J'ai vraiment hâte de me réincarner, mais je prendrais un break avant. L'été achève (C'est pas ce que dit la météo mais bon), l'automne s'en vient (selon le calendrier c'est une saison qui existe). Il me semble que j'aimerais ça hiberner jusqu'au printemps ou me transformer en bibitte (de préférence un papillon ou un insecte qui pique).
Pourquoi il a fallu que je sois un humain ? J'haïs les humains.
Je suis asperger
Re: Je suis asperger
salut,
tiens encore une question bizarre:
Quelle est la différence entre psychothérapie analytique et psychanalyse ?
tiens encore une question bizarre:
Quelle est la différence entre psychothérapie analytique et psychanalyse ?
Re: Je suis asperger
Waow, ce fil est hyper vieux... mais je serais curieuse de savoir ce que "boulette" est devenue...
Ce qu'elle dit des neurotypiques me paraît à la fois très juste et en même temps c'est la réalité d'un "moment" de la vie humaine, qu'on l'observe à l'échelle de l'histoire de l'humanité ou à celle d'une vie humaine. Un moment duquel un individu peut sortir par l'analyse pour accéder à l'éternité psychique, et duquel l'humanité sortira peut-être un jour si l'on imagine que ça passe par le fait que tous les parents auraient subi une analyse avant de procréer, histoire d'élever leurs enfants dans l'acceptation des limites de la vie individuelle (la mort, le corps, la différence...) et dans la sublimation du désir d'absolu (car c'est bien lui qui nous fait souffrir dans nos petites vie corporelles et temporelles). Mais bon là c'est moi qui suis dans l'idéalisme. On serait alors dans une autre forme d'humanité, où nous serions tous du "3e sexe" et où on envisagerait l'autre comme une fin et non comme un moyen...le paradis sur terre, quoi. Oublions.
En attendant, la seule vérité du monde terrestre, c'est la mort, dit L-F Céline. Pour survivre, il faut mentir, porter un masque, composer avec les névroses (les nôtres et celles des autres), voiler ses intentions pour parvenir à ses fins, sans nuire et c'est là toute la subtilité de l'habileté sociale. Un certain Jésus aurait signé un chèque en blanc aux Chrétiens en mourant pour démontrer ça (mais la plupart l'ignore et a pris la mauvaise habitude de s'échiner à l'imiter
vive l'obscurantisme).
Je me dis que si "boulette" trouvait le moyen d'accepter cette réalité, son QI et sa logique animale absolue, couplée à une sociabilité bienveillante travaillée, lui donnerait un pouvoir de guérison énorme pour les neurotypiques en mal de confiance, leadership, etc., justement en les ramenant à une logique plus animale, à plus de cohérence. Les posts sur la médiation animale me font penser à l'équicoaching, où le cheval, en agissant comme un miroir, est le révélateur du niveau de cohérence dans la communication de l'humain à qui il a affaire. Le travail se faisant au sol et sans contrainte, le cheval ne coopèrera avec l'humain que s'il peut lui faire confiance, c'est à dire s'il reçoit de lui un message cohérent et authentique, sinon "danger" et fuite.
Bref, à l'époque de ce fil, "boulette" était peut-être dans le rôle du cheval. Et aujourd'hui ? Coach, thérapeute ? who knows...
Ce qu'elle dit des neurotypiques me paraît à la fois très juste et en même temps c'est la réalité d'un "moment" de la vie humaine, qu'on l'observe à l'échelle de l'histoire de l'humanité ou à celle d'une vie humaine. Un moment duquel un individu peut sortir par l'analyse pour accéder à l'éternité psychique, et duquel l'humanité sortira peut-être un jour si l'on imagine que ça passe par le fait que tous les parents auraient subi une analyse avant de procréer, histoire d'élever leurs enfants dans l'acceptation des limites de la vie individuelle (la mort, le corps, la différence...) et dans la sublimation du désir d'absolu (car c'est bien lui qui nous fait souffrir dans nos petites vie corporelles et temporelles). Mais bon là c'est moi qui suis dans l'idéalisme. On serait alors dans une autre forme d'humanité, où nous serions tous du "3e sexe" et où on envisagerait l'autre comme une fin et non comme un moyen...le paradis sur terre, quoi. Oublions.
En attendant, la seule vérité du monde terrestre, c'est la mort, dit L-F Céline. Pour survivre, il faut mentir, porter un masque, composer avec les névroses (les nôtres et celles des autres), voiler ses intentions pour parvenir à ses fins, sans nuire et c'est là toute la subtilité de l'habileté sociale. Un certain Jésus aurait signé un chèque en blanc aux Chrétiens en mourant pour démontrer ça (mais la plupart l'ignore et a pris la mauvaise habitude de s'échiner à l'imiter
vive l'obscurantisme).Je me dis que si "boulette" trouvait le moyen d'accepter cette réalité, son QI et sa logique animale absolue, couplée à une sociabilité bienveillante travaillée, lui donnerait un pouvoir de guérison énorme pour les neurotypiques en mal de confiance, leadership, etc., justement en les ramenant à une logique plus animale, à plus de cohérence. Les posts sur la médiation animale me font penser à l'équicoaching, où le cheval, en agissant comme un miroir, est le révélateur du niveau de cohérence dans la communication de l'humain à qui il a affaire. Le travail se faisant au sol et sans contrainte, le cheval ne coopèrera avec l'humain que s'il peut lui faire confiance, c'est à dire s'il reçoit de lui un message cohérent et authentique, sinon "danger" et fuite.
Bref, à l'époque de ce fil, "boulette" était peut-être dans le rôle du cheval. Et aujourd'hui ? Coach, thérapeute ? who knows...
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