Psychologue en ligne - Forum psychologie

C'est peut être une simple impression mais j'ai le sentiment qu'à chacune de mes publications, vous ne relevez que mes torts et parts d'ombres.
*** Changez les mot "torts " et "parts d'ombres".

On évolue tous, oui, chacun à son rythme.

C'est une belle citation.
J'essaie plutôt de recoller les morceaux brisés du miroir.

Dernièrement, je suis retombée dans mes travers, je n'arrive pas à sortir de chez moi depuis plusieurs semaines.
Ma thyroïde n'aide pas, elle est chamboulée en ce moment malgré le traitement.

J'en ai un peu marre de passer ma vie enfermée. J'avais réussi à me faire violence et à sortir une fois par semaine.
Il faut dire que la dernière fois que je suis sorti, c'était pour un examen médical assez éprouvant pour moi. Du coup, j'ai dépensée beaucoup d'énergie et je me carapate.

Là c'est un éternel recommencement, je me suis habillée mais en voyant cette prothèse capillaire. Je me dis à chaque fois, on va voir que ça. Je ne supporte pas.

J'ai 31 ans et j'arrête pas de me dire, qu'à 40, je serai encore dans cette situation.

Je ne vais jamais pouvoir travaillé ni fonder de famille.
Je serai toujours avec mes problèmes de santé qui ne cesse de s'ajouter aux précédents.

J'ai tellement envie de sortir, vivre comme tout le monde mais ces foutues angoisses m'empêchent de vivre.

J'en ai marre.

J'ai compris une chose, tant que je n'aurai pas réparé mes blessures lié à la mort de mon père, jamais je n'aurai une relation saine avec les hommes.

Elle se ravive à chaque fois, dès que j'essaie de m'ouvrir.

Je comprends pas ce qui m'arrive.
Depuis quelques années, je sortais la tête de l'eau.
J'ai repris des études, j'ai réussi mon année, je continue. Je viens d'avoir une bonne nouvelle, j'ai à nouveau réussi mes examens passés dernièrement.
Je passe mon permis aussi, j'arrive à me rendre à mes heures de conduite.
J'ai aussi changé de traitement pour mes soucis de santé, du coup j'ai moins d'effets secondaires.

Pourtant je me sens mal là, en grande souffrance.
Il faut dire que côté sentimental, je vais mal.

Je crois que les relations, c'est pas pour moi.
En même temps, je ne supporte pas ma solitude.

En ce moment, j'ai cette impression que tous me ramène à ma phobie sociale, mon alopécie et mes soucis de santé.

Je veux construire une relation, je n'y arrive pas à cause de mes angoisses et la peur de déplaire.
C'est pareil pour le monde amical, l'envie de travailler, de sortir, d'obtenir mon permis, mon poids.

Ça me gâche la vie. Je suis en prison depuis une dizaine d'année sans en voir le bout.
Je dois faire 10 000 efforts pour zéro résultats.
Je suis fatiguée.

Chaque jour, je m'efforce d'avancer sans pouvoir y arrivé.

Mon histoire est enfin terminé.

Au début je ressentais un vide et là, je me sens légère.
Je respire.

J'ai envie de mettre un trait à tout, de supprimé tous mes contacts. Cependant je sais que je vais reproduire la même chose avec d'autres personnes.

Je parle à quelqu'un en ce moment. Je ne sais pas comment dire ça mais je ressens une profonde aversion envers lui.

Au début je ressentais un vide et là, je me sens légère.
Je respire.
Je parle à quelqu'un en ce moment. Je ne sais pas comment dire ça mais je ressens une profonde aversion envers lui.

*** ???

Oui c'était pas clair, je ne pensai pas être lu.

J'ai rompu avec mon "ami" mais il continue à m'envoyer des messages.
Sur le coup, lors de la rupture, j'ai ressenti un énorme soulagement.

En parallèle, je parle à une autre personne depuis quelques temps. Je ne l'ai encore jamais vu.
Je l'intéresse mais en même temps, de mon côté, je ressens une profonde aversion à son égard.
Il est un peu marginalisé comme moi, il me pousse à faire une demande d'AAH tout en ayant des projets à côté.
Pour lui, avec ma profonde phobie sociale et ma santé, je serai bien incapable de m'insérer dans le monde professionnel.
Ce serai contre productif.
De mon côté, je ne renonce pas, je continue mes études. J'ai toujours refusé de faire ce genre de démarche.

Du coup, je suis perplexe face à tous ça.