Voici personnellement ce que j'en comprends (ça pourrait être un bon exercice ?) : mes maux viennent simplement de moi.
Je réfléchis trop (mon patron me dit d'ailleurs d'être "moins cérébrale").
J'en comprends que j'ai moi même défini mon problème sans même le voir.
Et que la solution est interne : un travail sur moi même.
C'est pour moi grossièrement une image du passage à l'âge adulte.
Quant on est enfant on ne se soucis pas de choses, quant on est adulte on y attache plus d'importance.
Mais entre l'enfance et l'âge adulte rien n'a en vérité changer et ça a toujours été comme ça.
Si ça se trouve j'ai tout faux !
Etrangement j'ai l'impression que mes solutions se portent simplement entre le fait d'ignorer ce que je ne comprends pas, non pas par déni, mais parce que chacun à une logique, un vécu, des combats et des ambitions qui lui sont propres et qui ne peuvent s'expliquer que par la simple apparence. Ou simplement travailler sa résillience.
Je suis curieux. Combien de temps faudrait-il pour que je comprenne réellement ?
Certains passages restent obscurs pour moi : "Tu te moques du petit homme sans même savoir que c'est de toi que tu te moques." ainsi que "J'ai très peur de toi, petit homme. Il n'en a pas toujours été ainsi. [...] Puis, je suis devenu un savant et un psychiatre, et je me suis rendu compte combien tu es malade et combien ta maladie te rend dangereux.". Ces passages s'appliquent-ils à moi, selon vous ? Peut être que je lis ces passages un peu trop au premier degré.