent de vous mettre sur une fausse route en aggraver votre mal-être.
Pour une participation modique adressez-vous intelligemment auprès d’un professionnel de ce forum. Plus vite vous serez en mesure de vivre en harmonie avec vous-même, plus vite la vie qui vous attend sera meilleure.
Le pire est derrière vous.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: Crise d'angoisse - Aidez moi

Message par Dubreuil »

[quote="Lolipop88"]Wow ! Je suis choquée par vos propos...

Je conçois que je n'ai pas forcément le bon comportement mais je me bats contre moi-même pour justement trouver les solutions qui sauront m'épanouir sans faire souffrir les personnes que j'aime réellement !... Je suis peut-être immature, sûrement, j'ai du mal à assumer certaine chose, sans doute. Mais croyez-vous sincèrement que me dire que je suis en sommes une horrible personne qui se sert de la personne qu'elle aime va m'aider ?
Vous croyez que je ne sais pas le mal que je fais en partageant mon mal-être avec l'homme que j'aime et mes parents ?
Vous êtes-vous sentit seulement une fois mal dans votre peau, dans votre tête, au point de ne plus vous reconnaître, au point d'avoir l'impression de tout voir à travers un filtre ? de ne même pas reconnaître votre main ?

Je me sens mal, j'ai des crises d'angoisse et je cherche simplement de l'aide, pas que l'on m'enfonce !!!

Je pourrais vous renvoyer le même discours. De quel droit parlez-vous ainsi a un professionnel parce qu'il n'abonde pas dans votre sens, et vous propose de faire des efforts pour changer quelque peu votre comportement, pour JUSTEMENT respecter les personnes que vous aimez ?
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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