Cette fois, j'ai raconté plus ou moins la totalité de ma vie enfant sans enjoliver ni en la modifiant
Je n'attends pas vraiment de réponse, alors personne ne doit se sentir obligé ni rien, j'écris juste
Mes rêves ;
"J'écris, j'écris, pour cesser mes orages et mieux naviguer, être ses ouragans
Redevenir enfant, me serait si nostalgique, oublier le monde
Oublier la vie, les souvenirs, la peine, les regrets
Jouer à ; "1.2.3 Soleil", courir dans les champs
Cette vie est si... Multicolore...
Oublier tous ses souvenirs, attraper alzheimer, pour renaître de nouveau
Aimons-nous, sourirons, secouons-nous, rirons aux larmes, jouons tels des enfants
Voir le monde heureux me serait si poétique et si joli
Ou tous les chats ronronneraient, ou les ours, les pandas, nous feraient des câlins
Ou les renards deviendraient nos familiers, ou les chenilles deviendraient tous papillons
Ou personnes ne viraient dehors, ou tout le monde, parlerait de passions et de vœux
Un monde parfait de bienveillances, serait mon rêve, ou les baguettes existeraient
Ou les dragons nous emmèneraient voler, et les licornes nous saluerait
Mais impossible, alors seuls transmettre mes écrits me sont possibles
Tant de rêves d'enfances, croire qu'un dauphin nagerait à mes côtés
Serait un rêve, si simple et si idiot simultanément
Ainsi sont mes émotions
Ou les fleurs sentiraient, ou la nourriture existerait pour chacun
Ou l'argent n'existerait pas, ou l'humain serait humain
Ou la peine, ne régnerait nulle part, ou la crainte, ce serait éteint
Ou les couples resteraient éternel, ou les tromper, frapper, n'existerait plus
Ou chaque animal ne seraient jamais abandonnés, ou tous serait soigné convenablement
Tout ceci est idiot tant un enfant, n'y croirait peut-être plus
Pourtant, adulte, mon intérieur est ainsi, utopiste dans un monde réaliste
Je marche, je marche, sur cette planète que nous appelons ; "Terre"
En essayant de semer de petites poignées d'amour ici et là
Cherchant le chemin que je ne sais où il m'emmènera
Un chemin que je dessinerai de mes propres mains
Au fin fond de notre être, nous sommes chacun
Le héros de notre route"
Ma vision de la vie ;
Tournant mon esprit, ne rien dire, dissimuler ma personnalité, atténuant ainsi la réalité
Nos relations furent souvent superficielles, n'apportant rien
Nous rêvons d'authenticité, nous même nous le sommes
Devenus rarement par crainte
Pourtant la beauté est dans la coquille de nos cœurs
Jeunes, adultes, anciens, chacun disent que l'intimité les a manqués, mais peu l'avoueSouvent mes envies aurait été d'être là, à côté de vous tous vous dire que tout ira. Quand la fin vous traverse, parfois mes larmes tombent
Tant la peine m'envahit, souvent dans ma tête, j'aurais voulu être éternellement ce jeune, cet enfant qui lui viendra tous vous voir
Vous forceriez à devenir tous amis entre vous, ma tête me fait réfléchir nuit et jour dès que vous avez écrit où même juste pensé
Car en moi, je ressens toutes vos sensations quand vous parlez de ; Woofing, Couchsurfing, j'aurais envie de vous inviter chez moi
Quand je vois ce sans abri, j'aimerais lui prendre la main et lui dire de venir, toutefois cela ne serait pas correcte
L'adulte devenu me déçoit d'avoir égaré son cœur pour être plus acceptable aux yeux de ceux ayant abandonné
Plutôt que cacher nos personnalités, nous devrions les ouvrir, transformer ce monde noir et blanc en couleurs
Posséder cette baguette telle : (M, M, A, P, C, V). Cette baguette qui vous rendrait tous épanouis est un vœu depuis mes 4 ans
Nul jour, je ne pense aux partis qu'importe l'endroit, le forum, le jeu, la vie. Ainsi suis-je
Qualités, défauts, cela varie que chacune de nos souffrances se transformeront en
Étincelles brillantes
Parfois nous nous égarons, j'aimerais sourire. Sourire comme un enfant, j'aimerais vous voir sourire. Sourire naïvement
Nous rêvons tant pouvoir éclairer nos cœurs à l'infini quand vous ne voyez plus de lumières au bout
J'aimerais vous prendre la main et vous emmenez quelque part où tout serait beau...
Si beau que vos larmes tomberont Et... Où vos rêves renaîtront
24 ans, en regardant derrière une vague me coule parfois, années depuis ses messages, fondre en larme tant le temps passe
Ne pas voir grandir ma lapine, m'imaginer parent un jour m'est difficile ; 24 ans, quand mère parle, j'écoute tel un Psy
Pleurer tant la fragilité est en moi, un Papa, m'a toujours créé un vide, chaque jour ma tête pense à toi
Une maman toujours là, aveugle, aveugle de tous tant de fois, tu m'as blessées quand moi
Je voudrais te serrer contre moi et te dire ; "Je t'aime"
Un grand frère, une grande sœur n'ayant point existé, me fait écho, cependant, vit, construit, espérant leur bonheur au loin, espérant un jour faire
Partie de leur vie, l'enfance m'a manqué, ses jeux d'enfances que tant parle, j'aurais aimé les connaître, compter chaque conversation
Chaque jeu, je le peux
L'anxiété est telle qu'on n'sait jamais si nous pourrons revenir demain. Courageux, nous affrontons nos difficultés
Perpétuellement, n'est-ce pas cela grandir…?
Nous essayons de faire semblant de ne pas s'inquiéter où nous, nous forçons de n'être pas vrai par la peur du rejet et pourtant nous le voudrions
Dire que nous pourrions nous jeter dans les bras de n'importe qui, même quand on est amoureux, est difficile d'admettre cela ^ ^
Dire qu'à chaque personne suicidaire, nous hésitons à venir leur dire que tout ira bien, lui tenir la main, être là à ses côtés
Dire que chaque personne nous à un jour fait pleurer, toutefois seul, nous fanons, amoureux, nous nous jetons à l'eau
Seul, nous écrivons pour moins l'être
La vie consiste à partager nos peines ainsi que nos merveilles. Nous cherchons chacun le Bonheur, amoureux de la vie, amoureux du monde
Amoureux de toutes choses vivantes, repenser au temps, repenser à la vie, vivre à nos rythmes
Vivre sans analysé, sans timidité, vivre en étant nous-mêmes, vivre pour nous
Tout en voulant le bien d'autrui, dur d'être heureux, nous essayons
Imparfaites, nos imperfections nous rendent belles
Difficile pour certains, difficile de s'accepter, nos différences nous rendent humain. Faire le vide même entouré de douleurs
Se canaliser, foncer plutôt que réfléchir, ne plus avoir peur du noir ; même dans les centres, la lumière y vit
Voyons simplement le monde différemment
Te savoir faire surface même dans les profondeurs te savoir adapte de t'envoler que nos chênes peuvent se défaire
Que nos visions n'ont point différé me suffit à sourire. Oh, toi que je ne vois, espérant t'apercevoir dans cet
Arc-en-ciel qu'est l'existence même, nul grand cœur, ne cache celui d'un enfant. Tant de larmes se versent
Et tant d'autres pétillent, nous nous sauvons, nous nous écoutons, nous murmurons
Aussi bas qu'est notre son. Nous l'entendons
Nous ; amoureux de la vie, Philanthrope de toutes choses, vivons tant à travers nos semblables
Vivre, partager, tomber amoureux, se lier d'amitié, tenir la main, manger une pomme, sentir
La froideur, la chaleur ; tomber malade, guérir, endurer les difficultés et se relever
Nous qui renaissons sans fin, tels d'adorables phénix, n'abandonnons jamais
Car nos cœurs ce ne se sont jamais véritablement consumés ♥
Te savoir mal, me fait mal quand nous souffrons, nous rions. Nous tenions simplement à être acceptés. Nous Oui, nous peureux d'être nous
Nous sommes peut-être deux âmes perdues, devenues amoureuses. Nos souvenirs gèlent, gèlent ce que nous traversons
Nous pleurons, nous souffrons, cependant nous sourions, nous luttons Et ensuite, nous évoluons pour créer de la joie
Aucune passerelle n'apparaitra. Dans mon cœur, je suis tourmenté par le doute de la réciprocité
Aussi loin que nous communiquons, l'amour ne s'éteindra jamais
À travers chaque forme de vie, mon cœur se rappelle chacune de tes phrases, nous sommes tant à être petits, avec des enveloppes mûres
Parfois mes yeux voient des âmes en quête de salut, il faut ; vivre, leur dis-je ; "Tu dois vivre pour écrire", m'as-tu dit
Malgré tes paroles, on a écrit pour survivre. Nous écrivons pour donner une meilleure forme à notre avenir
Lorsque cette voie n'est que ténèbres, laissons les ténèbres mêler nos esprits
Ouvrons nos portes, pensons à ceux que nous aimons
Pour que le chaos ne devienne qu'éphémère
Nous rêvons d'un monde étincelant où ne serait que brillance. Si nous y croyons réellement, tout sera doux
Si nous demeurons confiants, en nous-mêmes, nous, petits enfants que nous sommes
“C’est ça pour moi le sens de la vie. Accepter l’autre, tomber amoureuse, haïr
Prendre plaisir à voir quelqu’un, répugner à en côtoyer un autre, tenir la main
De l’autre, l’embrasser, ne pas se comprendre. C’est ça, vivre”
Ma vie (Mal écrit, mais tu m'as dit d'écrire sur le moment M, alors je l'ai écris) ;
Chapitre 0 : Une petite fille qui deviendra ma mère :
Ma grand-mère était une femme que beaucoup pensait autiste ou sans intelligence, je l'ai adoré, j'avais besoin d'idéalisation
Mon grand-père, lui, était considéré comme un homme extrêmement intelligent et bon. Ils s'aimaient, se marièrent
Ils eurent des enfants, mais un jour un camion percuta mon grand-père et il mourut. Ma grand-mère faisait
Plusieurs travaux, mais n'était pas payé un seul et parfois travaillaient gratuitement. Sa dernière enfant
Ce fut ma mère, elle n'avait pas de quoi s'habiller, presque rien à manger, à l'école, elle était harcelée
Elle avait son caractère alors elle écrasait les doigts des autres enfants, elle était détestée
Sa grande-soeur volait et prenait l'argent de sa mère. Ma mère vu ses animaux se faire
Couper devant elle, sa propre famille, la traitait de folle, elle disait qu'elle entendait
Des voix. Sa mère la transféra en psychiatrie, elle quitta définitivement l'école
À partir du collège, elle se fit des connaissances fille ou elle lisait et regardait
Des magazines d'homme mûr et nu ; elle était jeune, adolescent, elle plaisait
Déjà beaucoup aux garçons. Adulte, elle se maria avec un homme remplit
De promesses de changer. Cet homme la frappa, la viola à répétition
Il se mure à boire, à la tromper, à l'insulté, à la rabaisser, durant
Des années, elle resta à ses côtés en espérant qu'il change
Elle aussi le trompa sans cesse, elle trouva plusieurs
Petits travaux, elle eut 2 enfants, de cet homme
D'ont la fille issue d'un viol
Elle prit sa mère avec elle, elle répétait souvent que c'était pour l'argent, était-ce vrai ? Seulement ? Je n'en sais rien
Sa fille grandit, elle aimait énormément son père, aux yeux de ma mère, elle en était même amoureuse
Mais entre eux, il y avait beaucoup de culpabilité, l'une voyait l'enfant de son violeur et l'autre
Était né d'un viol et se faisait chaque jour répété cela. Elle aimait courir, toujours première
Elle partit dans la religion ou elle se maria et partit de la maison. Quant au garçon
Il était dyslexique, hyperactif, la prison, les vols, il en fut beaucoup et ma mère
Répéta souvent à ma soeur qu'il fallait le tenir en laisse, sinon il ferait sans
Cesse des bêtises, alors ma soeur, se sentit dé-chouchouter, laisser
Elle fut beaucoup d'erreur, de voix, de passions et en voulait à ma
Mère de ne pas avoir été plus présente. Ma mère rencontra un
Homme cadre, elle eut un enfant qu'elle appela son soleil
Elle était devenue dans un SNCF. Cet homme avait
Une femme et promettait de la quitter, cela ne fut
Jamais le cas encore une fois et la séparation arriva
Ma mère ne croyait plus en l'amour, elle répétait souvent que les humains en meute aboie
Que l'humain se plait dans sa médiocrité, des phrases qu'elle me répétera plus tard
Elle rencontra un homme qui la regarda énormément, mais n'osais pas aller la voir
Cet homme était le dernier de sa famille, il avait 9 soeur, il était le seul garçon
Il détestait son père, car quand sa mère devenu malade, il en prit une autre
C'était un homme polygame aisé, son fils essaya de marier toute sa famille
Il avait une amie, il prit un bateau pour rejoindre la France et à Paris
Il rencontra ma mère, il était perdu dans sa vie, il sortait des trains
Parfois presque en marche, il aimait bouger, c'était un rêveur
Il adorait parler de ses moutons et regarder le paysage
De ses collines, racontait-il à ma mère. Il eut un enfant
Mais il n'en voulait pas ni ma mère, alors lui il partit
Et ma mère décida de m'avorter, finalement par oubli
Ou je ne serais quoi ; elle me garda et je naquis le 27/04/1998
Dans une maison que ma mère a fait construire ou le médecin
Lui a dit que ce serait elle qui vivrait ou moi, de faire son choix
Elle a dit faite le maximum et nous avons tous deux survécu
Chapitre 1 : Un enfant décalé avec une vie qui commence mal
Bébé, j'ai été touché, je suis tombé plusieurs fois des bras de ma soeur et résultat suit tombé plusieurs fois dans les escaliers
À la maison, je n'avais rien à faire, je m'ennuyais, alors je regardais la nature, au CP, j'étais un enfant étrange, j'ai eu mon
Premier livre, je me faisais déchirer, punir, gratuitement et harceler, toute la classe me courrait après, je n'avais qu'un stylo
Quand mes harceleurs me demandaient un stylo en riant, je leur donnais parce que ça me faisait plaisir
De faire plaisir, tout simplement, je savais qu'ils ne me les rendraient jamais quand je levais la main
La maîtresse s'en fichait, un jour elle m'a dit ; qu'un garçon ne demande jamais d'aide, alors j'ai
Baisser la main et je ne l'ai plus jamais lever une seule fois. J'étais seul et j'avais mal d'être seul
Je pleurais comme quand j'étais bébé, je pleurais toute la nuit sans m'arrêter et aucun médecin
Ne comprenait ; j'ai entendu dans le couloir qu'une personne était morte et qu'une mère a dit
Qu'elle n'aurait jamais dû exister. J'ai demandé à ma mère si j'étais voulu, elle m'a répondu
Que si les enfants étaient voulu, nous serions des monstres. Dans la rue j'étais harcelé
Je courrai le plus vite possible, j'avais peur de sortir, un jour un garçon a voulu que
Je l'aide à ranger ses voitures en jouet, je l'ai aidé, ce sera sa seule action, mais
Ce sera aussi le garçon que je pourrais décrire comme le plus tel un ami
De ma vie entière. À la maison, j'étais rabaissé, on me disait d'être moins
Moi-même, de m'effacer, dans les voitures, je me mettais sur le côté
Au fond, je ne savais pas si j'avais le droit d'existé, un jour je n'en
Pouvais plus, alors j'ai ouvert la porte et j'ai sauté. Mon frère
Ma rattrapée avant que je touche le sol en pleine voiture
À plus de 60 km, j'avais 4 ans
On m'a emmené voir un psychothérapeute, je me posais des questions si les fleurs ressentaient la douleur
Ou vont l'âme, les sentiments des arbres ; il ne savait pas que répondre, il m'a dit que j'étais surdoué
Il aimait qu'on joue à un jeu puissance quatre, je gagnais pratiquement toujours. Mon frère aussi
Allait le voir, il se ventait toujours qu'il gagnait certaines parties contre lui, moi je n'osais pas le dire
En course à l'école, j'étais premier, de tellement loin, je faisais le double de tour des autres et je
Ne comprenais pas pourquoi, ils n'avançaient pas, j'ai appris que j'ai marché à 6 mois
Et que cela avait dû m'aider, j'ai marché couramment avant Jame Sidis. Que le médecin
Ne savait pas quoi marquer, alors il ne marqua rien. Je jouais à un jeu de fléchette
Chaque année, je ramenais la première place du village ; personne ne savait
Que ma vue était à - 2.50 dioptries, mais personne ne savait et moi
Je me contentais de ce que j'avais, je ne voulais pas devenir un poids
J'étais dyslexique, je bégayais et on me soupçonnait d'être Asperger (TSA)
Ma nounou m'enfermait chaque fois dans une chambre noire à 2-3 dans
Cette chambre, j'ai fait plusieurs convulsions et épilepsies
On a souvent dit que je mourrais.
J'adorais aller dehors, aider les gens, leur porter les courses, leur faire visiter le village
J'étais très joyeux comme enfant, ma mère me répétait d'être moins moi-même
Que j'étais un extraterrestre, une anomalie, qu'il fallait que je m'efface
En colonie, j'étais le seul à m'occuper des chevaux, j'étais aussi le seul à ne pas vouloir les monter, en pensant à eux
Je pleurais déjà quand quelqu'un arrachait des fleurs, parce que j'avais comme mal en moi tant j'étais sensible
Durant une autre, j'ai écouté la monitrice et j'ai glissé dans le vide, j'étais le dernier, car ils avaient tous
Glissé avant, je les voyais accrocher dans la neige et moi descendre comme une fusée vers le vide
Si je m'agrippais ils lâcheraient, ils étaient tous à quatre pattes, planté à s'accrocher dans la neige
Ils avaient tous peur. J'ai descendu et juste après le dernier j'ai fait un minidérapage
Ou je me suis servi de la vitesse pour m'enfoncer dans la neige de toutes mes forces
Et ç'a marché, je me suis arrêté net, j'avais les jambes dans le vide
On a attendu ainsi plusieurs minutes tous et... Ce fut ma première
Perte de mémoire, comment sommes-nous sortis ? Je n'en sais rien
Durant cette colonie, je me souviens de cette monitrice qui refusait
Qu'on aille dormir tant que je n'aurai pas avalé mes légumes
Je disais que n'aimais pas, que je ne voulais pas, on est resté
Des heures ainsi, et je me dis, je vais le faire, car sinon
Elle ne va pas dormir, je l'ai avalé et j'ai vomi juste après
J'ai dû tout nettoyer quand elle partit dormir, une autre
Ou dans un jeu de cache, cache, je fus oublié en pleine
Forêt la nuit, mais je retrouva le chemin, une fois
Je me suis mis devant un élève qui allait percuter
Quelque chose, je me suis mis à saigner, il m'a
Regarder et a souri en me jetant son ballon au visage
À la piscine, la personne m'a dit qu'on apprend en croyant
Qu'on va se noyer, j'ai sauté et j'ai coulé, j'ai perdu conscience
Je me suis réveillé sous l'eau en remontant, il était ailleurs
J'aurais pu mourir et personne ne l'aurait remarqué
Au CP, un jour des assistantes sociales est venue et ont mon dit de les
Suivre sinon elles piqueraient ma mère, j'ai été enfermer une pièce
Avec mon frère, puis j'ai rejoint un foyer, ou les enfants arrachait
Leurs croûtes buvaient leurs sangs, se frappait la tête contre les mûrs
Me pourchassait, je montais sur les arbres tout en haut
Pour que personne ne m'attrape, je courrais sans cesse
J'avias beau être dit surdoué, je ne savais pas comment
Allumé une touche que ce jour-là j'ai pleurer, la femme
De ménage est venu me voir et ma dit qu'il fallait appuyer
Ce fut la première douche de ma vie, je prenais toujours
Des bans avec un lever que nous tournions, jamais que
Nous appuyons. Ma mère est venu avec un boîte à gâteaux
Elle m'a dit d'en prendre et la tourner vers mon frère
Alors je n'en ai pas prit, elle dit que je pensais qu'elle
Pensait je voulais l'empoisser, je n'ai jamais pensé cela
On nous à dit de monter dans sa voiture, mon autre
Frère nous à appeler, elle à dit de couper le portable
Qu'il nous avait balancer, j'ai appris que ma mère avait
Perdu le procès, on est aller à l'apéroport, la police
Y était, mais quelqu'un nous à fait passé devant
Tout le monde et on est aller en Tunisie
J'avais 5 ans et demi
Chapitre 2 : Comment vivre et arrêter de survivre
Dans ce pays, on avait pas d'argents, souvent je voyais ma mère demander de l'argents à la banque
Je voyais, je voyais tellement ses soucis et je me sentais impuissant, j'étais harceler qu'importe
Ou nous déménagions, je me présentais à toutes les écoles et toutes les écoles disait qu'il
Prenait pas de Français. La seule école était à Tunis qui faisait le français, mais c'était
Trop cher ; je voyais les journaux qui disait que les écoles était difficile pour
Les filles que les garçons n'avait aucun souci, ma mère qui détestais les
Hommes, c'est mis à hair les femmes, car à chaque fois qu'elle m'envoyais
Quelque part, c'était toujours, c'est plus facile pour un français surtout
Un garçon, je n'avais rien et même ma mère n'en pouvait plus
J'étais harceler dans la rue, parfois je saignais, j'étais attendu
Derrière les murs chaque jour durant des années, je ne pouvais
Plus sortir et surtout j'avais tellement peur d'être agessé
Ma mère c'est fait touché aussi, je la voyais descendre
Les escaliers parfois bourrée en tombant en disant
Je vous aime mes enfants, je pleurais, j'étais
Sans cesse touché et jamais je ne l'ai dit
J'ai été chez un monsieur qui m'a fait
Lire la moitié d'un livre et qui me frappait
Les doights à chaque erreur et puis
Il y a eu la révolution, il y' en
A eu deux alors j'ai arrêter
On voyait même du sang
Dans la rue
En 5 et 16 ans j'ai connu le CP ou je suis partis puis j'ai été 2 mois chez un monsieur et j'ai eu 3 livres entre toutes ses années
Quand je sortais avec ma mère, les filles m'aimait parce qu'elle aimait mon apaprance, les garçons eux me détestait
Souvent, je voulais m'éteindre, j'ai vu tous mes animaux mourir, deux personnes tuer devant moi
Un jour, j'ai dit à voix haute, je veux mourir en pleurant, ce fut la première fois que ma famille
Entendu ça et fut étonner, mon frère à répondu ; il est pareil que toi maintenant à ma mère
A la maison on n'avait pas d'argent même pour manger, on mangait, mais avait rien
On payait presque jamais les loyer, ni les factures, on était escroquer à un point
On à essayer de prendre des cours par correspondance, mais tous fut bloquer
A la doine, il a fallu +8an pour refaire des papiers et on à du faire cela
En illégalité parce que soi-disant on devait de l'argent alors on pouvait
Pas même rentrer en France, alors on à fait une nouvelle identité
Ma mère me mettait des coups de ballet, dès qu'elle pensait
Que je mentais, je suivais, je l'écoutais, je ne parlais
Jamais de moi, car sinon j'étais bizarre
Au macro, on à manger durant des
Semaine uniquement de la farine
Qu'on faisait en pan
On à été sans domicile, à la rue plusieur fois, on habitait dans des garages, des maisons ou c'était atrcoes
Vous avez déjà vu des maisons avec plus de 200 cafards et des gros ? Moi oui, on avait pas de connexion
Car les opérateurs n'arrivait pas à nous la mettre, les harcèlements et agression ainsi que vol
On été en permanace, il n'y avait pas une pause, même de 1 semaine
Je ne pouvais plus sortir, j'étais tétanisé, chauque jour je voulais
Mourir et j'entendais ma mère le dire, alors je devais être fort
Je me disais, ne jamais en rajouter, ne jamais blesser
On se faisait sans cesse refouler à la doine
J'entendais qu'ils disait que c'était normal
Qu'on nous traite ainsi parce qu'on est
Des français, je voulais disparaitre
Sans cesse
J'ai appris à lire très tard, seul, uniquement seul, on a remarquer mon souci de vu très tard aussi
Je me disais déjà à cet âge que quitte que je prenne tout le malheur du monde
Si cela peut rendre le monde heureux, j'étais d'accord
A chaque fois que j'allais à la douche ma mère et mon frère se moquait de moi en disant que je n'y allais jamais
Chaque jour, ils se moquait de moi pacre que j'avais des plumes, j'osais plus me laver, j'osais plus manger
J'ai eu des vergetures, ma famille me rabaissait ou parlait de mon corps sans cesse
Résultat, j'ai fini par ne plus montrer ma peau, je n'ai rien eu pour les faire disparaitre
On m'a juste donner une pommade qui m'a fait une allergie et qui n'a rien fait
Le docteur, le seul docteur de ma vie que j'ai été voir, ma mère disait que
Je lui faisais honte, car on pourrait croire que je suis battu
Dans ma chambre je pleurais, chaque jour
Je suis tomber amoureux et c'est vrai, je me voyais tel un moins que rien, je ne lui ai jamais dit un seul mot
Quand j'ai hésité, ma mère ma dit ; tu t'es vu ? Je suis rester dans mon lit toute la journeé à pleurer
En sachant que c'était le dernier jour qu'elle restait ici. J'ai sauté du toit et je me suis rattraper
Parce que l'un de mes frères était venu nous voir et il venait d'arriver sur le balcon
J'étais si ténisé que je suis tomber par terre et je n'arrivais plus à bouger
Mon frère à appeler les urgences, je pleurais, j'étais détruit
Ma mère m'a acheter le troixème livre les Misérables
Mais elle disait que les livres, c'était cher, alors j'ai eu le TOM 2 dans ma première librérie de ma vie
Je n'ai jamais eu le TOM 1. J'adorais cette histoire, car pour moi elle voulait dire qu'il y avait des personnes avec un coeur en ce monde
Je pleurais et à la fois pour la première fois de ma vie, j'étais heureux, je mis a étudier sans cesse à partir de mes 15 ans je voulais tout
Apprendre quitte même à devenir président, parce que pour moi, ma motivation, c'était de retrouver (É)
Je n'avais aucune référence de couple, même qui échoue rien, j'avais juste la vision d'un être humain
Ma mère trouvait incroyable que j'apprenne sans cesse et que je mémorisie chaque mots
Je répétais tous comme un robot ; personne n'a jamais su qui était (É)
Ma mère l'a carément oublier 2 semaines après
Les filles n'arrêtait pas de tomber amoureuse de moi, parce quand on aime quelqu'un c'est ainsi qu'est la vie
J'ai refusé tous les rapports, je n'en avais rien à faire, tout ce que je voulais
C'était revoir (É), alors j'ai commencé à dessiner, j'ai fais 50 TOM
Sur elle, 50 Livres sur elle, je pensais chaque jour à elle
Il y avait beau avoir des femmes nues devant moi
Je pensais qu'à elle, parce que je l'aimais
Parce que je l'aimais vraiment pas tel
Ce faux amour que je hais en l'humanité
Qui me donne envie même de me tuer
Tellement ils me dégoutent
Chapitre 3 : On grandit et on à mal
On a réussi à rentrer en France, j'ai été devant un monsieur, j'étais incapable de lui dire un seul mot, parce que je n'avais jamais même dit un mot
On a hésité de me mettre dans un collège, mais j'aurais eu 2 ans de retard, alors on m'a mit en lycée MLDS
J'ai connu encore des personnes qui m'on aimé, en sortant de l'MLDS, j'ai pu faire quelque stages
Mais à chaque formation j'étais refusé, je voulais pas travailler sans faire de formations
Car je me sentais nul, incapable, non méritant
Chaque jour, je sortais en pensant à mourir, ma mère rigolait en me disant que j'allais voir des amis, mais j'avais personne
Je pleurais sous la pluie, j'avais chaque jour un cutter, parce que j'y compte plus le nombre de fois
Que j'ai été suivi, et encore jetter des choses. Durant des années, je touchais 0
Pas d'APL, ni de salaire, rien et rien ne voulais m'ouvrir les portes, on m'a dit
Qu'on mettrais pour la garanti jeune, mais d'abord de faire ça, on m'a refusé
Puis la garanti jeune à disparu
J'ai vu sans domicile fixe, j'ai habité chez des prêtres avec ma mère, j'avais sans cesse l'impression d'être un poid
Et sans cesse je voulais disparaitre, elle me répétait ça fait quoi de ne pas existé, tu t'amuses hein
Je voulais mourir sans cesse, chaque jour. Ma famille je l'ai connu parce qu'elle venait en vacance
Nous voir, depuis mes 15 ans, je ne l'ai plus jamais revu, et rarement ils m'écrivent 1 message par 1 an ou 3 an voir certain 7
Je n'avais aucun statu, je savais pas quoi faire, je connaissais rien sur le monde ni en l'ayant vécu, ni en l'ayant vu ni en l'ayant lu
J'ai eu ma première connexion qui est souvent parti à partir de 17 ans ; je pleurais chaque jour dans mon lit
J'ai commencer à ne plus manger, à ne plus boire normalement, à avoir l'impression de porter un cadavre
Je m'accrochais tellement, on me rabaissait ou j'allais ou il y avait juste le vide le néant
Pour tenir, je me suis accrocher à une illusion, cette illusion c'était (É)
Je mangais, buvais, essayant encore et encore, de trouver quelque chose
Uniquement parce que je pensais si elle était à côté de moi c'est ce qu'elle
Voudrait, parce que pour moi, c'était uniquement la tombe et la mort que je voulais
Chaque jour, je pensais ou j'allais en finir et durant des années encroe et ecnore
Vers l'âge de 22 ans, j'ai commencer à ne plus sortir, ce sentiment d'attendre
La vie, je l'avais depuis mon enfance, mais alors là, je me disais en question
Est-ce que j'abandonne la vie chaque jour, chaque jour je restais dans mon
Lit à pleurer en regardant le plafond, chaque jour durant des années
J'entendais ma mère parler un jour à ma soeur et elle lui à dit
Il doit se plaire de la façon qu'il vit, il est heureux, je pleurais
Je ne faisais que ça, quand je fermais la porte, ma mère
Disait que je me mastubais, alors que je pleurais
Uniquement, alors je la laissais ouverte
Et il n'y avait aucune compassion
Elle passait juste sans un mot
Alors je ne montrais plus rien
Chapitre 4 : Les réseaux
J'ai commencer à perdre des cheveux, avoir des carries et cela m'a donenr envie de me suicider
Je me disais sans cesse que la vie pour moi devais s'arrêter, je me suis mis à écrire aux personnes
En me disant qu'au moins je servivais à quelque chose avant de mourir et pour la première fois de ma vie, quelqu'un à eu de la compassion
Puis suis aller sur un autre forum et ce fut pareil, quand j'avais 17 ans, je ne faisais déjà plus que ça de mes journées essayer d'aider les autres
Parce que je me disais que ça ne servait plus à rien d'essayer de m'aider, parce que la vie était fini pour moi
Quand je n'écris plus, c'est parce que je n'avais pas de réseaux, souvent on avait plus d'electricité
D'eau chaude, ma mère mettait à mon nom parfois des choses et souvent j'entendais
De décager de l'appartement, de payer ceci, cela, oui, mais j'ai rien
On me répétait qu'il faut avoir un souci pour bénéficier de ça ou ci
Mais que je moi je vais bien, alors je n'ai jamais rien eu
J'ai rejoins une formation, ou j'étais harceler, rabaisser, mais ce fut la première de ma vie entière
La première chose que je reçus de l'argent et honnêtement les personnes disait qu'on gagnait rien
Moi j'avais économisé plus de 2500€, car j'utilisais pas du tout autant même en tout payant
J'ai donner ma carte à ma mère et en mois d'un mois, il y vait plus rien
J'ai rien gagner durant des années, je cherchais des formations encore et encore, ma soeur à une boîte, mon frère est dans la police
Ma mère est retraité, moi je n'arrivais pas, dû à pas de permis, pas de voiture, vie trop différente, sexisme, racisme
Je n'ai que ça de me faire refusé et pourtant je continuais et je n'en pouvais plus
Parfois je pleurais, parfois je voulais me tuer et je continuais
Et jamais sans résultat, même si devant eux je souriais
J'ai aimer quelqu'un de nouveau (Plume) et je ne voulais pas être un malheur, la première fois que je l'ai vu
Je me suis reconnu, j'ai trouver ça vie atrcoce, mais avec des solutions, de même pour (Air2Vie)
Moi aussi, mais la solution que je voyais me concernant c'était déjà celle que j'essyais
Alors pour moi, ma vie était foutue, j'aurais adorée avoir un obejctif
Comme (Plume) et d'autre, mais je suis plus âgé et plus loin
Mon chat est dans un pitieux état, on me conseil l'euthanasie depuis des années et moi j'en suis incapable
Il fait ses besoins sur les chaises, parfois dans les lits et je peux rien faire pour le soigner
(FIV+Gengivite chronique) Il arrive à peine à manger, il hurle tout le temps
Crache sur tout le monde, excepter moi, la nuit il vient pour ronronner
Ma lapine à une petite maladie chronique aussi
Je dors sur un metelas par terre depuis des années, dans ma vie, je ne sais pas si j'ai plus dormis sur un metelas ou sur un lit
Je me consière pas comme pauvre, je donne chaque jour des choses aux sans abri, j'aurais envie de les invités
Mais ce n'est pas normal d'être humain en ce monde qui me répugne, même ceux qui se disent empathique
Tous les couples qui se brise, pourquoi vous recommencez à être en couple ?
Les personnes qui insulte, qui frappe aller vous faire guérir !
Tous ceux qui pense à l'argent vous avez jamais été dans
La galère ou quoi dans vos vies ? L'argent c'est juste de l'argent rien de plus
Tous ces garçons et même ses filles qui pensent aux sexes, ils me donennt envie de me flinnguer, même les couples qui partage rien
Parce qu'honnêtement ils me dégoutes tous, mais dire ça, c'est pas possible parce que tellement est comme ça
Je suis le plus extratresttre que j'ai jamais vu dans ce monde
J'en vois partout se dire hypersensible, achetez vous de la sensibilité j'ai envie de dire
J'ai jamais eu de mutuelle pour consulter un psyhologue, je suis comme ça depuis que je suis enfant
ça sert à rien de me donner des médicaments, je cache ma personnalité, parce qu'elle est hors norme total à ce monde
Même si vous me torturez, je vous dirais que la vie belle, elle est belle que si vous avez pas de jambes, mais soyez heureux
Parce que la vie est juste merveilleuse, si j'avais été aveugle, mais alors ? Parce que vous vous rendez vous pas compte
On peut nager, on peut courrir, on peu chanter, on peut même juste pleurer, on peut vivre quoi
Je sais que c'est difficile pour beaucoup, mais la vie, elle peut être triste si vous voulez la voir triste, mais elle peut être belle aussi
C'est vrai je suis pas un exemple pour dire qu'elle est belle, parce qui y a pas grand chose de beau, et alors ?
Est-ce que c'est une raison pour dire qu'elle est moche, non
Tu peux rester dans ton négatif et couler, tu vas aller mal, les personnes qui tienne à toi vont aller mal
Tu vas aller encore plus mal, et pourquoi ? Il y a un moment dans la vie, on est blasé de trop d'être une chose
Et moi je suis blasé d'être maleureux, j'ai plus envie de l'être, parce que je l'ai trop été et c'est comme ça
Dans une vie, on peu faire des millions de choses, on n'est pas les autres, mais on est nous
Alors oui, mon rêve c'est de vivre une vie merdique on peut dire, entièrement banal
Mais pour moi, c'est ça mon rêve, pour d'autre c'est être professeur ou je sais pas
Quoi, on à tous des rêves et à tous le droit de vivre on le souhaite
Il y a des gens qui s'enbrouille, y en a d'autres ils sont pas d'accord, mais en s'en fiche, tu vis, tu te lances, tu te balances
La vie c'est comme une bicyclette Albert disait, oui comme une bicyclette, parce qu'on tombe
Mais te laisse pas tomber dans la vie, ta le droit d'être toi
Ta le droit te lever, te relever, te faire une chose
Que beaucoup pense impossible
Mark Twain disait ; Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait
T'écris ton livre, t'écris ta vie, t'écris ton histoire en vivant, elle va pas être pareil que les autres c'est normal, d'accrod
C'est seulement à toi, de choisis ta route
Oui à toi et à personne d'autres petit lecteur qui me lit prend soin de toi
Un autre message que j'ai écrit à quelqu'un sur ma vie maintenant ;
J'ai toujours dit que je n'avais jamais besoin d'argent dans la vie
Que c'est juste du papier, j'ai déjà dormi sans domicile
Dans des garages et pourtant je continue sans cesse
A donné des choses aux sans abris
Mais honnêtement, tu sais autre que ma peur d'aller voir une psychologue
Je n'ai jamais eu de mutuelle ni de sécurité sociale de ma vie
Parce que je n'ai pas vraiment les moyens, par exemple la connexion
C'est fait couper deux fois ce mois-ci
Que j'ai du payer, car ma mère n'avait plus d'argent, j'ai envoyé de l'argent à un frère qui à demander à ma mère, car il m'écrit pas
Ma mère a des dêtes, donc niveau nourriture, loyer, c'est moi qui doit payer
Comme l'argent que je gagne, n'est pas considéré comme un travail où autres, j'ai 19€ d'APL sur un loyer à 390€ et je gagne 500€
J'ai toujours dit que je n'avais jamais besoin d'argent dans la vie
Que c'est juste du papier, j'ai déjà dormi sans domicile
Dans des garages et pourtant je continue sans cesse
À donné des choses aux sans-abris
Mais honnêtement, tu sais autre que ma peur d'aller voir une psychologue
Je n'ai jamais eu de mutuelle ni de sécurité sociale de ma vie
Parce que je n'ai pas vraiment les moyens, par exemple la connexion
C'est fait couper deux fois ce mois-ci
Que j'ai dû payer, car ma mère n'avait plus d'argent, j'ai envoyé de l'argent à un frère qui a demandé à ma mère, car il ne m'écrit pas
Ma mère a des detes, donc niveau nourriture, loyer, c'est moi qui doit payer
Comme l'argent que je gagne, n'est pas considéré comme un travail où autres, j'ai 19€ d'APL sur un loyer à 390€ et je gagne 500€
130€ pour le mois, ça ne me pose absolument aucun souci pour vivre même avec des animaux personnellement
Vu que je suis quelqu'un qui utilise presque rien
Mais ne me demande pas comment, ma mère n'a plus d'argent en moins d'une semaine, c'est l'inverse, c'est une poche trouée
Elle gagne dans les 1000€, et en 2 semaines, elle est toujours en moins depuis des années
Tu peux trouver ça peut, mais on aurait souci pour vivre ainsi, le souci, sont les les médicaments pour mon chat et son opération qui va Coûter+500€, les médicaments de ma lapine, les cigarettes de ma mère que je dois acheter. Elle ne prend pas ses médicaments pour le cœur
Et honnêtement, je ne sais pas comment les acheter et ça depuis des années
Trouvez un travail, j'ai déjà été en formation, jamais encore véritablement travailler, car on m'a véritablement à chaque fois refusé
Pour les choses citées plus haut ; non-diplôme, pas permis pas travail pas de travail pas de permis, sexisme, racisme et cetera
Même en essayant chaque semaine durant des années en essayant bien passé l'entretien avoir eu des notes entre 16 et 20 sur 20
Je n'aime pas me lamenter, mais je pense que c'est aussi normal que je parle jamais de ma vie
A chaque fois que j'y pense je veux m'éteindre
Celui qui rêvait d'apprendre plein de choses, faire de longues études et aider les personnes
"Plus j'apprendrais plus je pourrais aider les autres" (Il est loin ce garçon...)
Au final, je me suis fait sans cesse harceler, enfant touché, frappé et autres et sorti complètement du monde
Alors je n'ai jamais rien connu, on n'avait pas d'argent pour acheter des livres, j'étais refusé dans toutes les écoles pour mes origines, j'ai été 2 an/24
Tu vois, j'aurais vraiment aimé avoir une vie normale
Prends soin de toi
Une réponse à quelqu'un qui peut-être me décrit un peu ;
J'ai connu beaucoup de personnes sur des réseaux qui tombaient amoureuse de moi
Mais moi, je ne les aime pas, certaines ont même voulu qu'on se rencontre sur des sites qu'on peut, je n'ai pas voulu
J'agis de la même façon avec les garçons et les filles, car je ne cherche rien, l'amour tu ne l'as choisi pas à moins que ce soit du faux
Je donnerais pas non plus mon numéro à quelqu'un, on m'a la souvent demander
Mon envie d'aider, ne cache rien, je me détruis et je n'y peux rien parce qu'elle est spontanée pour moi
Je me suis encore jamais dit de ma vie entière, si j'aide quelqu'un il va m'aider, si j'envoie de l'amour
Il va m'aimer, si j'inquiète il va penser je ne sais pas quoi ; non, je m'inquiète même pour un enfant
Que j'ai vu il y a 20 ans et je n'attends rien, je les reverrai jamais, mais en moi j'en crève
De douleur d'être ainsi et cette façon d'être je la trouve normale, parce que l'inverse
Pour moi, c'est horrible de dire ça, mais est-ce qu'ils sont un cœur les autres ?
Comment on peut oublier quelqu'un dans sa vie ? Surtout réelle
Moi je n'ai jamais oublié même une personne d'un réseau
Dans la vie, toutes les choses ont toujours plus ou moins marcher en relation, cependant, c'est que je n'en ai pas
Je suis coupé du monde totalement, ce n'est pas mon comportement dans la vie, j'ai connu tellement de
Personne qui m'on dit m'aimer, mais pas moi, je les jetais pratiquement parce que je voulais revoir (É)
Dans ma vie et l'amitié, personne n'a jamais voulu l'être, je n'ai pratiquement jamais connu personne
C'était pareil enfant, plus ou moins, comment je peux l'expliquer, enfant rien, c'était unique, adolescent
Ma mère disait que je rayonnais sans cesse, la réalité, c'est que j'ai appris à lire, la géométrie
J'ai appris seul, je me suis mis à lire encore et encore uniquement pour une seule raison
Revoir (É), même les métiers que je voulais faire, même les horaires que je me levais
Même les choses qu'elle faisait ; pourquoi as-tu fait tout ça ? Parce que c'est la
Seule raison de ma vie qui m'a poussé à survivre, je n'avais rien, rien
Aucune attente du monde, aucun lien de nulle part, rien de chez rien
Et ce fut la seule période où ma mère m'a parlé sans le savoir
Je devais faire +1m85 tellement j'ai été dénutri
Je fais 1m73
Tu peux trouver ça horrible, la seule raison que je peux trouver quelque chose d'inspirant
C'est seulement quand je me lie émotionnellement, même à un animal
Prendre des médicaments ne sert à rien, je suis ainsi depuis mon
Enfance ; faire une TCC, TCI, pour être plus conforme
Je n'en ai même pas les moyens
J'envoie des candidatures depuis des années, je ne parle jamais de moi dans la vie
Sur les réseaux, je la modifie tellement pour ne pas engendrer de mal-être
Et à la fois, je fuis ma vie, je fuis ma réalité, je suis bon conseil
Cependant, pas simple me concernant, Prenez soin de vous
, c'est aussi un nom que quelqu'un m'a dit en souvenir
où les coccinelles 
dans la vie