L'attente du sein de la mère

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Minijeune
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Minijeune »

Je comprends ce que vous voulez dire...
Mais revenir sous un nouveau pseuso, comme une nouvelle personne... en recommençant le même genre de comportement... sans dire que c'est vous... sans utiliser le pseudo de Nikolas2 par exemple, pour vous faire reconnaitre... ça ne démontre pas un cheminement... que vous avez grandi et que vous revenez avec des intensions qui vous regardent en fait...

J'aurais aimé ne pas avoir à comprendre que vous étiez la même personne pour que oups, vous vous dévoiliez... vous aviez peur du rejet?? Qu'on vous bannisse encore?

Quand vous parlez là, de vous...
Je sens que c'est plus "vrai" que quand vous vous cachez derrière un deuxième pseudo...

Le but est de protéger votre propre personne...
Et de protéger les autres lecteurs... parce que comme vous le dites... vous ne vous rendez pas toujours compte sur le coup de la manière comment vous entrez en communication avec les autres...

Je ne suis pas modératrice ici...
Mais je me pose tout de même des questions sur votre manière d'agir... et de revenir ici...
Pour moi, l'honnêteté reste toujours la plus belle qualité...
Vincent2
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Vincent2 »

Moi aussi je me pose encore quelque question sur pourquoi je viens ici, mais là pour le coup, j'ai mis mon vrai prénom…
L'honnêteté ça on peux pas me l'enlever, même si dupé l'autre peux apporter une satisfaction, même si des fois je dois me forcer pour être honnête, je peux pas être plus honnête que là...
Dubreuil
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Dubreuil »

qUELQUES RUDIMENTS DE REPONSE EN PRENANT LA BOULIMIE COMME EXEMPLE...
Manger c’est incorporer, garder en soi, détruire, c’est du cannibalisme.
l’avidité dépasse ce que l’on veut et ce que l’on nous donne.
En s’appuyant sur la théorie des pulsions de Mélanie klein* ( théorie fin analyse ) ces dernières ne vont plus sur la dévoration du sein mais sur tout ce qui est mangeable, la nourriture n’existant pas en elle même.
Manger est un fait social avec des normes conventionnelles : petit déjeuner, déjeuner, goûter, dîner. Ces fonctions apparemment innées sont en fait particulièrement acquises par un apprentissage primitif qui les complètent, les organisent en sensations distinctes efficaces ou totalement anarchiques pour le bébé.
La mère répond normalement aux sensations de faim de son enfant avec une nourriture appropriée, l’enfant développe l’engramme de faim et apprend ainsi à le reconnaître et à le distinguer des ses autres tensions ou besoins.
Si la mère est perdue dans ses problèmes personnels et ramène à elle tous les faits et gestes de son enfant, par ex : quand il pleure elle a mal, quand il ne mange pas il lui est hostile quand il mange c’est pour lui faire plaisir, si ses réponses ne sont pas appropriées, si elle néglige, inhibe, force ou entérine indistinctement tous les messages de l’enfant, celui-ci est dans la plus grande confusion.
Plus tard il sera incapable de faire la différence entre faim et non faim. D’où la peur de mourir de faim de l’obèse.
L’aliment est associé à l’excitation du besoin qui amène le souvenir de la satisfaction, c’est ce qu’on appelle le désir.
La satisfaction orale est une satisfaction érotisée, celle du plaisir de jouir du lait.
La suralimentation est un retournement auto-érotique lié à la perte de l’objet, une régression vers la « sexualité » orale.
Normalement perdre le sein c’est le désirer. Il y a donc une différenciation de fait entre le lait et le sein. Dans la boulimie il n’y a pas d’objet perdu ( le lait ) car le lait et la satisfaction-jouissance ne font qu’un, la fonction reste uniquement sur elle-même.
Il n’y a pas le deuil de la symbiose, il n’y a pas de séparation donc pas de désir de retrouver.
Le désir va rester sur la nourriture.
Ne pas manger ou manger trop sont toujours les signes d’une recherche de limites.
La boulimie se vit comme un refuge, un fonctionnement désespéré dans la confrontation avec la réalité chez des sujets qui se débattent avec l’incertitude des frontières entre l’intérieur et l’extérieur, entre leurs pensées et celles des autres, entre le rêve et la réalité.
Dans la normalité, ce qui est associé à l’excitation du besoin amène le souvenir de cette satisfaction et on la désire à nouveau, c’est le désir. L’aliment est associé à l’excitation du besoin, et le souvenir de la jouissance procurée ramène le désir.
Dans la boulimie il n’y a pas de vie possible quand il n’y a pas de nourriture, on ne peut que mourir. Il n’y a pas de recul entre le lien du désir créé par le manque, et la différenciation entre l’objet et la satisfaction. On ne peut donc que manger.
De même que la nourriture ne nourrit pas, qu’elle n’a pas de goût, la sexualité n’a pas de désir.
Chez la personne boulimique la suralimentation est une masturbation. Une régression à la première sexualité qui était orale
Entre ce qui se perd et n’est pas perdu, le sein érotisé qui est soi, et ce qui ne peut pas se retrouver puisque c’est là, il n’y a pas de deuil possible
Manger est la nécessité de retourner avant la parole sans avoir besoin de la parole pour exister.
Pour éviter le déplaisir la nourriture est alors considérée comme seule désirable, on tourne en rond sans l’autre, on s’auto récupère pour ne jamais se perdre.
La boulimie est entre la négation du plaisir, et la tentative du plaisir, pour ne pas aller vers la réalité.
Le boulimique jouit seul, il se donne ce souvenir érotisé, il jouit de lui.
Le corps ignoré fuit, laissé à l’abandon. Il y a une distorsion du fait de cette manipulation, les anorexiques ne se voient pas maigres, les obèses ne se voient pas maigrir.
Manger pour le boulimique c’est comme une hallucination, le passage de la bouche pleine d’aliments à une bouche pleine de mots. Mais la bouche reste vide.
Le manque est nommé par la bouche qui n’en parle pas et l’engouffre.
Manger c’est ne rien dire, le discours du plaisir est parfait, les mots y perdent leur sens, on ne cherche plus les mots, la nourriture les habitent. Tout ne devient que besoin sourd, machinal, comportementaliste, sans travail, sans objet ni désir
Manger c’est transgresser un interdit, on est gros, on ne doit pas manger, on se fait honte et on fait honte aux autres, alors on mange quand même en sachant que ce n’est pas ce que l’on désire, et on se punit de manger en mangeant
Si on mange on nie tout, donc on mange tout. Jusqu’à ce que l’on ne puisse rien retrouver, que l’on ne voit plus rien, que ça n’existe pas.

* Théorie de Mélanie Klein
( Psychanalyse )
Selon Mélanie Klein, le plaisir de la tétée est relié au stade oral, avec les principes d’intériorisation et d’intériorisation, et d’incorporation.

Intériorisation
Ce qui est en soi.

Introjection
Mettre en soi

Incorporation
L’enfant qui se trouvait alors à l’intérieur du corps de la mère la place maintenant à l’intérieur de lui. Ce sera le mécanisme psychologique inconscient d’incorporation imaginaire d’un objet.

Mélanie Klein pense que dès le début de la vie, le petit enfant a déjà un Moi archaïque livré à la peur et à l’angoisse.
De plus, il aurait déjà un surmoi lui interdisant de satisfaire ses désirs.
Elle divise cette première périodes de la vie en deux positions :
- La position paranoïde-schizoïde
- La position dépressive

*******La position paranoïde-schizoïde
Se situe vers 4 mois, dans le stade oral
Elle est liée à l’instinct de vie et de l’instinct de mort de la personnalité.
D’une part les pulsions sexuelles et d’auto-conservation, d’autre part les pulsions agressives et d’auto-destruction.
Ce sont ces pulsions qui sont en œuvre dans la position paranoïde-schizoïde, ainsi qu’entre les conflits entre le moi et le surmoi.
Au stade oral le bébé ne fait pas de distinction entre lui-même et le sein nourricier. Il ne voit que les objets partiels et non l’objet entier. Le sein de la mère est un objet partiel.
Dès que le déplaisir ou la frustration se fait jour le bébé projette à l’extérieur ce qui lui est intolérable, mais cela lui revient automatiquement et l’habite entièrement.
A la fois il devient mauvais et à la fois il est mauvais. De même pour le bon ressenti, à la fois il est bon et à la fois le bon lui revient.
Dans son omnipotence il peut donc être bon et mauvais ( caractère des enfants-rois )
Il clive ainsi l’objet en deux parties : le bon et le mauvais sein.
Il est aussi la bonne et la mauvaise mère.
Quand l’objet lui semble mauvais il développe une agressivité fantasmatique et attaque le sein.
Cette agressivité lui est aussitôt rendue et peut le détruire ( fantasme ) d’où les peurs et les angoisses.
En incorporant le bon et le mauvais sein il devient identifié à ces objets.
Il en prend les attributs et la puissance, bonne ou mauvaise.
Ce qui est détruit fantasmatiquement chez l’une est détruit chez l’autre.
En ethnologie, il a été prouvé qu’à des périodes lointaines les parents dévoraient véritablement leurs enfants. Ces comportements ne pouvant qu’engendrer l’horreur, n’ont pu être assumés et ne le sont encore aujourd’hui que par le biais des contes de fées.
Cette animalité dévorante de l’homme le dépasse lui-même dans son entendement, et force lui est, pour l’expurger, de la banaliser dans un imaginaire collectif ou symbolique.
L’enfant en garde inconsciemment le souvenir et l’anticipe en dévorant symboliquement la mère potentiellement dévoreuse. ( d’où le désespoir des enfants qui veulent « réparer » les parents )
Ensuite, plus élaborée l’angoisse devient soit persécutrice, soit dépressive.
L’enfant n’arrivera à se dégager de cette position paranoïde-schizoïde qu’à la position dépressive.

********Position dépressive
Ce clivage s’atténue par la suite, mais les pulsions destructives ont fait naître une grande culpabilité provoquant une angoisse dépressive. Là intervient alors le fantasme de réparation et de protection de l’objet détruit.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Dubreuil »

Deux passages de mon livre : Sacred breath of fury ( le souffle sacré de la fureur )

1)

" - Il faut que vous sachiez, quand les psys disent que la tétée c'est une question de survie, un cas de conscience pour le bébé avec de la vengeance autour, excusez-moi, mais vous êtes loin du compte ! Encore à ce jour, dans certaines tribus le meurtre et le dépeçage de l'enfant c'est l'apogée de la jouissance alimentaire de la mère, elle jouit de manger son enfant ! Alors cette horreur, cette terreur que je ressens au plus animal de mon être, c'est bien plus qu'une histoire de sein, dense ou vide, c'est du cannibalisme annoncé... pas de mystère, cette odeur de mort, si je la connais c'est que je l'ai déjà goûtée, c'est l'odeur de ma mère, mangera bien qui mangera le dernier !"

2)

- mais une voix hallucinée, comme après la naissance, quand le nourrisson privé un temps du sein ou de l’odeur de sa mère, hallucine sa présence en l’attendant. Quand il la met en scène.
Il bondit du divan :
- Arrêtez je vous dit ! Ne me parlez pas de seins gonflés de lait, ça me donne des hauts-le-cœur, une femme qui allaite, l'odeur, rien que la vue, ça me dégoûte... et ce geste, où elle lui tourne d'autorité la tête vers le mamelon, quand il la cherche bouche ouverte, c'est, c'est... et le voir sucer, c'est obscène !
Il attrape le violoncelle, le plaque contre lui.
- … cette connivence, cette lubricité goulue de la bouche du bébé à ce téton froncé, ce bout de sein dressé... ce largage d'ocytonine comme sous la succion pressante d'un amant... et tout ça qu'ils abandonnent ensuite, lui repu, elle apaisée, quand elle le remet en place avec sa main, sous son vêtement... ce morceau de chair vide, flasque, qui va se remplir à nouveau, précis, rigoureux, mathématique... et à nouveau cette mamelle trivialement dénudée, suintante, qui va exiger d'être aspirée, mâchouillée, tétée, c'est... c'est...
Les deux mains posées sur le ventre du violoncelle, il attend la nausée.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Vincent2
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Vincent2 »

Ah bon la culpabilité est si archaique que ça, déjà bébé on peux culpabilisé...ça m'amène sur un autre questionnement…
Pour culpabilisé de vouloir détruire un objet il faut aussi l'aimé et donc il faut être capable de le considéré dans sa globalité, et donc la culpabilité nait du moment ou on a arrive à concevoir que le sein peut-être à la fois bon et mauvais tout en étant le même objet (?)
Minijeune
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Minijeune »

Mais un bébé...
Son cerveau n'est pas assez developpé pour avoir une conscience de qui il est... de qui sont les autres... de ce qui lui appartient et ce qui ne lui appartient pas... il n'est pas en mesure de dire que sa mère est sa mère??! Non?

Il reconnait l'odeur, la voix, les battements de coeur... peut-être le goût du lait, la sensation du mamelon dans la bouche... je ne sais pas... mais il n'a pas la notion de l'amour inconditionnel... il se fait bercer, cajoler, endormir, nourrir, changer, laver... pour qu'on soit aux petits soins... pour nourrir son lien d'attachement et répondre à ses besoins physiologiques et affectifs... il vit!! Mais personnellement, je ne sais pas à quel point il peut ressentir ce que vous mentionner... la culpabilité? L'amour, la haine... oui il vit peut-être des émotions... des frustrations archaïques... quand un de ses besoins n'est pas répondu... mais on ne peut pas attribuer des feeling d'adulte à un enfant qui n'a même pas conscience qu'il existe. Peut-être plus tard, une fois qu'il se sera développé un peu... qu'il franchira des stades de développement... non?!

Et ce que je trouve intéressant par rapport à tout ce qu'il se passe ici et la boulimie par exemple... c'est que j'ai l'impression que Vincent, la boulimie peut s'observer dans le fait d'être nourri de l'attention des autres... d'un savoir sans limite... parce qu'il n'y a pas de limite au savoir... même les gens que vous adorez, que vous idolâtrez, ne savent pas tout... c'est ça la beauté de la vie... vous pourriez gober autant que vous voudriez de l'information donnée... est-ce que ça serait assez à un certain moment?? Ou vous resterez un trou aans fond qu'on ne peut satisfaire?
Vincent2
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Vincent2 »

ça me fait penser à la citation d'un savant fou dans un manga "La perfection représente le désespoir, si quelque chose est parfait, c'est qu'il n'y a rien de mieux, plus de place pour l'imagination, plus de place pour l'évolution, un scientifique est quelqu'un qui doit rester extatique à chaque découverte et éprouver un plaisir mazochiste à viser la perfection tout en sachant qu'il ne l'atteindra jamais"
Minijeune
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Minijeune »

Vincent2 a écrit : Tout va presque bien même si je consomme du cannabis assez souvent, ils veulent m'hospitaliser quelques semaines pour un servage car sinon ils ne peuvent pas m'accepter.

Au niveau de ma quête de "l'homme qui voulait n'avoir aucune zone d'ombre" je suis bloqué car aucun moyen de transport pour reprendre la psychanalyse, depuis j'ai refais une séance (mon frère m'a amené une fois pis après il s'est dégonflé, va falloir reprendre par mes propres moyen, ça fait attendre encore...6 mois ? Un an ? Trois ans ?)

Au bilan de compétence ils ont dit que j'avais un ralentissement idéo moteur, j'ai des difficulté pour conduire et quand je suis pris par mes rumination j'arrive plus à conduire correctement, je cale et je pense à ce que les gens dans les voitures pense de moi...
Et que dire de ce message!!
Que de contradiction avec ce que vous tentez de nous chuchoter à l'oreille...
Vous savez, et là je sais que je continue de vous donner de l'attention... mais je dois vouloir essayer de prouver et que j'ai raison... tout me reste dans la tête... ce que je lis... je vais interpréter tout ce que vous allez écrire, en fonction de ce que vous nous donnez comme info.

Vous vous présentez comme quelqu'un qui se ferait hospitaliser au moindre danger et que vous seriez assez responsable de vous rendre... avant... ou après... un passage à l'acte... mais vous êtes aussi celui qui ne veut pas se faire hospitaliser pour quelque chose de grave... comme de consommer alors que vous représentez ce danger, en plus d'avoir une tendance psychotique.

Si j'avais des faiblesses niveau fantasmes inappropriés... je continuerais à faire de la thérapie... psychanalyse ou pas... (mais on sait bien que Nikolas ne pouvait se faire traiter que par les meilleurs... pas n'importe quel psy... et Mme Dubreuil puisqu'elle est reconnue et qualifiée... c'était assez bien pour vous et votre égo!) et si j'avais des penchant pour devenir psychotique, je ferais tout ce que je pourrais pour rester responsable. Une bonne hygiène de vie en débutant... ma médication, et pas de drogue... C'est bien irresponsable de nous dire tout ce que vous avez fait d'immoral... de dire par la suite qu'il n'y a pas de problème car vous n'êtes pas un pervers et que vous ne perdrez pas le contrôle... tout en ayant des envies sadiques... mais vous consommez de la marijuana... en sachant très bien que ça peut rendre psychotique, que ça entre en jeu dans votre rétablissement, mais que surtout, ça met à risque les gens autour... c'est en rien thérapeutique... et c'est dangereux... comment savoir que vous allez être en possession de vos moyens une fois complètement stône, sous l'effet d'une drogue. Vous vous mettez à risque... et vous mettez d'autres personnes à risque.

C'est un manque de jugement. Et un manque de responsabilisation. Et une preuve, à mon avis, qu'on doit être prudent par rapport à vous... et qu'on ne doit pas écouter vos conseils... comme de dire qu'une personne n'est pas faite en porcelaine et qu'il s'en remettra... juste parce que vous avez fait une intervention sans savoir ce que vous saviez... et que vous ne connaissez, ni même moi, le réel impact des mots.

De mon côté, je m'arrête. Je vais attendre que les modérateurs s'en mêle. Je vais arrêter ma chasse aux sorcières. Je sais que ce qui devra être fait sera fait.
Vincent2
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Re: L'attente du sein de la mère

Message par Vincent2 »

J'ai juste été honnête, mais j'imagine que vous aller répondre que ce n'est pas de l'honnêteté mais de l'exibitionisme ou je sais pas quoi encore, je ne suis pas vôtre père, allez bonne nuit !
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