Les faibles et les forts
Les faibles et les forts
Bonjour,
Suite au visionnage d'une vidéo triste, je suis en pleine réflexion peut-être c'est assez osé mais "pourquoi le suicide et pas le meurtre".
Je ne parle pas de l'envie de mourir suite à un deuil, perte de travail, mal être, solitude...
Je parle plutôt de ces jeunes considéré comme "pas assez normal " ou tout simplement par méchanceté gratuite que l'on harcèle et que l'on pousse au désespoir.
Pourquoi le cerveau va pousser une personne désespéré à se suicider plutôt qu'à tuer la personne responsable de la douleur insupportable qu'elle ressent ?
Puisque la personne est prête à se jeter sous un train, se pendre... Elle est déjà dans des pensées ou actions extrêmes. Elle n'a plus rien à perdre alors le bien, le mal ....
Alors oui elle va vouloir mettre fin à sa souffrance mais elle reste consciente que cette souffrance n'est pas juste.
Dans le cas d'un harcèlement, elle sait très bien qui est à l'origine de la rumeur ou le traître, le meneur et les suiveurs.
Entre la peine et la haine y a t-il pas un pas ?
Pourquoi est-il plus facile de se donner la mort à soit qu'à autrui ?
Le suicide est il vraiment l'issu des plus faibles ?
Mais c'est vrai certain pour peu te plante et d'autres qui ont toutes les raisons de le faire se jette des ponts.
Les forts et les faibles.
Suite au visionnage d'une vidéo triste, je suis en pleine réflexion peut-être c'est assez osé mais "pourquoi le suicide et pas le meurtre".
Je ne parle pas de l'envie de mourir suite à un deuil, perte de travail, mal être, solitude...
Je parle plutôt de ces jeunes considéré comme "pas assez normal " ou tout simplement par méchanceté gratuite que l'on harcèle et que l'on pousse au désespoir.
Pourquoi le cerveau va pousser une personne désespéré à se suicider plutôt qu'à tuer la personne responsable de la douleur insupportable qu'elle ressent ?
Puisque la personne est prête à se jeter sous un train, se pendre... Elle est déjà dans des pensées ou actions extrêmes. Elle n'a plus rien à perdre alors le bien, le mal ....
Alors oui elle va vouloir mettre fin à sa souffrance mais elle reste consciente que cette souffrance n'est pas juste.
Dans le cas d'un harcèlement, elle sait très bien qui est à l'origine de la rumeur ou le traître, le meneur et les suiveurs.
Entre la peine et la haine y a t-il pas un pas ?
Pourquoi est-il plus facile de se donner la mort à soit qu'à autrui ?
Le suicide est il vraiment l'issu des plus faibles ?
Mais c'est vrai certain pour peu te plante et d'autres qui ont toutes les raisons de le faire se jette des ponts.
Les forts et les faibles.
Re: Les faibles et les forts
Je ne sais pas si j'ai bien compris vos interrogations...
Je parle plutôt de ces jeunes considéré comme "pas assez normal " ou tout simplement par méchanceté gratuite que l'on harcèle et que l'on pousse au désespoir.
Pourquoi le cerveau va pousser une personne désespéré à se suicider plutôt qu'à tuer la personne responsable de la douleur insupportable qu'elle ressent ?
*** Parce ce qu'elle se sent coupable de ne pas être la personne que l'autre va aimer. Cela lui rappelle inconsciemment le petit enfant qu'elle a été, et qui ne s'est pas senti(e) accepté(e) et aimé(e) par ses parents, ou ceux qui s'occupaient d'elle, ou de lui, bébé, et enfant. Ou un manque total de fierté et de confiance en soi. Elle se punit de cette situation.
Puisque la personne est prête à se jeter sous un train, se pendre... Elle est déjà dans des pensées ou actions extrêmes. Elle n'a plus rien à perdre alors le bien, le mal ....
*** C'est plus facile de se tuer que de tuer l'autre. Les deux peuvent se faire sous le coup de la pulsion, mais tuer l'autre demande réflexion, et préparatifs, et ce sera le frein principal. Se tuer c'est surtout oublier celui qui nous torture, c'est donc le tuer en même temps que soi.
Mais c'est vrai certain pour peu te plante et d'autres qui ont toutes les raisons de le faire se jette des ponts.
Les forts et les faibles.
*** La notion de fort et de faible ou encore de lâche et de courageux n'ont rien à voir là dedans.
Lun et l'autre sont une pulsion, "un coup de folie".
Je parle plutôt de ces jeunes considéré comme "pas assez normal " ou tout simplement par méchanceté gratuite que l'on harcèle et que l'on pousse au désespoir.
Pourquoi le cerveau va pousser une personne désespéré à se suicider plutôt qu'à tuer la personne responsable de la douleur insupportable qu'elle ressent ?
*** Parce ce qu'elle se sent coupable de ne pas être la personne que l'autre va aimer. Cela lui rappelle inconsciemment le petit enfant qu'elle a été, et qui ne s'est pas senti(e) accepté(e) et aimé(e) par ses parents, ou ceux qui s'occupaient d'elle, ou de lui, bébé, et enfant. Ou un manque total de fierté et de confiance en soi. Elle se punit de cette situation.
Puisque la personne est prête à se jeter sous un train, se pendre... Elle est déjà dans des pensées ou actions extrêmes. Elle n'a plus rien à perdre alors le bien, le mal ....
*** C'est plus facile de se tuer que de tuer l'autre. Les deux peuvent se faire sous le coup de la pulsion, mais tuer l'autre demande réflexion, et préparatifs, et ce sera le frein principal. Se tuer c'est surtout oublier celui qui nous torture, c'est donc le tuer en même temps que soi.
Mais c'est vrai certain pour peu te plante et d'autres qui ont toutes les raisons de le faire se jette des ponts.
Les forts et les faibles.
*** La notion de fort et de faible ou encore de lâche et de courageux n'ont rien à voir là dedans.
Lun et l'autre sont une pulsion, "un coup de folie".
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Les faibles et les forts
Donc ça veut dire qu'il est impossible voir casi rare qu'une personne qui se retrouve dans cette situation tue (ou essaye) le responsable de ses souffrances.
La logique voudra quelle se suicide.
Mais si cette personne décida de commettre un meurtre ça voudrait dire quoi qu'elle était pas assez en détresse ?
Imaginons un soir au lieu d'accrocher sa corde, elle met un couteau dans son sac.
La logique voudra quelle se suicide.
Mais si cette personne décida de commettre un meurtre ça voudrait dire quoi qu'elle était pas assez en détresse ?
Imaginons un soir au lieu d'accrocher sa corde, elle met un couteau dans son sac.
Re: Les faibles et les forts
Donc ça veut dire qu'il est impossible voir casi rare qu'une personne qui se retrouve dans cette situation tue (ou essaye) le responsable de ses souffrances.
La logique voudra quelle se suicide.
Mais si cette personne décida de commettre un meurtre ça voudrait dire quoi qu'elle était pas assez en détresse ?
Imaginons un soir au lieu d'accrocher sa corde, elle met un couteau dans son sac.
*** Etes-vous cette personne dont vous parlez ?
La logique voudra quelle se suicide.
Mais si cette personne décida de commettre un meurtre ça voudrait dire quoi qu'elle était pas assez en détresse ?
Imaginons un soir au lieu d'accrocher sa corde, elle met un couteau dans son sac.
*** Etes-vous cette personne dont vous parlez ?
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Les faibles et les forts
Non, non du tout !
Re: Les faibles et les forts
Tant mieux.
Mais vous devriez arrêter de réfléchir si intensément, ça brouille les pistes.
Mais vous devriez arrêter de réfléchir si intensément, ça brouille les pistes.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Les faibles et les forts
Je comprends
Vous êtes d'accord que ce qui va différencier c'est deux actes sera sur ses capacités mentales ?
Vous êtes d'accord que ce qui va différencier c'est deux actes sera sur ses capacités mentales ?
Re: Les faibles et les forts
Donc il y a bien des faibles et des forts.
Re: Les faibles et les forts
Mentalement oui, dans le degré de la réflexion et de l'intelligence.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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