Mal être personnel

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laxutraly
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Mal être personnel

Message par laxutraly »

Bonjour a tous, alors jai 16 ans et je ressens une solitude profonde malgré le fait que j'ai des amis, je fuis mes amis au lycee et préfère rester seul a penser.Je ne sais pas qui je suis, comment je dois être, qu'esque je vais devenir, comment etre meilleur. Je suis quelqun d'extrement lunatique, je peux passer du rire au larmes, je change d'humeurs instantanément sans explication et me cherche bcp, je n'irai pas jusqu'à dire que je suis schizophrène mais par exemple je peux m'arrêter de faire quelque chose jusque parce que cette pensée m'a dit d'arrêter. Je me sens inferieur aux autres, different, mes amis eux je pense qu'ils ne seront jamais la pour moi et que de toute facon ces amitiés ne sont que passagère.Jessaie d'oublier ma situation dans des choses pas très licites. Contrairement au passé ou j'étais un enfant sur de lui, confiant, drole qui voulait attirer l'attention. Aujourd'hui je suis tout le contraire, je suis devenu timide, pas sociable, renfermé sur moi même. J'ai souvent des pensées suicidaire et je me dis que ma présence n'est d'aucune utilité dans ce monde, les gens s'en fouterai de ma mort et ca serait bien fait pour moi.Je ne trouve aucune cause a tous ca, ca a commencé ya environ 2 ans mais très faiblement, en fait plus le temps passe plus je vais mal. La ca fait vrmt 6 mois que je suis tres mal. Je sais pas quoi faire et j'aimerai vrmt de l'aide .merci
Vincent2
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Re: Mal être personnel

Message par Vincent2 »

C'est peut-être un début d'entrée dans la maladie mentale, vous êtes jeune, je vous recommande d'aller voir un professionnel de santé mentale, si la skyzophrénie est pris en charge très tôt il n'y a généralement pas de soucis.
Avez vous du mal à aller à l'école, à vous doucher, à vous brosser les dents ?
Ou encore à lire un livre ?
Dubreuil
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Re: Mal être personnel

Message par Dubreuil »

Je ne comprends pas pourquoi Vincent se permet de faire un diagnostic...
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Vincent2
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Re: Mal être personnel

Message par Vincent2 »

Dans l'hôpital ou je suis (à l'heure ou j'écris je suis en permission de sortie) on à des cours insight sur la maladie mentale et le syndrome skyzophrénique, on nous apprends les symptôme négatif positif et de désorganisation, au début de la maladie on peux ressentir un mal être, mais je suis pas sûr du tout que ça sois sont cas, c'est pas une affirmation je me questionne juste sur sont cas à lui.
Dubreuil
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Re: Mal être personnel

Message par Dubreuil »

LA CRISE D'ORIGINALITE CHEZ L'ADOLESCENT

Une horreur de la banalité, une propension à faire de soi quelqu’un d’exceptionnel et d’unique, caractérise l’adolescent. Ce désir d’originalité débute aux environs de 14 ans pour la fille et 15 ans pour le garçon. Il constitue un des premiers éléments de la "puberté mentale" qui accompagne les transformations d’ordre physiologique. La crise d’originalité désigne la forme la plus visible et la plus complète du désir d’originalité. Cette crise n’est pas permanente, elle présente des fluctuations. Son début est très souvent rattaché à un événement tel que l’éloignement, la mort d’un être aimé, un brusque changement dans l’existence, un chagrin d’amour, une ambition déçue, etc. Cette crise éclate soudainement et avec violence et présente deux faces :
- une face individuelle se caractérisant par l’affirmation de soi avec exaltation, une contemplation et une découverte du Moi comparable à la découverte du corps chez le bébé. Elle peut se traduire par un goût de la solitude, du secret, par des excentricités vestimentaires, comportementales, langagières ou épistolaires. La pensée est avide d’inédit et de singulier. La passion de réformer, de moraliser ou de bouleverser le monde est intense. Plusieurs degrés existent. - Une face sociale se manifestant par la révolte juvénile : révolte à l’égard des adultes, des systèmes de valeurs et des idées reçues. Les adolescents adressent deux griefs à l’égard des adultes : leur manque de compréhension et le fait qu’ils attentent à leur indépendance. En fait, il s’agit d’une révolte vis à vis de tout ce qui peut gêner cette affirmation de soi.

LA CRISE JUVENILE SIMPLE

Dans les crises juvéniles simples, l’acceptation de l’image de soi est assez facile, les réactions de l’adolescent sont liées à des motivations vivantes et chargées d’angoisse. En consultation, le médecin ou le psychologue apparaît réel, solide dans l’esprit de l’adolescent. Si les attitudes d’échec sont observables, elles sont réversibles et l’intelligence reste disponible.
Au contraire, dans les crises juvéniles sévères, l’acceptation de l’image de soi est difficile. En consultation, le praticien semble flottant, incertain, décevant aux yeux de l’adolescent. Trois tableaux caractéristiques sont décrits :
- La névrose d’inhibition, avec des inhibitions multiples, une difficulté à s’exprimer, une crainte de la personne du sexe opposé, une inhibition intellectuelle et sociale avec souvent des traits phobo-obsessionnels. - La névrose d’échec avec échec scolaire, échec sentimental, expression brutale d’interdit surgissant de l’inconscient, refusant le succès que semble souhaiter le conscient. La pensée devient perturbée, labile, instable, investie par des problèmes névrotiques ; - La morosité, qui n’est ni la dépression ni la psychose, mais un état proche de l’ennui infantile : "je ne sais pas quoi faire, à quoi m’intéresser, à quoi jouer, etc.". C’est un état qui manifeste un refus d’investir le monde, les objets, les êtres, la sexualité, plutôt qu’une perturbation thymique véritable. La vigilance est de mise en raison des risques passages à l’acte : fugue ou délinquance, drogue, suicide.
Ces crises sévères doivent cependant être distinguées des aspects dissociatifs où l’image de soi n’est plus acceptée du tout, et où, en plus, on observe parfois une division de la personnalité avec des bizarreries sortant du cadre de la simple originalité. Une schizophrénie débutante doit naturellement être évoquée, mais sans précipitation, et une consultation spécialisée s’impose. Le devenir avec le temps semble un des meilleurs critères diagnostiques.

LA CRISE DE L'ADOLESCENCE
Le cerveau se développe très rapidement durant la petite enfance puis adopte une vitesse de croisière assez lente jusqu’à l’âge adulte.
Le cerveau est formé à 95/100 dès l’âge de 5 ans, mais les secteurs les plus sophistiqués ne complètent leur développement qu’à la fin de l’adolescence. Dans le cerveau, la partie appelée corps calleux est un ensemble de nerfs réunissant tous les secteurs du cerveau qui participent à son bon fonctionnement, par exemple dans la prise des décisions
Cet ensemble de « câbles » est indispensable à l’intelligence, à la conscience, à la connaissance de soi.
Au tout début de l’adolescence le cortex préfrontal connait une poussée de croissance spectaculaire. L’essentiel de la maturation de cette partie du cerveau a lieu entre 12 et 20 ans.
Vers 20 ans le cortex est pratiquement maître du contrôle des émotions, de la maîtrise de soi, et de la rationalité des décisions.
Tant que le cortex frontal est inopérant les systèmes de compréhension de soi et des autres sont plus ou moins anarchiques.
Sport, musique, réussite scolaire, sens des responsabilités, conscience sociale, peuvent être câblés chez les adolescents.
Il se peut que les années de l’adolescence soient arqués par la rage, la dysfonction, et la désaffection, et ces aspects peuvent restés « gravés » dans la tête de l’adolescent à son passage adulte.
Tout comme le cerveau de l’enfant, celui de l’adolescent est parfois instable, dys-fonctionnel, et imprévisible. On pourrait dire qu’ils ont des circuits nerveux tout neufs qui se déclenchent souvent de façon inattendue. Ils sont momentanément inaptes à contrôler leur impulsivité, à anticiper, et à comprendre les conséquences probables de leurs actes.
Impulsivité et goût du risque sont extrêmement importants dans le développement de la maturité et de l’identité de l’adolescent.
Il est dangereux de demander à un adolescent de se conduire comme un adulte, ou qu’il le fasse en croyant disposer de tous les privilèges de cet état. Il ne sera pas encore en mesure de gérer son autonomie, l’indépendance de ses décisions, et l’évaluation de sa propre conduite, son cerveau ne maîtrise pas tout.
Les impulsions cérébrales l’emportent sur le jugement, le comportement souvent particulier est dû à des « ratés » du système nerveux, sans plus. Il faut attendre que ça passe.
La croissance désordonnée du cerveau peut se traduire par d’imprévisibles modes de pensée, où les réactions subites l’emportent sur le jugement rationnel.
Une déficience neurologique peut empêcher l’enfant, puis l’adolescent à bien identifier et se servir correctement des émotions sociales, telles que la peur ou la colère.
Tout ceci ne sont pas des défauts de caractère, de la méchanceté, de la perversion narcissique, mais le résultat transitoire d’un vice de « câblage » qui se réglera avec le temps !
Qualifications professionnelles de DUBREUIL :
Educatrice spécialisée - DE de psychomotricité - EMDR - Master 2 de Psychopathologie clinique - DU de psychanalyse - Groupes de psychodrame de Moréno - Méthode Simonton ( contre le cancer et la maladie grave )
* Formatrice / Maîtresse de Stage / Conférencière.
* Auteure / Œuvres en écriture, et sculpture
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Dubreuil
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Re: Grand-mère effondrée...


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Messagepar Dubreuil » 16 févr. 2019, 22:12
LE COMPLEXE DU HOMARD

Dolto a inventé cette image pour représenter la crise d’adolescence. L’enfant se défait de sa carapace, soudain étroite, pour en acquérir une autre. Entre les deux, il est vulnérable, agressif ou replié sur lui-même. Mais « ce qui va apparaître est le produit de ce qui a été semé chez l’enfant », avertit Dolto. Les parents devraient donc voir les crises explosives comme une preuve qu’ils ont rempli leur contrat, les repères éducatifs s’avérant suffisamment souples pour « sauter » au bon moment.
A l’inverse, si les parents sont trop rigides, l’ado restera prisonnier de sa carapace et désarmé face à la dépression. "

REPONSE INTERNAUTE sur Centraide
ADOLESCENCE

- Dans quel sens on peut interpréter cette explosion. Ne peut-elle pas autant s'exprimer par un replis prononcé (c'est imploser alors), que par une extériorisation impulsive?
Mais dans cette situation, ne pas se laver, rester devant la console, serait rester prisonnier?
Parce que, quoi qu'il en soit, ou la façon dont celle-ci est exprimé, la "crise", ou se passage, est invariable.
Peut importe alors la façon dont l'ados exprime sa crise, l'on ne peut qu'y faire "face"; on y répond, il est aussi bien évident que le cadre ou les limites évolue en fonction de l'âge et de la maturité de l'enfant? ba, si le cadre est suffisamment claire, il en est finalement le même (ou presque) entre les adultes et les enfants (on ne tape pas, par exemple). L'enfant s'amène avant tout, à trouver plus de liberté, simplement, c'est celle qu'il acquière par sont autonomie, c'est sa liberté d'existence qui l'amènera jusqu'à sont émancipation, sa vie d'adulte. C'est donc plutôt des droits et liberté que l'on acquière du à notre maturité, plus que de nouveaux cadres et repère? Ou bien il se complète tout de même car elles sont aussi l'expression de droit et d'interdit.

- Que demande t-on, que peut-on demander à l'autre (l'ados) dans notre désir (?) ou position d'éducation, nos obligations d'éducation, ce que l'on peut faire ou amener à l'autre pour l'aider ou le soutenir dans le développement de sa vie.
Peut-on imposer face à celui qui s'oppose, comment s'amener à aider l'ados qui se laisse "se perdre?", jusqu’où ira t-il, finalement, on se laisse prendre de doute, sur sont avenir, sur des attentes, social, ou autre, qui ne sont pas encore affirmé.
- Parce que l'ados est en "crise", en développement, qu'il passe par des phases d'agitations qui l'amène à tout ses comportements qui nous paraisse immature, inconscient, risqué...

Mais l'est-il réellement, l'ados finis t-il toujours à sa perte, quand bien même tous ses comportements? Ne craignons pas des choses qui n’arrive que dans nos "cauchemars", par le fait de trop s'approprier la vie de notre enfant, de ne pas lui faire suffisamment confiance, d'avoir des aspirations et des désirs qui ne sont pas les nôtres, car l'ados acquière toujours plus sont identité et ses propres valeurs au dépends et aux plus grand mal, parfois, des parents qui ont du mal à accepter que leurs enfants n'est pas le reflet de leurs désirs et de se qu'il idéalisait à travers leur enfant.
Ce qui nous inquiète chez notre enfant est le résultat de nos craintes, de ce que l'on aspire pour le bien-être et la réussite de notre enfant, il est donc évident que l'on s'y implique pour le voir reprendre "forme". Mais comment l'aider de notre côté pour ne pas se laisser débordé et l'amener à prendre conscience de cette "réalité"(?). L'ados vie autant le réelle que nous, c'est jusque que sont développement encore immature le laisse paraître comme on le voit de notre position. Mais quelque part, à chaque instant de notre vie on se laisse percevoir notre immaturité d'hier, (à 60 ans je me perçoit immature à 40 ans...).

L'expression de cette fameuse crise en est (normalement) que passage, une façon de pouvoir s'écarter, d'aller vers d'autre limite, d'expérimenter, celle que l'on nous interdit, celle qui font parfois peur, cela amène à prendre meilleur conscience de nos repères, pour un retour au source, cadre rassurant et prospère, celui toujours connus, car l'être s'amène bien souvent à retrouvé ou se retourner sur se qu'il a connus. (quelque part n'est ce pas pour rien, homme ou femme, retrouvant chez sont partenaire des similitudes avec sont passé, sont enfance; relation au père ou à la mère).

- Alors, que peut-on faire, que doit-on faire, doit-on laisser?
La meilleur chose à faire, je pense, est de garder et maintenir se qui attrait aux besoins essentiel d'une personne. Se sentir reconnus, accepter, comprise, soutenus...
Mais vers ou, jusqu’où peut-on laisser l'autre dans sont escalade, à quel moment réagir, comment réagir face à des comportements alarmant, mais le sont-ils réellement...

Les interdits et les limites sont essentiel et construise une sécurité rassurante, quand bien même elle sont frustrante, l'ados ne fait que vivre ou revivre différemment ses frustrations infantile. Ils leurs donnent une nouvelles approche, un nouveaux sens, une nouvelle signification, se laisse peut-être affirmer la continuité de l'enfance dans cette affirmation, continuant à vérifier le réelle, que sont environnement continus à être suffisamment solide pour l'accompagner face à ses nouvelles inquiétude d'ados, toujours sous le nid familiale, aux angoisses de la séparation (celle qu'il vivait ses premiers mois de vie)...
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
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Re: Mal être personnel

Message par Dubreuil »

L'HYPERSENSIBILITE

L’hypersensibilité n’est pas un diagnostic, c’est une caractéristique qui doit s’interpréter dans un cadre plus large, en tenant compte de la personne dans sa globalité. Cela est dû la plupart du temps du temps a des problèmes de cognition qui se soignent par la TCC ou les TIP.
Il est parfois difficile de s’adapter à ce monde trop bruyant, que vous percevez rempli d’égoïsmes et d’autres doubles intentions.
Les personnes hypersensibles peuvent percevoir ce que les autres ne perçoivent pas, et le vivre si intensément que le monde leur présente alors un éventail de réalités qui échappent aux autres.
D’une certaine façon, elles portent des «lunettes invisibles» qui leur font voir le monde différemment, avec un coeur plus ouvert, mais aussi plus vulnérable.
les personnes hypersensibles disposent d’un cerveau émotionnel doté d’une grande empathie. Ils sont pleinement orientés vers la «sociabilité» et l’union avec leurs semblables.
En d’autres termes, les processus cérébraux des personnes hypersensibles se traduisent par une surexcitation dans les zones neuronales relatives aux émotions et à l’interaction.
Elles sont capables de déchiffrer et de deviner les sentiments des personnes qu’elles ont en face d’elles. Mais, dans le même temps, elles ont à gérer un problème très simple… les autres ne font pas preuve de la même empathie. Il y a donc un déséquilibre évident entre la sensibilité des personnes hypersensibles, et celles des personnes qui ne le sont pas. «Elles se considèrent comme étant différentes».
Les chercheurs ont exposé ces personnes à différents stimuli, afin d’observer l’activité biochimique qui s’opère dans les différentes structures cérébrales.
Les résultats ont été très concluants, et plus particulièrement à deux niveaux :
1) Les neurones miroirs
Ils remplissent une fonction sociale, étant surtout présents chez les humains et chez les primates.
Situés dans le cortex frontal inférieur du cerveau et très proches de la zone du langage, les neurones miroirs sont plus particulièrement liés à l’empathie et à notre capacité à capter, traiter, et interpréter les émotions des autres.
Chez les personnes hypersensibles, leur activité est continue et très marquante depuis l’enfance.
2) L’insula
L’insula est une petite structure cérébrale logée très profondément dans notre cerveau. Située dans le cortex insulaire, elle est liée au système limbique, une structure basique dans nos émotions qui nous apporte cette vision plus subjective et plus intime de la réalité.
C'est en quelque sorte «le siège de la conscience», puisqu’elle réunit la majeure partie de nos pensées, intuitions, sentiments et autres perceptions de tout ce que l’on peut vivre.
Cette étude montre également qu’en plus d’être réceptives aux stimuli visuels liés aux visages humains et aux émotions, les personnes hypersensibles sont également très réactives à de nombreux stimuli physiques, tels que les lumières intenses ou les sons forts.
Cela active chez elles les structures cérébrales relatives à la douleur.
Les personnes hypersensibles ont une façon de ressentir et de comprendre le monde qui passe par un système neurosensoriel plus pointu, plus fin. Ce n’est pas ce qu’elles ont, mais c’est ce qu’elles sont.

Restez courageux(e) et mettez " ce don " en faits concrets " créatifs " : l'écriture, la peinture, la musique, la sculpture des études sur les arts, l'apprentissage de la danse, le théâtre, par ex. Et sur le plan professionnel, tout ce qui touche à la psychologie.
Ne restez pas cantonnée à la seule appellation, allez vers une profession ( il n'est jamais trop tard ) pour vous familiariser avec des techniques vous permettant de canaliser vos émotions. Si vous apprenez à vous maintenir dans le " cadre rigoureux " du silence et de l'écoute de l'autre, vos potentialités feront des miracles, et loin de vous épuiser psychiquement, vous ressourceront sans cesse. Ne vous permettez pas de gâcher cette grâce dans des états louvoyant avec une complaisance pour les bénéfices secondaires de la plainte, ou vous maintenant dans des états pseudo-dépressifs. "
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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