Une petite question !

[Etudiante22]

Je ne sais pas vraiment si je suis en droit de créer un topic pour poster ma question mais je le fais.

Alors je suis étudiante et pour un dossier de psycho j'aimerais essayer de faire un rapport entre un traumatisme psychologique (peur) et un certain type de démence.

Alors j'aimerais, s'il y a vraiment de spécialistes sur ce forum, qu'on me donne quelque avis à ce sujet : si selon vous, il y'a des liens entre ces deux choses au-dessus.

Pour plus d'information sur le cas que je veux traiter, on peut toujours m'envoyer un message privé.

Merci d'avance !

Etudiante22

[Dubreuil]

je veux bien vous aider, mais je ne comprends ni l'à-propos, ni l'intérêt d'un tel rapport..
explications SVP..

[mur de béton]

j'ai des infos là dessus...plein d'infos
mais je laisse les spécialistes en premier lieu répondre et si ça peut aider quelqu'un je peux poster les articles sur ce post
A vous de voir

[Dubreuil]

Je vous en prie " mur de béton " laissez-vous aller, répondez..
Si je n'étais pas tout à fait d'accord je vous le dirai.
Allez hop, à vous !

[Dubreuil]

On est bien d'accord.. le rapport entre la peur ( qui ne peut être un traumatisme psychologique, mais une émotion ) et la démence ( qui annonce un état non accessible au raisonnement ).

[mur de béton]

Bon ok, un premier article, j'ai un doute sur le terme "traumatisme psychologique" et sur la définition que vous lui donnez
si je suis hors sujet, dites le moi...
A+


En route vers les symptômes psychotiques : traumatisme, anxiété et expériences psychotiques
(Freeman D et Fowler D. Psychiatry Res. 2009. Sep. 30.169(2). 107-112.)

La place des traumatismes dans le déclenchement des troubles psychotiques suscite de plus en plus d'intérêt. Plusieurs études ont démontré qu'une histoire d'abus durant l'enfance augmente le risque de développer des symptômes psychotiques par 10.
Dans cette étude anglaise les auteurs ont regardé l'association entre une histoire traumatique et des idées de persécution ou des hallucinations auditives en population générale, non clinique. Pour cela ils ont recruté 200 personnes à qui ils ont fait passer des autoquestionnaires évaluant ces variables mais aussi un test de QI, de dépression et la prise de toxiques.
Les résultats montrent qu'une histoire de traumatisme, et notamment les abus sexuels ou le fait d'avoir été témoin d'événements violents, est associée avec des idées de persécution et des hallucinations. Les personnes ayant vécu un traumatisme ont 2,5 fois plus de risques de développer des idées de persécution et 4,8 fois plus de risques de développer des hallucinations. L'association entre traumatisme et idées de persécution semble liée à la présence d'anxiété. Par contre pour les hallucinations aucun facteur de médiation n'est retrouvé. Les auteurs concluent qu'un même événement peut avoir des conséquences différentes et ceci en employant des chemins physiopathologiques différents.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19700[...]
Lun, 21 sep 2009

[Dubreuil]

Mais oui, mais ce n'est pas cela sa demande. Elle peut sans problème le lire aussi sur internet..
Ce qu'elle veut voyez-vous, c'est quelque chose qu'elle ne peut pas obtenir.

( Et vous êtes mille fois plus pertinent(e) qu'elle puisque vous êtes allé(e) vous-même à la pêche aux informations !
( au fait, vous êtes fille ou garçon ? Et quel âge avez-vous ? )

Ce que vous présentez comme article restera incompréhensible pour elle, étant donné que pour en saisir une part de la portée pédagogique et prétendre faire " un lien " entre deux entités ( c'est un ex. ) il faudrait tout d'abord qu'elle connaisse par le début la signification analytique de chaque terme. Chose qui s'apprend justement dans les études de psycho. Il lui faudrait ensuite maîtriser les éléments " déductifs " de chaque symptômes. Symptôme comportant lui-même ses propres explications cliniques se référence à d'autres pathologies.. etc..

Elle n'y a pas de réponse à sa demande ..
1) parce que faire un " dossier de psycho " demande au moins quelques connaissances élémentaires, du moins celles de comprendre soi-même la signification de sa propre demande..
2) Parce que l'on ne demande pas ce genre d'exposé en première année.
2) parce qu'aucun étudiant psy possédant un minimum d'informations ne poserait ensuite cette question " hors sujet "
3) Parce qu'il est impossible de faire un lien sur quelque chose qui n'a pas lieu d'être et ne présente absolument aucun intérêt clinique. ( C'est un peu comme si elle demandait : - " Est-ce qu'il y a un lien entre la sardine à l'huile et le bouquet de mimosa du voisin. " )
Mais dans l'absurde effectivement, vous pouvez tenter de lui répondre.

[mur de béton]

je m'en doutais, que la pêche aux infos n'était pas forcément la bonne, bon ça peut quand même faire un peu de lecture...on va dire ça comme ça
et effectivement, à vous lire, uniquement à vous lire, je "ressens" la personne d'expérience, donc je me fie à celle-ci
et puis je suis loin, très loin d'être psy, même si je trouve ce sujet passionnant,
Quand à l'étude, plutôt aux études que je possède sur le domaine "psy" en général, elles ne viennent pas de recherches "net" mais d'une adhésion à une association
Voili, voilou

( pour la petite histoire je suis un homme, la trentaine, ça à un intérêt cette demande ?)
A+

[Azadeh]

Je crois que tu n'as pas compris tout ce que Mme Dubreuil écrivait entre les lignes à propos de la demande initiale de cette "étudiante" en ... psycho ?

[mur de béton]

maintenant j'ai compris, que je n'ai rien compris à ce qu'il fallait comprendre
bon je vais sur le forum détente, là je me fais des noeuds au cerveau