Je n’ai absolument plus confiance dans le milieu médical . La première fois que j’ai été touchée j’avais 19 ans, pourtant le médecin était marié.
Je n’ai rien dit et n’y suis bien entendu plus jamais revenue.
La deuxième fois j’ai trouvé cela un peu plus grave même si on pourra me rétorquer « ce n’est rien, tu n’as pas été violée ». J’avais atterri aux urgences suite à des malaises et dans la salle où je passais mon électrocardiogramme est rentré un infirmier qui ne m’a pas du tout laissé une bonne impression . J’avais envie de lui dire que je ne voulais pas de lui. J’aurais dû.
Il m’a d’abord dit de me « couvrir » . Je ris « jaune », me couvrir alors que j’avais la poitrine à l’air . Il m’a posé les électrodes qui tenaient parfaitement bien (4ème passage aux urgences donc j’avais l’habitude ) puis n’a pas pu s’empêcher de me toucher .
J’ai tout de suite senti un malaise. Aucun mot n’est sorti. Je n’ai rien dit et le regrette.
Je crois que ça fait écho à d’autres blessures, sans que je puisse précisément mettre des mots dessus.
J’en ai déjà vaguement parlé à mon généraliste.
Parce que bien sûr je ne contrôle pas mes pensées. J’ai entendu beaucoup de bien de l’EMDR. Est-ce que cette méthode me serait adaptée ?
Je ne peux oublier même si ce n’est pas grave
Re: Je ne peux oublier même si ce n’est pas grave
L'EMDR est une très bonne approche en effet, quand elle est pratiquée par un professionnel compétent.
Il n'y a que vous qui puissiez juger des résultats.
Concernant les "abus" que vous avez subi, il serait important d'en parler avec un psy pour comprendre pourquoi cela vous arrive, c'est à dire ce que votre personnalité dégage face à votre agresseur, et pourquoi vous n'avez pas la présence d'esprit d'en parler immédiatement, ou de partir.
C'est lié très certainement à vos perceptions infantiles, ou un événement passé.
Il n'y a que vous qui puissiez juger des résultats.
Concernant les "abus" que vous avez subi, il serait important d'en parler avec un psy pour comprendre pourquoi cela vous arrive, c'est à dire ce que votre personnalité dégage face à votre agresseur, et pourquoi vous n'avez pas la présence d'esprit d'en parler immédiatement, ou de partir.
C'est lié très certainement à vos perceptions infantiles, ou un événement passé.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Je ne peux oublier même si ce n’est pas grave
MERCI pour votre message pertinent
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 1 Réponses
- 56 Vues
-
Dernier message par Dubreuil
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 60 invités