Un peu de positif

[Vincent4]

Quand "tout" remontait je devenu tout bizarre et les amies de ma mère en mode mon chou ça me terrorisait et mon ancienne psychiatre quand je lui est dit je fais plus la différence entre une agression, un mépris absolue et une voix gentille bizarre elle m'a serré la main en forçant les sourcils comme pour dire "courage bonhomme" elle avait super bien compris le côté affectif de ma demande je serais pas comment décrire cette poignets de mets.
C'est marrant dans le sens où je lui avais parler de internet et que je commençais à avoir des connaissances psycho, avec sa fameuse phrase culte "il me semble que vous vous soulager par la connaissance, et ça c'est vain" elle était comme désolé de m'apprendre ça.
Elle a dit "C'est dommage que vous faites pas confiance à vôtre propre intelligence...à vos propres...à vous quoi !" j'avais l'impression de jamais lui avoir parler mais j'ai des moments avec mon ancienne psychiatre qui reviennent.

[Vincent4]

Rien à faire des fautes j'en suis plus à faire des dictées

[Vincent4]

Mais c'est aussi le fait de voir d'autres personnes hyper intelligentes aller mieux et rechuter ça donne l'impression d'être atteint d'un truc dont je ne peux me sortir les trucs genre Primo Levi qui écrit un livre pour se suicider par exemple entre autres.

[Vincent4]

C'est pas une joie particulièrement exaltante, mais je vois ma chambre avec mes dessins et mes poster, un truc de Bleach et un Mandala d'une sorte de grand Boudha où j'ai ajouter une partie d'univers et des planètes en arrière plan je me dis c'est bien je ressens un truc bien mais il y a cette fracture morale que je suis pas vraiment bien même en étant bien.
J'ai été bien en septembre octobre avec des ressentis positif dont je m'impregnait sur beaucoup de choses, et c'est après que je suis revenu ici, j'ai ressasser mon passé et là je suis dans le mois du décès de ma mère avec un environnements carrément pathogène à pars me dire que ça va passer je vois pas quoi faire pourtant je suis en mode invocation envers mon inconscient "SOS suicide envoie moi des joie et des plaisir comme cette été là....ect ect".

[Vincent4]

Sur le forum c'était pas comme ça pour moi quand je suis revenu, c'était plus témoignage avec une impression d'un endroit particulier mais j'avais une impression à l'aise comme un endroit familier opposée au premier sentiment, et ce sentiment de familiarité et plus présent et moins le reste, comme si je venais plus écrire parfois et c'est quand j'écris le plus que c'est comme si j'y tenais le moins à écrire et à ce qu'on me réponde tout en écrivant vraiment et ayant une reconnaissance, une sympathie pour les réponses.
J'arrête d'écrire pour ce soir je vais écouter de la musique et me plonger dans la bulle des pensées je sais que dans 2 heures je vais me sentir bien de sentir venir le sommeil, ces derniers jours je dormais vraiment à peu près suffisamment, mais dans une sorte d'inconfort psychologique et physique dérangeant.

[Vincent4]

Parler peu pour parler bien, un seule problème, celui qui me semble être le vrai.
Si le pire était pas derrière, est que je ne pouvais plus me bercer avec des illusions car ça ne marche pas, et que j'aurais réellement un abysse identitaire où de trop grande faille, que j'étais atteint d'une maladie psychotique et que c'était trop tard, où si c'est juste des problèmes de base avec des bénéfices qui empêchent où une hygiène qui empêche, un quotidien/environnement qui empêche.
Il se passe rien, c'est pas la vie, et ce problème psychologique et rien qui marche il est un abysse que je détourne par des illusions où c'est arrangable c'est aussi le fait de pas pouvoir savoir si j'ai les moyens en moi pour être "reconstruisable" tout semble dire que ça ne marche pas, j'ai pas tout essayé peut-être rien peux se construire vraiment.
C'est évident que c'est de la survie mon histoire, le moins pire est que j'en suis là pour l'instant, le pire c'est que c'est trop tard.

[Vincent4]

C'est des pensées qui disent " Je vais me tuer, je suis une p**** si je le fais pas" et tout ce qui est associé au suicide ne me fait pas du bien mais ne m'angoisse pas.

[Vincent4]

C'est la voix haineuse d'un agresseur, c'est la même qui me dit de me tuer, je crois il a dit qu'il haïssait les p****, il y a des violeuses qui rigole, je me demande lequel est le plus terrible et détestable des deux, franchement, tous des fou et des folles, la haine des agresseurs femme est plus "détournée" en moquerie.
Dans ma tête je ne vais pas me priver d'être un sérial killer, je dois m'occuper de ma haine, dans ma tête, c'est ça qu'ils ont du mal à comprendre, mais moi aussi, j'ai une de ses haines.

[Vincent4]

J'ai jamais compris ce qui appartient aux agresseurs et aux victimes.

[Vincent4]

Un agresseur est une victime en plein dans sont rôle d'agresseur, c'est incompréhensible, tel moment comme si, tel moment comme ça, c'est dur à cerner une pulsion de malade, il y a chez qui c'est tout un événement on dirait c'est un rituel celui de leurs vie ils vont sacrifier quelqu'un la haine, d'autres c'est un phénomène de récréation.
Ça passe, c'est des animaux dans leurs trucs.
Peut-être il y en a qui se repentisse qui sait, je ne le crois pas tout le temps.
Impossible de faire comme eux c'est plus un truc de sérial tiller sur le cerveau une sorte de chimie de torture que je fais dans ma tête, c'est Hannibal Lecteur jeux vidéo mon médicament, j'aurais pas dû me l'enlever c'est dans ma tête je culpabilisais mais j'ai le droit le plus légitime.