violence conjugale sur les hommes et trouble de santé mental

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alex38
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violence conjugale sur les hommes et trouble de santé mental

Message par alex38 »

je sort d une relations poison avec mon ex conjointe de 15 ans de dépression de son coté (5 arrêt de travail au travers des années de sont coté )avec avec le recul et ce que d autres personne mon fait constater de la violence conjugale verbale et contrôle de sa part. et pas mal de personnes mon fait réaliser que elle avait souvent du manque de respect envers moi (sacrer sur moi... ) et des comportements qui ressemble a une personne bipolaire selon eux..

menace régulière de se suicider de son coté quand elle allais pas bien et étais en dépression, frapper sur les mur avec c est poing ou sa tete quand dans les chicanes elle avais pas son point de vu ou de lancer des objets .

souvent lorsque moi je voulais faire un activité sans elle , aller voir mes amis de temps en temps sans que elle soit la quand les enfants dormais ou encore comme l an passer faire de l activité semaine 2 soir semaines et qu au début elle disait que c étais correct reproche de sa part par la suite que je la laissait seule avec les enfants ..

j ai souvent tenter de la convaincre au travers des années de sortir aussi de son coté et voir c est amies de fille chose que elle refusait souvent de faire, plusieurs fois elle voyait des amies et ils l invitait a faire de quoi juste avec elle ou avec nous et elle se trouvais des excuses pour pas le faire. elle avais tasser dans les dernières années elle même presque tous c est amis soit parce que ils lui avait fait de quoi de pas correct comme l inviter a souper mais après lui dire que le souper coûtais de quoi ou autre raison de les tasser pour s isoler elle même plus..

avant la séparation a chaque demande de ma part d avoir une gardienne pour nos enfants autres que c est parents refu de son coté par crainte et peur que il arrive de quoi a chaque tentative de ma part de faire une sortie en couple juste elle et moi (et vu la distance il étais pas souvent disponible)

20 heures par semaine de bénévolats pour son travail depuis 1 an et a plusieurs reprise je lui ai mentionner que c étais trop que je la voyait être de plus en plus fatiguer mais a chaque fois refus de diminuer de sa part

son arrêt de travail le dernier avant la séparations au début elle réalisait que c étais du a son bénévolats et sa fatigue et a sa patronne qui lui avais refuser c est vacances mais 1 mois après le début de son arrêt de travaille c étais rendu juste moi le coupable de sa dépression majeure


souvent reproche de sa part sur le partages des taches mais a chaque fois que je lui offrait des solutions comme d engager une personne pour nous aider sur le menace a chaque fois refus de sa part de le faire et même chose quand je lui demandais ce que elle voulais que je fasse de plus.

reproche cet été que sa devrais être moi qui s occupe de tous les taches vu que sa tache a elle d aller porter les enfants a la garderie le matin qui est a 40 minutes de notre logement a plus de valeur que les autres taches(offert a plusieurs reprise qu on déménage plus proche de son travail a elle et de la garderie pour régler le problème avec refus de sa part avec toute sorte d excuse )

elle a été pendant l été dans une maison d hébergement prétextant que c étais elle qui étais victime de violence conjugale mais elle revenais a notre logement a chaque fin de semaine et m appelais pour que je m occupe de faire de la discipline au enfants au téléphone vu qu elle les avait labas avec elle une semaine sur 2 et que elle étais pas capable d en faire de son coté et que supposément que les travailleur sociale labas lui interdisait de faire de la discipline au enfants que elle devais les laisser faire ou leur parler uniquement gentiment pour régler les problèmes avec nos enfants labas..

les 2 premiers mois de notre séparation a chaque fois que moi je lui disait par facebook (messenger) qu on devais couper les ponts que je l aime encore et que sa me fait du mal et que je vais tomber en dépressions si on (et elle) continue de se parler pour autres choses que les enfants menace de sont coté en disant c est sa flush moi j avais espoir qu on reviennes ensemble mais tu me montre le contraire avec ton comportement et que elle savais pas comment elle allait s en remettre mais que elle s en remettrais

a plusieurs reprise tentative de son coté de me manipuler pour ce que elle voulais faire avec les enfants et que je devais faire moi aussi dans ma semaines avec eux (elle a toujours avant été contre la compétition chez les enfants et au mois de novembre elle voulais inscrire ma fille a une compétition (elle a 5 ans ) durant ma fin de semaine sur de quoi qui avec son handicape visuel et dyspraxie étais pas selon moi une bonne idée mais quand je lui ai mentionner elle ma menacer de vouloir faire appeler ma fille pour que sa soit moi qui lui explique pourquoi elle pourra pas aller a la compétition ...

je trouve cela tellement difficile de voir a quel point plusieurs personne crois pas que sa peux exister que nous les hommes ont subis du harcèlement psychologique et de la violence conjugale

et avoir l impression que même si par la suite vu que j étais tanner de c est mensonge et manipulation en médiation pour la séparation que j ai décider d aller avec avocats finalement pour ne plus avoir de colère a chaque fois que on étais en médiation et pour faire respecter mes droits de pères d avoir l impression de faire cela pour rien et que je gagnerais rien et a chaque fois que elle me reparle ou tente de me montrer comme si elle pouvais être encore une personne normale avec moi ca me rend triste et j ai des idées suicidaires vu que le reste du temps elle est sur une dérape et passe c est semaine a sortir avec plein de personnes différentes et alcool malgré que avec son médicaments pour sa dépression majeure elle ne devrais pas en prendre et que elle est rendu une hyper sportive quand avant c étais une fille de télé et salon et qu on dirais que au moin une fois par 2 semaines que elle agis comme si elle voulais me garder en backup soit pour me faire du mal ou juste au cas ou c est aventure une fois c est envie rassasier lui donnerais pas ce que elle cherche pour revenir avec moi par la suite...
Dubreuil
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Re: violence conjugale sur les hommes et trouble de santé mental

Message par Dubreuil »

[quote="alex38.
je trouve cela tellement difficile de voir a quel point plusieurs personne crois pas que sa peux exister que nous les hommes ont subis du harcèlement psychologique et de la violence conjugale

*** Sur internet, consultez les sites destinés aux pères en difficultés.
Vous y trouverez un foisonnement d'explications, des conseils donnés par des professionnels, et d'autres papas qui comme vous sont courageux et se battent pour leurs enfants et le respect d'eux-mêmes.
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Dubreuil
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Re: violence conjugale sur les hommes et trouble de santé mental

Message par Dubreuil »

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Nicole DUBREUIL, Psychanalyste, « Pathologie du lien et Résidence Alternée »
psychologue clinicienne
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Archive for the ‘résidence alternée’ Category
Le déni paternel, symptôme d’une civilisation à la dérive ?
Posted in éducation, droits des enfants, exclusion parentale, féminisme, II.2 La Souffrance du Parent Cible, papas, psychiatrie, résidence alternée, société, tagged éducation, décadence, dérive, droits, Droits des enfants, enfants, famille, féminisme, garde, garde alternée, justice, modèle, papa, papas, paternel, pathologie du lien, père, psychanalyse, psychologie, résidence alternée, société, souffrance, visite on 11 mai 2012|

« Il y a peu de siècles derrière nous les chirurgiens ouvraient le corps des nouveaux nés sans les endormir, on disait qu’ils ne sentaient rien. Aujourd’hui, psychiquement on coupe les enfants en deux et on écarte les pères, eux non plus ne sentiraient rien. Pour l’instant, est considéré pathologique tout ce qui dans les pères crie et supplie, pleure ou tempête, démontre ou s’avance, se tait ou se suicide.
Car ce père qui fait grand bruit et parle de rapt alors qu’on lui tolère tout de même huit heures par mois auprès de son bébé, celui la qui prouve si haut l’amour de son enfant que c’en devient indécent, cet autre qui veut accompagner son fils dans une éducation chaleureuse, ou ce dernier qui se donne la mort parce qu’il ne peut plus respirer l’odeur de sa petite fille, avoir ses sourires dans sa tête et la serrer tendrement contre lui, ( quelle horreur ! ) tout cela prouve combien on a eu raison de ne pas lui confier son enfant.
Mais patience, encore quelques cent années par devant nous, beaucoup de larmes, d’enfants martyrisés, de pères brisés, et nous verrons peut-être l’Esprit venir aux lois.
L’homme qui devient père dès que l’ovule est fécondé, n’a pour l’instant rien à revendiquer. C’est si peu de chose un peu de sperme, alors que c’est si personnel ce qui se passe dans le ventre de la femme. On ne va tout de même pas comparer. Pourquoi se sentirait-il concerné, humilié, désespéré, voire violé dans son intimité quand la femme ne lui concède pas, ou plus, sa place auprès de son propre enfant. Qu’il la laisse donc se sacrifier en paix pour ce pauvre petit qui n’aura jamais de père. Car mieux vaut pas de père du tout que cet homme qui par l’effet de la séparation va perdre toute prérogative éducative et affective, et qui de surcroît, n’aurait jamais été un bon père comme elle le veut, comme elle l’entend.
Depuis des millénaires, la femme a été considérée comme inférieure à l’homme, la place qui lui était dévolue était près des enfants. La conscience collective a bonne mémoire, que vient-il prétendre celui-la, quelle part ose-t-il exiger qu’il a jusqu’à ce jour si durement méprisée. On ne va pas tout de même pas lui donner l’enfant comme ça, à ce rustre, cet intrus.
Un homme, c’est bien connu, reste d’abord un homme quand il devient père, il ne sait pas comment ça marche la paternité. Alors que la femme elle, elle sait, elle devient tout de suite mère. Elle va donc lui apprendre à lui, à l’homme ce qu’il doit dire ou ne pas dire, faire ou ne pas faire avec la chair de sa chair à elle d’abord, avec son bien, sa proie.
Et bien naïf est celui qui croira qu’il s’agit juste là de la température du bain ou de l’achat des couches-culotte.
Certaines femmes elles aussi ont eu des pères, qui les ont plus ou moins niées, traumatisées, saccagées dans leur sensibilité. Et des mères qui les ont laissé faire et sont complices. La vengeance contre la mémoire du père prend effet quand le compagnon est père à son tour. L’enfant devient l’objet de discorde, puisque c’est quelque chose qui vient encore du Père, d’un père.
Et même si nul enfant n’est tenu d’aimer ses deux parents, et nul parent d’aimer son enfant, qu’il est seulement attendu de respecter son père et sa mère et les droits de l’enfant, un peu comme en psychanalyse où la guérison peut venir en plus, l’amour pour son enfant n’est pas un dû, n’est pas forcément inné ni vécu dès sa naissance. C’est bien pourtant au nom de cet amour induit, codifié, perverti, entériné par la société, qu’on donne aux mères, de façon aberrante, souvent inconséquente et réductrice, cette idée de responsabilité unique sur les toutes premières années de son enfant. C’est au nom de cette perversion, de cette – version du père – dans les médias, qu’on stigmatise, qu’on infantilise l’homme en lui niant le droit à ses propres émotions, sa propre sensibilité, à sa part créative. Son image, son éthique, et au plus authentique de lui-même, son propre enfant intérieur, cette part intime de lui-même qui sait comment parler à son bébé, à son petit garçon ou à sa petite fille, sont anéantis..
Alors ce fœtus qui pour l’heure se trouve coincé entre ces deux là qui s’aiment, comment voulez-vous qu’à sa naissance il s’en souvienne, qu’il garde dans son inconscient cette nostalgie du temps d’avant quand il ne culpabilisait pas encore de les avoir séparés ? Et plus tard pourquoi aurait-il le droit d’en avoir un, de père, puisque sa mère n’en veut pas. Pourquoi en voudrait-elle d’ailleurs, il ne lui sert plus à rien, de toute façon maintenant elle l’a l’enfant du père, celui de son complexe d’Electre. Et le pénis aussi, celui qu’elle a découvert chez le petit garçon, elle l’a eu, bien sûr.
Alors comment voulez-vous qu’une femme cède sur de tels privilèges !
Et les décideurs, pourquoi de leur côté accorderaient-ils la résidence de l’enfant à cet homme, eux qui à chaque refus prouvent qu’ils en ont encore à découdre avec le phallus, avec la loi.
Lors de la fixation de la résidence de l’enfant, est-ce vraiment de son intérêt dont il est parlé, ou plus prosaïquement de l’écho d’un inconscient à un autre ? Piteux règlements de comptes entre professionnels tenus de ne pas se laisser déborder et pères désespérés, entre parents grandis trop vite qui ont occulté le temps où ils étaient eux-mêmes des enfants tiraillés, manipulés.
Pourtant quand un nourrisson ou un enfant est aimé par son père, sa maison est dans le cœur de son père et où qu’il aille, s’il est avec son père il est chez lui. Et il en est de même pour la mère, si cet enfant est aimé de sa mère, sa maison est dans le cœur de sa mère, et où qu’il aille, s’il est avec sa mère il est chez lui. Et si ces deux adultes sont en capacité d’aimer si tendrement leur enfant, ils sont bien évidemment en mesure de se respecter eux-mêmes, de se rencontrer en égalité pour échanger sur ses besoins physiques et psychologiques.
Tout le reste n’est que haine, littérature et business.
Alors comme chante Higelin : – Alertez les bébés.. – dites-leur de ne plus venir dans ce monde où ils seront orphelins de pères sous prétexte que certaines mères n’ont pas réglé leurs conflits avec leurs propres pères, leurs propres mères. Et certains psy aussi.
Dites-leur que c’est très difficile de marcher sur la corde raide de la vie sans avoir l’aplomb des deux côtés, ça fait tomber.
Dites-leur qu’ici bas l’amour c’est moche, qu’il se parle en euros, en délits, en chantage, et que d’avoir des parents c’est la plupart du temps être pris en otage.
Mais surtout, alertez les bébés que des drôles de gens morts du dedans ont écrit des livres sur eux sans leur demander leur avis.
Qu’ils sont tombés d’accord pour dire qu’ils n’avaient pas besoin des bras d’un papa, de sa chaleur et de l’odeur de son corps. Que leur présence quelques heures, quelques jours ou une semaine sur deux n’était pas utile, que ce n’est que l’absence de la maman qui rend un petit enfant malheureux, avec les carences affectives, les syndromes dépressifs et autres manifestations abandonniques. Que c’est pour son bien qu’ils font cela, les psy, les juges, les mamans, parce que d’autres l’ont dit avant eux, et que ça fait vendre, que ça remplit les cabinets d’avocats et ceux des pédo-psychiatres.
Ainsi la légitime présence, l’émerveillement, l’attendrissement d’un père devant son petit enfant, cet amour, cette force qui le pousse à se dépasser, à tout braver pour le défendre, le préserver, tout cela est sans importance, gênant, grossier même, comment un père pourrait-il aimer véritablement son enfant, c’est incongru.
Donc les bébés, pas de papas, ce n’est même pas la peine d’y penser ! D’ailleurs mieux vaut que tout cela soit réglé avant la naissance, pour ce faire quelques uns s’y emploient déjà en dictant leurs lois et en vendant leurs livres noirs.
Attention bébés, danger, ne venez pas !
Pour un enfant, avoir la possibilité d’aller un temps suffisamment long chez l’un puis chez l’autre de ses parents, c’est lui permettre de souffler un peu, de quitter un lieu pas forcément plaisant pour en retrouver un autre où il pourra parler, s’abandonner, être écouté, où il lui sera fait réparation. C’est aussi tirer un trait sur ces poussifs week-end sur deux avec la moitié des vacances reléguant surtout l’homme au statut de père de deuxième zone qui ne peut plus qu’être le papa du dimanche.
Et quand la résidence est accordée, pourquoi encore ce parti-pris, ces suspicions, cette ingérence dans le foyer du père ? Qu’en sait-on de ce qui se passe quotidiennement entre une maman malmenée par ses affects et son enfant, de ce qu’elle lui dit du père, et de ce qu’elle lui fait subir dans sa petite âme ? Est-ce moindre ou pire que ce que l’on redoute qu’il subisse chez son papa.
Pour certains enfants c’est du domaine de la survie que de pouvoir changer d’univers régulièrement et suffisamment longtemps, l’attente est salvatrice. La résidence alternée fait à chaque fois coupure, permet à la parole et au désir d’advenir.
Et puis chez les parents responsables il y a le dialogue, le fait de rester de part et d’autre clair et vigilant dans ses propos, ses actes. Celui de se retrouver régulièrement face à soi, face à l’autre, et à son enfant. L’habitude et la nécessité de se remettre en question.
Ça remue, ça fait réfléchir et tout le monde avance.
Qui y a-t-il de déstructurant à aller et venir chez papa ou maman, sur ses pieds ou dans le couffin, les voyages forment la jeunesse. De quoi voulez-vous qu’il souffre, qu’il ait peur le nourrisson? Il est à chaque fois attendu par son parent qui l’aime, son papa ou sa maman qui se sont arrangés ensemble pour lui consacrer beaucoup plus de temps qu’il n’en aurait eu dans le foyer classique. Les voyages forment le jeunesse, au pire plus tard il deviendra voyageur de commerce, aventurier, explorateur, il se sentira libre, enthousiaste, curieux de l’autre et de tout. Sans jugement, sans a priori.
Mais c’est sûr que de ne pas être projectif demande de favoriser l’intelligence plus que la bêtise.

le droit des pères
« Le père est l’appui affectif où va se heurter l’enfant pour ensuite s’intégrer au monde. Homme et femme étant complémentaires dans la procréation, à parts égales, l’un ne peut rien sans l’autre. Leur place est égale et différente mais toute aussi importante dans la mise au monde affective et sociale de l’enfant.
Cet enfant va grandir en les prenant comme modèles. Inconsciemment il va déjà dès le début du langage prendre les mêmes intonations de voix que le parent de son sexe.
Chaque parent a une double fonction : fonction de repère corporel pour l’enfant de même sexe que lui et fonction de lieu du désir pour l’enfant de sexe opposé. Ce repère corporel dans le parent du même sexe servira de base à l’établissement de l’identité sexuelle qui à son tour, si elle est bien fondée, permettra à l’enfant d’éprouver du désir pour le parent de sexe opposé »
Guy Corneau, Psychanalyste
( complexe d’électre, complexe d’oedipe –
in « Père manquant, fils manqué » )
source : jafland.info

https://affairesfamiliales.wordpress.co ... la-derive/
A suivre > « Sans pères et sans repères » : 32% des enfants divorcés ne voit jamais leur père

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Garde Alternée : Gros risques de bonheur en perspective… / Résidence alternée / égale / équi-alternée
Posted in affaires familiales, résidence alternée, tagged affaires familiales, avocat, avocats, égalité, équitée, bonheur, danger, divorce, droits, enfant, enfants, exemples, garde, garde alternée, garde égale, garde équialternée, garde équitable, JAF, juge, juridique, les modes, links, résidence alternée, résidence égale, résidence équialternée, résidence équitable, risque, séparation, visite on 4 mai 2012| 8 Comments »

Attention, si vous optez pour la résidence alternée, il y a de très gros risques que vos enfants soient heureux !
« Tout est dit dans le titre. Le principal danger de la résidence alternée, c’est que les enfants soient heureux, entourés et aimés de leurs DEUX parents. La place des deux parents est en effet fondamentale pour l’enfant en cas de séparation. Mais …
… la résidence alternée dérange toute une frange de groupuscules extrémistes en tous genres qui voudraient que les femmes restent à la maison pour s’occuper des enfants, pendant que les hommes travaillent. Pourtant, il est désormais bien établi que la résidence alternée est le mode de résidence le mieux adapté pour que les enfants conservent des liens très forts avec leurs deux parents malgré la séparation, et il est incontestable que la résidence alternée apporte une nouvelle liberté pour les femmes.

10 ans d’expériences (interview M. De Tena)
Pour préserver les enfants de la séparation, le plus important est de préserver la coparentalité au-delà de la séparation. La rupture entre les parents constitue nécessairement un traumatisme pour l’enfant, mais c’est la persistance du conflit parental qui est destructrice pour lui, bien plus que le choix d’un quelconque mode de résidence. L’alternance est inhérente à tous les modes de résidence des enfants de parents séparés, qu’il s’agisse de la résidence alternée ou de l’exercice du droit de visite et d’hébergement de l’autre parent. Mais il n’y a qu’en résidence alternée que l’enfant continue à bénéficier réellement de ses DEUX parents…
Mais quelques personnes (souvent les mêmes) fort actives sur un plan médiatique, tentent de mettre en avant un courant de pensée archaïque afin de culpabiliser les parents qui mettent en place la résidence alternée (RA), tout ça sur fond d’argumentation pseudo scientifique choisie très sélectivement et toujours pour donner une image négative de la garde alternée. Leur idée est de faire peur aux parents séparés qui sont dans le doute sur le choix d’un mode de résidence. Pour ces "anti-RA", les enfants sont utilisés – sous prétexte de parler de leur intérêt – pour mettre en avant les théories fumeuses de leur psy-gourou de référence qui s’est dit défavorable, et donc selon eux tous les parents se devraient d’écouter religieusement la doctrine de leur gourou. Sauf qu’en réalité les psys en la matière disent tout et son contraire. Et sous couvert de parler de l’intérêt de l’enfant, ces personnes anti-RA servent d’abord leurs intérêts financiers (par exemple en vendant des livres pour étaler leurs critiques sur la résidence alternée…).
————–
En lisant CE BILLET qui reprend les différentes opinions sur la question, vous ne pourrez que constater que de nombreux psys encouragent la résidence alternée une semaine-une semaine, et certains ont une approche innovante: l’un des spécialistes les plus réputés de l’enfance et de l’adolescence, le pédopsychiatre Marcel Rufo, préconise des RA sur de longues périodes, "un an-un an" voire par période de trois ans: voici un extrait d’un entretien qu’il accordait sur le sujet, que vous pourrez lire en intégralité ICI:
"…j’approuve également le principe de l’alternance, bien que je n’aime pas le rythme une semaine sur deux. Il me semble que l’alternance peut se faire sur des temps plus longs. Par exemple, de 0 à 3 ans chez maman, de 3 à 6 ans chez papa, avec, bien sûr, des week-ends et des vacances avec l’autre parent.
L’avantage pour l’enfant, c’est qu’en vivant longtemps avec chacun d’eux il a un papa et une maman bien réels, avec leurs qualités et leurs défauts, leur disponibilité et leur mauvaise humeur. Le pire, pour moi, étant le "papa loisirs" du mode de garde à l’ancienne – un week-end sur deux et la moitié des vacances – avec lequel on ne fait que s’amuser. (…) " (jafland.info)
LA SUITE (et nombreux links) SUR : jafland.info …
rental, parentalité, parents, résidence, résidence alternée, séparation, sur-mesure on 3 mars 2012|

10 ans après la loi de réforme sur l’autorité parentale, Marta de Tena (Journaliste chez Elle Magazine et Auteure) dresse le bilan de la résidence alternée à partir d’expériences concrètes recueillies dans son dernier ouvrage à paraître ce mois (mars 2012)
* Quels sont les avantages de la garde alternée ?
Un des avantages de la résidence alternée et certainement le principal, c’est le renforcement du lien de l’enfant avec ses deux parents (et notamment avec le père) (…)
* Pourquoi le lien avec les pères ?
(…) Dans 40% des couples divorcés, au bout d’un moment les enfants et les pères se perdent de vue. 40% des cas : c’est énorme !
Après, on passe sa vie à chercher son père.
La garde alternée sert à garder ces liens. (…)
* Quels sont les points incontournables ?
Il y a des points incontournables :
Bien sûr la proximité géographique. On n’est pas obligé de vivre dans la même rue mais il faut que l’enfant ait moins de 30 minutes pour aller à l’école (…).
Il faut absolument garder tout ce qui est structure extérieure : activités extrascolaire, les amis, tout ce qui fait la vie de l’enfant… il faut le respecter au maximum.
Il faut aussi respecter l’autre parent. On ne le dira jamais assez : il ne faut jamais dire du mal de l’autre parent. Il faut faire autant d’effort que possible, voire l’impossible, pour que l’enfant se sente en sécurité : quant on le pose chez l’autre parent, qu’il sente qu’on le laisse en confiance. C’est très important la confiance.
(Marta de Tena, journaliste chez Elle, auteure)
Site Web : http://www.martadetena.com/
Twitter : @martadetena
Livre : « La Garde Alternée, du Sur Mesure Pour Votre Enfant » (JCLattès)
JURISPRUDENCE sur la résidence alternée & retours d’expériences (vidéos)
Marta de Tena, auteur de « La garde alternée, du sur mesure pour nos enfants », explique ses raisons pour écrire ce livre et donne son avis sur l’alternance.
+ d’infos sur la résidence alternée : jafland.info
http://www.ina.fr/economie-et-societe/v ... ee.fr.html

Milieux médiatisés : un mal non nécessaire dans la plupart des cas
La garde alternée
« Garde alternée, retours d’expérience et jurisprudence » (…).
Pour préserver les enfants de la séparation, le plus important est de préserver la coparentalité au-delà de la séparation
Document parlementaire N° 3834 (dépôt 18/10/2011) – Proposition de loi de M. Richard Mallié visant à préserver l’autorité partagée et à privilégier la résidence alternée pour l’enfant en cas de séparation des parents (Mode quasi-exclusif en Suède avec de très gros succès)
Ce texte vise à préserver l’autorité partagée et à privilégier la résidence alternée pour l’enfant en cas de séparation des parents. (Succitant un grand espoir pour les enfants séparés – voire aliénés dans 6 à 13 % des divorces) ; présenté par une centaine de députés…
Considérant que « lorsqu’un parent s’oppose à la résidence alternée, il obtient systématiquement gain de cause », les signataires jugent qu’il « faut être dissuasif à l’égard du parent qui prend le risque de rendre son enfant otage d’un conflit ». « En cas de désaccord entre les parents, le juge entend le parent qui n’est pas favorable au mode de résidence de l’enfant en alternance au domicile de chacun de ses parents, exposant les motifs de son désaccord au regard de l’intérêt de l’entant. La préférence est donnée à la résidence en alternance paritaire », ajoute leur proposition.

Texte de loi déposé (Assemblée Nationale)
Commenté sur LCI /TF1 News
Mesures préventives (lois & références juridiques) pour lutter contre l’exclusion parentale

EXPERTS
CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005
Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes
L’interruption des contacts et des relations entre les enfants et l’un des parents après une séparation ou un divorce exerce un impact traumatisant aussi bien sur les enfants concernés que sur leurs parents.
Le devenir ultérieur des enfants est particulièrement préoccupant. EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes
Le taux des maladies psychosomatiques telles que les troubles anxieux, les dépressions, les troubles de la conscience de soi et les troubles relationnels est significativement plus élevé chez les personnes adultes examinées dont le père a été absent pendant une période prolongée au cours des six premières années de leur vie.
Environ 50 à 70 % des hommes et femmes subissent encore à l’âge adulte des problèmes considérables pour avoir grandi sans leur père. EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes
Le maintien du contact affectif et relationnel est considéré aujourd’hui comme étant un critère important du « bien-être psychique et moral de l’enfant ».
Le respect des relations et des contacts affectifs naturels de l’enfant avec ses deux parents et du maintien de la fréquentation des deux parents est un critère important quand il s’agit pour les tribunaux d’évaluer la capacité d’éducation et d’attribuer l’exercice de l’autorité parentale. EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes
Autrefois, on prenait la relation à deux (dyade) entre la mère et son enfant comme prioritaire; aujourd’hui, les résultats de la recherche prénatale et néonatologique nous apprennent que l’enfant est, depuis sa conception, un dans une relation à trois (triade).
C’est à partir de la deuxième et notamment à partir de la troisième et quatrième année que l’enfant suit le rythme naturel et commence à se développer en s’éloignant de sa mère, en se détachant d’elle et, pour ce faire, il a besoin de son père pour réussir son individuation, sa séparation et son autonomie.
Lorsque celui-ci manque, pour quelques raisons que ce soit, l’enfant reste souvent littéralement lié à sa mère avec tous les impacts sur le développement de sa personnalité. Les complexes de symbiose non résolus (relations fusionnelles à la mère) jouent un rôle important pour de nombreuses maladies de l’âge adulte telles que les névroses d’angoisse, les dépendances, les troubles de conduites du comportement alimentaire et les maladies psychosomatiques EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes

La perte d’un des parents bouleverse profondément le soi de l’enfant, sa structure et sa substance.
L’enfant se sent brisé. Il a l’impression que la perte d’un des parents se dirige contre lui : « C’est de ma faute », ou « Je n’ai pas mérité que maman (ou papa) reste. » EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes
La perte d’une relation s’accompagne d’une douleur qui peut se manifester de manière complètement variée (par exemple, sous forme de dépression, d’angoisse, de symptômes psychosomatiques, etc.).
Souvent, l’entourage de l’enfant n’aperçoit pas ses signaux, ou ne les comprend pas correctement, ce qui fait que l’aide ne vient pas. Pour supporter sa situation d’une manière quelconque, l’enfant refoule sa douleur, il la dissocie. Vu de l’extérieur, on ne peut plus s’apercevoir de rien.
C’est ce clivage entre une partie souffrante et refoulée de la personnalité et l’image « normative » donnée à voir aux autres (on parle de façade) qui est responsable des problèmes psychiatriques ultérieurs. EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes

Compte tenu des conséquences de la dissociation, il importe que l’aliénation parentale soit diagnostiquée le plus tôt possible et que toutes les parties intervenantes des procédures des divorces, (parents, juges aux Affaires matrimoniales, services sociaux, conseillers, experts judiciaires, avocats) responsables du bienêtre psychique de l’enfant y contribuent.
Si le premier secours – judiciaire et extrajudiciaire – n’a pas lieu à temps et de manière appropriée, il est plus difficile d’interrompre le processus de désaffection. EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes

La tâche primordiale des parents, des services psychosociaux et des tribunaux compétents dans les affaires matrimoniales consistent à garantir, voire à rétablir, un maximum de relations afin que l’enfant puisse vivre avec ses deux parents.
L’enfant est entre de bonnes mains s’il vit avec celui de ses parents qui coopère avec l’autre et qui, après la séparation ou le divorce du couple, est prêt et capable d’incorporer l’autre parent de manière active et responsable dans l’évolution et dans l’éducation de l’enfant ou des enfants communs. EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes
Le contact entre l’enfant et celui des parents qui vit à part ne doit pas être rompu de manière unilatérale.
Capituler devant les cas particulièrement difficiles, c’est agir aux dépens de l’enfant. En effet, les traumatismes provoqués par la perte forcée d’une relation parentale sont profonds et perdurent nettement jusqu’à l’âge adulte. EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes

Il semble apparemment plus douloureux et psychologiquement plus annihilant de perdre un enfant par le PAS (Parental Alienation Syndrom) que par la mort.
La mort est définitive et aucun espoir de réconciliation subsiste… L’enfant atteint du PAS toutefois vit encore et peut même habiter quelque part dans les environs immédiats… Pour certains parents aliénés, cette douleur continue se transforme en une sorte de « mort vivante du coeur. » EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes[/quote]
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
alex38
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Re: violence conjugale sur les hommes et trouble de santé mental

Message par alex38 »

merci pour les informations , j ai tellement l impression de ce temps si que la seul solution logique pour plus avoir mal vu que je l aime encore (pour mon ex) et que j ai l impression que c est sa maladie qui a causer la séparation avec le fait que je lui demandais de se faire aider plus que certain jours je me dis que de mettre fin a ma vie réglerais le problème de douleur de mon coté et terminerais la bataille vu que elle me tasse des décisions pour nos enfants et depuis la séparation (et depuis 1 an aussi ) me transmet pas les informations pour leur problème de santé vu que ils sont dispraxique lorsque elle en obtient elle a été a un colloque pour leur problème mais a part de dire sur facebook que tous les parents devrais aller chercher les même information aucun partage d information avec moi sur ce que elle a su labas comme si il y avais juste elle d important pour leur développement et me communique juste ce que il lui tente ou que elle a besoin de savoir si un problème de santé est présent chez moi aussi.

j’espère que mon avocates va réussir un peu a récupérer mes droits de pères vu que mon ex conjointe ne semble pas voir réellement l importance que j ai pour les enfants autres que d avoir été un géniteur et devoir signer quand il y a de quoi que sa prend 2 signatures.
sarah1369
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Re: violence conjugale sur les hommes et trouble de santé mental

Message par sarah1369 »

est ce que mon conjoint en me fesant l amour quand je dort et violament est ce de la violence conjugal est ce qye les remarque devant les gens ou devant mes enfants denigrante envers moi son de la violence conjugale ?? et que puis je faire.???
Sylvie893
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Inscription : 22 janv. 2020, 10:49

Re: violence conjugale sur les hommes et trouble de santé mental

Message par Sylvie893 »

il faudrait regarder du cote du syndrome Elkharrat

Le syndrome Elkharrat est une évolution moderne du syndrome de Médée. Il s agit d’un ensemble de manœuvre visant a exclure un autre parent et de le supprimer non pas physiquement mais moralement de l’existence de ses propres enfants.
Le syndrome Elkharrat se développe généralement après une séparation ou un divorce. Il résulte d’une séparation très conflictuel ou le conjoint souhaite punir son ex mari ou ex épouse. Il utilise la justice et son enfant pour se venger, deuil sadique d’amour. Dans la majorité des cas qui ont développé le syndrome Elkharrat, sont des pères ou une mères n aillant pas réussi a refaire sa vie ou n en n aillant pas l envie de le faire et qui utilisent ses enfants pour se venger, deuil sadique d’amour.
De part nature, le parent qui est atteint du syndrome Elkharrat a la garde de ses enfants ce qui lui permet de pouvoir ajouter des dimensions psychopathologiques importantes et peut alors associer le syndrome d’aliénation parentale.
Le syndrome d’Elkharrat résulte d’une action destructive très grave avec impact négatif important pour les enfants et l’autre parent. Dans de nombreux cas, l’enfant est alors transformé en enfant soldat piloté par le parent et dans le seul but de détruire l’autre parent.
Le parent destructeur agit souvent avec des alliés qui sont souvent membre de sa propre famille qui eux même déteste copieusement le parent victime. Il arrive parfois que des médecins, des assistantes sociales ou des associations de victimes de violence conjugale soient eux aussi complices malgré eux. Le complexe Elkharrat est l’envie caractérisé par une haine prononcée envers son ex mari ou concubin. Ainsi priver l’homme de sa descendance serait en réalité l’intention de le priver de sa puissance (pénis) et donc de l émasculer. Le mode opérationnel est le même que pour le pervers narcissique c est a dire l’isolement de l’enfant, le parent atteint du syndrome Elkharrat coupe tout d’abord tout lien possible entre le parent victime et ses propres enfants, refus de communication téléphonique, non représentation d’enfant, refus d’informer le parent de la vie de ses enfants. Le parent Elkharrat souhaite remplacer le père de ses enfants par son propre père c’est a dire le grand père de l’enfant. En plus de ces actes, le parent Elkharrat utilise toutes sortes d’action pour décourager l’autre parent comme par exemple une multitude de procédure judiciaire et surtout un ensemble de stratagème malhonnête visant a gagner du temps et ainsi rendre ses enfants complètement étranger de l’autre parent. Le parent qui souffre du syndrome Elkharrat et qui fait tout pour priver l’autre parent sont en fait habités par le sentiment d’être des justiciers. Ils pensent eux même être victime de cela (l’effet miroir) et pour justifier son action, le parent aura tendance a avoir un trouble de la paranoïa en accusant l’autre parent de le suivre, de pourrir sa vie, de hacker ses emails ou des ses comptes facebook écoute téléphonique etc.. (paranoïa narcissique). Le parent Elkharrat se prétendra toujours comme une victime et même face a l’évidence, elle défendra ses actions par la légitime défense.
Pour les enfants
Pour les enfants qui vivent avec un parent qui souffre du syndrome Elkharrat, il s agit d’un conflit de loyauté sur le quel ils sont pris en otage comme pour le syndrome d aliénation parental et l enfant devient complice de l’action du parent le plus généralement en aillant son consentement implicite. L enfant peut aussi être amené au sacrifice, dans l’affaire Elkharrat, la mère n’avait pas hésiter a porter plainte contre son propre fils de 7 ans pour attouchement sexuel envers sa petite sœur et l’avait amener devant le tribunaux devant un juge des enfants. Le jeune fils devint le plus jeune délinquant sexuel de France. Toute cette action n’avait qu’un but, celui de faire porter le chapeau au parent victime. Dans ce cas précis l’ensemble de la famille Elkharrat pourtant religieuse avait porter de grave accusation mensongère envers le parent victime. Les enfants sont donc les principales victimes du syndrome Elkharrat. Même a l’age adulte, les enfants victimes d’une mère ou d’un père Elkharrat ne peuvent se sortir seul de cette relation toxique. Le jeune adulte commencera a comprendre ce qu il a fait et culpabilisera sérieusement.

Le nombre de victime est difficile à répertorier, il y aurait moins de 300 cas par an en France chaque année.
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Re: violence conjugale sur les hommes et trouble de santé mental

Message par Dubreuil »

sarah1369 a écrit :est ce que mon conjoint en me fesant l amour quand je dort et violament est ce de la violence conjugal est ce qye les remarque
devant les gens ou devant mes enfants denigrante envers moi son de la violence conjugale ?? et que puis je faire.???
*** Si vous n'êtes pas consentante, c'est un viol.
C'est effectivement de la violence conjugale, et vous devriez…
- Porter plainte
- Ecrire au Procureur de la république de votre ville ou région pour dire que vous avez peur de lui et de la sécurité des enfants
- Aller voir une assistante sociale pour être conseillée
- Le quitter avec les enfants
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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