Urgent, c'est le tournant de ma vie

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Dubreuil
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POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES VIOLENCES SEXUELLES AUX ENFANTS ET LEURS CONSEQUENCES PSYCHOTRAUMATIQUES
(recoupements)

Le Livre noir des violences sexuelles, de Muriel SALMONA Paris, Dunod, 2013.
2ème édition le 4 avril 2018

Violences sexuelles. Les 40 questions-réponses incontournables, de Muriel
SALMONA Paris, Dunod, 2015.

Enfants victimes de violences sexuelles. La mémoire traumatique : violences
sexuelles et psychotraumatismes, 2016 Texte d’intervention de la Dre Muriel
SALMONA psychiatre, psychotraumatologue, présidente de l’association Mémoire
traumatique et victimologie lors du colloque à la Cour de cassation le 6 octobre 2016,

« La maltraitance des mineurs » organisé par l’ENM et la Cour de cassation, qui a fait
l’objet d’une publicationn en 2018 dans les Cahiers de la justice téléchargeable :
https://www.memoiretraumatique.org/asse ... umentspdf/
2016Enfants_victimes_de_violences_sexuelles_ENM_colloque_cour_de_cassation.p
df

Impact des violences sexuelles sur la santé des victimes Salmona M. in Pratique
de la psychothérapie EMDR, sous la direction de Cyril Tarquinio et Al., Dunod,

2017 ; 19, pp 207-218. téléchargeable : https://www.memoiretraumatique.org/assets/
files/v1/Articles-Dr-MSalmona/2017-Aide-memoire-Dunod-Impact-des-violencessexuelles-la-memoire-traumatique-a-l-œuvre.pdf
Amnésie traumatique, un mécanisme dissociatif pour survivre, Muriel Salmona

2018 article à paraître dans un ouvrage collectif édité chez Dunod en juin 2018 :
https://www.memoiretraumatique.org/asse ... atique.pdf

• Les sites de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie avec de
nombreuses informations disponibles, des ressources et des fiches pratiques sur les
violences, leurs conséquences sur la santé, leur prise en charge, et des information sur
les campagnes et les actions de l’association : http://www.memoiretraumatique.org,
http://stopaudeni.com, http://stopauxviolences.blogspot.fr, http://
lelivrenoirdesviolencessexuelles.wordpress.com avec une bibliographie générale et
des témoignages

CFCV femmes viols informationhttps://cfcv.asso.fr

AIVI Association Internationale des victimes de l'inceste http://www.aivi.org

La parole libérée : https://www.laparoleliberee.fr

Enfance en danger http://www.enfancedanger.com

Le monde à travers un regard http://www.lemondeatraversunregard.org

Moi aussi amnésie : site dédié aux victimes d'amnésie traumatique avec des
témoignages https://moiaussiamnesie.fr

et le 119 Service National d’Accueil Téléphonique pour l’Enfance en Danger
(SNATED)

• Le rapport d’enquête IVSEA Impact des violences sexuelles de l’enfance à l’âge
adulte, 2015 SALMONA Laure auteure, SALMONA Muriel coordinatrice Enquête
de l’association Mémoire Traumatique et victimologie avec le soutien de l’UNICEF
France dans le cadre de sa campagne #ENDViolence (téléchargeable sur les sites
http://stopaudeni.com/ et http://www.memoiretraumatique.org

• L’enquête Les français-e-s et les représentations du viol et des violences sexuelles,
2016 conduite par IPSOS pour l’Association Mémoire Traumatique et Victimologie,
SALMONA Muriel, directrice et SALMONA Laure coordinatrice et auteure du
rapport d’enquête et du dossier de presse téléchargeable sur les sites http://
stopaudeni.com/ et http://www.memoiretraumatique.org (3)

• De nombreux articles de la Dre Muriel Salmona, ainsi que des vidéos de formation
s o n t c o n s u l t a b l e s e t t é l é c h a r g e a b l e s s u r l e s i t e http://
www.memoiretraumatique.org : http://www.memoiretraumatique.org/publi ... lmona.html

• Des brochures d’information éditées par l’association, sur les conséquences des
violences sur la santé à destination des adultes et des jeunes à télécharger sur le site
http://www.memoiretraumatique.org et stopaudeni.com

• Des films témoignages Stop au déni-les sans voix de Catherine Zavlav, 2015 sur
http://stopaudeni.com

la mémoire traumatique et les conduites dissociantes in Traumas et résilience,
Dunod, 2012 : http://www.stopauxviolences.blogspot.fr ... -avec.html

La dissociation traumatique et les troubles de la personnalité posttraumatiques : ou comment devient étranger à soi-même ? Salmona M., in Les
troubles de la personnalité en criminologie et en victimologie Dunod, 2013 http://
www.stopauxviolences.blogspot.fr/2013/0 ... ation.html

L’impact psychotraumatique de la violence sur les enfants : la mémoire
traumatique à l’œuvre Salmona M. in la protection de l’enfance, La revue de santé
scolaire & universitaire, janvier-février 2013, n°19, pp 21-25 téléchargeable :
h t t p : / / w w w. a f p s s u . c o m / w p - c o n t e n t / u p l o a d s / 2 0 1 3 / 0 7 / i m p a c t -
psycho_violences_Salmona.pdf

Salmona M. , dans le dossier Le traumatisme du viol, revue Santé Mentale, 176,
m a r s 2 0 1 3 , p a g e s 2 0 - 2 8 . t é l é c h a r g e a b l e s u r l e s i t e : http://
www.memoiretraumatique.org/assets/files/
doc_violences_sex/Le-viol-crime-absolu-Sant-mentale-Le-traumatisme-du-violmars2013.pdf

Salmona M. La prise en charge médicale des enfants victimes in Le parcours
judiciaire de l’enfant victime sous la direction de Attias D. et de K l., Eres, 201

Salmona M. La reconnaissance de l’impact psychotraumatique sur les enfants
victimes de violences sexuelles, 2015, article publié sur les blogs médiapart et stop
aux violences familiales, conjugales et sexuelles et téléchargeable sur le site : http://
www.memoiretraumatique.org/assets/files/Articles-Dr- MSalmona/201508-
reconnaissance-des-consequences-psychotraumatiques-sur-les-enfants-victimes.pdf
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LA JALOUSIE

La jalousie appartient à ces états affectifs que l’on peut qualifier de normaux, au même titre que le deuil. Quand elle semble manquer dans le caractère et la conduite d’un homme on est en droit de conclure qu’elle a succombé à un puissant refoulement et joue pour cette raison dans la vie psychique inconsciente un rôle d’autant plus grand.
Les cas de jalousie anormalement renforcée auxquels l’analyse a affaire se trouvent répartis en trois couches. Les trois couches ou étapes de la jalousie méritent les noms de jalousie : 1) concurrentielle ou normale ; 2) projetée ; 3) délirante.
Sur la jalousie normale il y a peu de choses à dire du point de vue analytique. Il est facile de voir qu’elle se compose essentiellement du deuil, de la douleur causée par l’objet d’amour que l’on croit avoir perdu, et de l’humiliation narcissique, pour autant que ce dernier élément se laisse séparer des autres ; elle comprend encore des sentiments hostiles dirigés contre le rival qui a été préféré, et un apport plus ou moins grand d’autocritique qui veut rendre responsable le moi propre de la perte d’amour. Même si nous l’appelons normale cette jalousie n’est pas pour autant rationnelle, c’est-à-dire issue de relations actuelles, proportionnée aux circonstances réelles et dominée sans réserve par le moi conscient, car elle s’enracine profondément dans l’inconscient, perpétue les toutes premières motions de l’affectivité infantile et remonte au complexe d’Œdipe ou au complexe fraternel de la première période sexuelle.
Quoi qu’il en soit il est remarquable qu’elle soit vécue bisexuellement par beaucoup de personnes : chez l’homme, outre la douleur causée par la femme aimée et la haine contre le rival masculin, le deuil de l’homme inconsciemment aimé et la haine contre la femme en tant que rivale interviennent aussi avec un effet de renforcement. Je connais un homme qui souffrait cruellement de ses accès de jalousie et qui d’après ce qu’il disait endurait les pires tourments dans la permutation consciente avec la femme infidèle. Le sentiment de détresse qu’il éprouvait alors, les images qu’il trouvait pour son état (c’était comme s’il avait été livré tel Prométhée à la voracité d’un vautour, ou jeté enchaîné dans un nid de serpents), lui-même les rapportait à l’impression laissée par plusieurs attentats homosexuels qu’il avait subis étant jeune garçon.
La jalousie de la deuxième couche ou jalousie projetée provient de la propre infidélité dont le sujet fait preuve dans la vie ou d’impulsions à l’infidélité qui ont succombé au refoulement. C’est un fait d’expérience quotidienne que la fidélité, surtout celle qui est exigée dans le mariage, ne peut être maintenue que contre des tentations constantes. Celui qui dénie ces tentations ressent pourtant leur pression avec une telle force qu’il a volontiers recours à un mécanisme inconscient pour se soulager. Il atteint un tel soulagement, voire même un acquittement vis-à-vis de sa conscience, en projetant ses propres impulsions à l’infidélité sur l’autre partie, à laquelle il doit fidélité. Ce puissant motif peut alors se servir du matériel de la perception, qui décèle les motivations inconscientes analogues de l’autre partie, et pourrait se justifier par la réflexion que le ou la partenaire n’est vraisemblablement pas meilleur que soi-même1.
Les usages sociaux ont tenu compte de cet état de choses d’une manière avisée en permettant un certain jeu à l’envie de plaire de la femme mariée et à l’envie de conquérir de l’époux, dans l’espoir de drainer ainsi l’inexorable penchant à l’infidélité et de le rendre inoffensif.
La convention établit que les deux parties n’ont pas à se tenir rigueur de ces petits écarts en direction de l’infidélité, et elle obtient la plupart du temps que la convoitise qui s’est enflammée pour un objet étranger soit satisfaite, dans un certain retour à la fidélité, auprès de l’objet propre. Mais le jaloux ne veut pas reconnaître cette tolérance conventionnelle, il ne croit pas qu’il y ait d’arrêt ou de retour une fois que le chemin a été emprunté, ni que le « flirt » mondain puisse être une assurance contre une infidélité réelle. Dans le traitement d’un tel jaloux on doit éviter de discuter le matériel sur lequel il s’appuie, on peut seulement se proposer de le déterminer à apprécier ce matériel différemment.

Sans doute la jalousie qui tire son origine d’une telle projection a-t-elle un caractère presque délirant, mais elle ne résiste pas au travail analytique qui découvre les fantasmes inconscients d’infidélité chez le jaloux lui-même.

Les choses s’aggravent avec la jalousie de la troisième couche, celle qui est proprement délirante. Elle aussi provient de tendances à l’infidélité qui ont été refoulées, mais les objets de ces fantasmes sont du même sexe que le sujet. La jalousie délirante correspond à une homosexualité en fermentation et peut prétendre légitimement tenir sa place parmi les formes classiques de la paranoïa.
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Message par Dubreuil »

FAUT-IL TOUT DIRE A SON PSY ?

La cure psychanalytique et les psychothérapies d'orientation analytique sont fondées sur la nécessité de tout dire. La règle est d'énoncer tout ce qui vient à l'esprit pendant une séance, même si cela paraît sans importance ou sans lien logique avec ce qui précédait. Cette règle a été nommée par Freud "règle fondamentale". Elle impose que l'on fasse l'effort de dire ce que l'on préférerait taire.
Pourquoi ? Parce que les raisons pour lesquelles on se refuse à dire ne sont jamais celles que l'on croit. On met en avant des raisons conscientes (la banalité supposée de tel rêve, la stupidité de telle pensée, etc.), mais les vrais motifs de la censure sont inconscients.
L'idée la plus apparemment banale ou le souvenir le plus anodin sont comme le morceau de fil qui dépasse d'une pelote emmêlée. Si on le tire (si on parle), bien des choses peuvent surgir à sa suite par association. Et parmi elles, certaines dont nous redoutons le retour à la conscience parce qu'elles sont trop douloureuses.
Quiconque fait une analyse est toujours partagé : une partie de lui veut l'entreprendre, tandis que l'autre s'y refuse, mue par cette peur. Les envies de se taire sont toujours au service de cette partie-là.
D'où la règle qui oblige à tout dire, coûte que coûte... et ça coûte toujours ! Vous évoquez, d'autre part, la crainte que le psychanalyste soit trop différent de vous et ne vous "comprenne" pas. Un psychanalyste n'est pas là pour "comprendre" ses patients. Son travail est d'"entendre" leur souffrance, de repérer comment elle "fonctionne" (quels sont les mécanismes psychiques qui la provoquent) et, surtout, de les aider, par ses interventions, à l'entendre eux-mêmes.
Il y a toujours une distance entre un psychanalyste et son patient. Elle est indispensable, car c'est elle qui permet au patient de prendre à son tour de la distance vis-à-vis de lui-même et de "décoder" enfin ce qu'il pense et ce qu'il voit.

Claude Halmos
Psychanalyste
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Message par Dubreuil »

DE CE QU'IL EN EST DE LA PSYCHANALYSE, ETRE EN PLACE

Le retour en arrière pour un malade, c’est la mort. S’il va vers l’avant, il occupe la position de patient.
Le retour en arrière pour un patient c’est redevenir malade. S’il va vers l’avant, il devient psychanalysant.
Le retour en arrière d’un psychanalysant, c’est redevenir patient. A ce moment-là, il quitte le divan et il retourne au fauteuil. S’il va vers l’avant il sort de la psychanalyse et devient ainsi sujet, responsable de ses actes et de sa relation à l’Autre, et il entre dans une danse alors possible avec le réel.

La cure peut être psychothérapeutique ou psychanalytique. Nous trouvons la cure psychothérapeutique à l’hôpital et quand l’être s’installe sur le fauteuil. La cure psychanalytique se déroule quand l’être est allongé sur le divan. Dans la position de sujet l’être n’est pas en cure. La grande majorité des êtres ne sont pas en cure, psychothérapeutique ou psychanalytique, ils vivent leur vie.


Dans la position de psychanalysant, l’être navigue dans cet océan énigmatique comme s’il était un pionnier, comme un Gil, un Magellan, Un Colomb. La visée est de l’amener à bon port, sur la terre ferme. Pendant la traversée le comportement du psychanalysant change, mais c’est en touchant terre que nous pouvons dire qu’il a traversé symboliquement son océan inconscient. Si l’être est sur le divan, il est en psychanalyse, s’il vacille à dire ou traîne des pieds, cela s’appelle tout simplement de la résistance.


Le psychanalysant est celui qui a le plus d’autorité pour reconnaître, critiquer, juger, la qualité clinique de celui qu’il a choisi pour conduire le bateau de sa cure.
Un psychanalysant c’est un être attaché à son psychanalyste par transfert. Le transfert du psychanalyste, au contraire de l’amour, n’est pas aveugle. Ce qui nourrit une psychanalyse c’est le transfert, ce n’est pas l’amour. Dans la grande majorité du temps d’une cure, et même parfois quelques années après, c’est une antipathie, voilée ou franche, que nourrit le psychanalysant pour celui qui, pendant des années, l’a patiemment écouté.
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VOULOIR MAIGRIR QUAND NOUS VIEILLISSONS
petits trucs concrets à savoir pour maintenir l'équilibre mental

Même quand l'activité est diminuée, le moins bon rendement musculaire maintient les dépenses à un niveau relativement plus élevé que les besoins apparents. La ration quotidienne moyenne se situe donc autour de 2 000 calories chez les hommes et 1 800 calories chez les femmes, mais cette moyenne peut s'abaisser à 1600 chez les personnes invalides ou très diminuées, un seuil au-dessous duquel des carences en micronutriments risquent d'apparaître.

Les protéines
Le risque de fonte musculaire est directement lié à la baisse des apports protéiques. L'apport quotidien recommandé reste donc équivalent à celui de la maturité, c'est-à-dire 1 g par kilo de poids corporel. Mais, dans les faits, on estime que moins de 2 seniors sur 3 reçoivent cette ration. Les aliments faciles à digérer, comme les viandes maigres hachées, les volailles, le poisson, les œufs et les laitages, doivent fournir l'essentiel de ces protéines.

Les lipides
Les dangers d'un cholestérol élevé sont moins sensibles après l'âge de 70 ans et diminuent encore après 80 ans. À l'inverse, un taux de cholestérol trop bas est associé à une relative sur-mortalité, notamment par cancer. Il est donc inutile de diminuer la ration de lipides ou d'imposer des huiles insaturées ou des margarines, sauf motif médical. Le beurre peut garder une place raisonnable, au sein des autres sources de lipides.

Le calcium
Chez la personne âgée, les besoins en calcium sont supérieurs à ceux de l'adulte d'âge mûr, car ce minéral est moins bien digéré et utilisé avec l'âge. On estime qu'un apport de 1 200 à 1 500 mg par jour est nécessaire pour diminuer le risque d'ostéoporose et, par conséquent, de fractures du col du fémur ou de tassements vertébraux. Les enquêtes montrent que la consommation moyenne n'est pourtant que de 800 mg par jour. D'où l'intérêt de consommer des produits laitiers.

Les maladies du grand âge, les médicaments et le vieillissement digestif augmentent le risque de déficit en minéraux, notamment en fer, sélénium, magnésium, cuivre, zinc et chrome. Les besoins en potassium et en sel varient beaucoup en fonction de l'état fonctionnel des reins. Manger suffisamment de légumes et de fruits couvre le besoin en potassium.

Les vitamines
Outre la vitamine D, si importante pour lutter contre l'ostéoporose, les besoins sont augmentés en vitamine A, dont les propriétés antioxydantes ralentiraient le vieillissement. Les carences fréquentes en acide folique (vitamine B9) et en vitamine B12 entraînent une anémie, tout comme elles seraient impliquées dans les maladies cardio-vasculaires et les troubles cognitifs du grand âge. Les capacités de stockage baissant avec le temps, il est important de faire chaque jour des repas riches en vitamines diversifiées.

L'eau
Avec l'âge, la sensation de soif diminue. Le risque principal est la déshydratation, qui peut être déclenchée par une fièvre, une poussée de diabète, une forte chaleur ambiante ou un médicament diurétique. Le besoin minimal de 1,25 litre par jour doit être augmenté en fonction de ces circonstances et également réparti, par petites quantités.

Moral et appétit
Manger seul chez soi ou dans sa chambre de maison de retraite n'a rien de stimulant. Inutile de demander au médecin des stimulants de l'appétit quand un peu de chaleur humaine et de convivialité serait le seul remède efficace.
L'usure du tube digestif ne permet généralement plus de digérer de gros repas. Pour consommer une ration journalière suffisante, il est donc plus facile de multiplier les petits repas. L'appétit étant souvent meilleur le matin, le petit déjeuner peut prendre une place plus importante que chez l'adulte.

Boire
La sensation de soif étant ralentie, la déshydratation menace même s'il ne fait pas trop chaud. Minime et permanente, elle fatigue et on n'a pas besoin de cela ! De plus, l'élimination des résidus de médicaments nécessite beaucoup d'eau. Il faut donc s'obliger à boire même si on n'a pas soif. Optez pour les petites bouteilles de 50 cl, moins lourdes à soulever que les maxis. Remplissez-les de boissons qui se dégustent froides : citronnade, tisanes, thé à la menthe.
Déposez des bouteilles d'eau partout dans votre appartement, ainsi vous en aurez toujours une sous la main. Et si vous aimez les sodas, ne vous en privez pas. Un petit verre de Porto ou d'un autre vin cuit avant le déjeuner et même le dîner peut être bénéfique car une petite dose d'alcool excite les sécrétions de l'estomac, ce qui vous donne de l'appétit et vous permet aussi de mieux digérer. Et si vous avez envie d'un verre de vin au cours de ces repas, ne vous en privez pas non plus.

Même si vous n'êtes pas sédentaire, le péristaltisme de votre tube digestif à tendance à se ralentir. Cela risque de s'accentuer au fil des années et installer une constipation plus ou moins chronique. Pour éviter cet état désagréable, il faut des fibres douces, celles des légumes et des fruits. Un bon plat de légumes au déjeuner, bien mijotés, bien goûteux, relevés de fines herbes qui vous apporteront en même temps des vita- mines ; un potage le soir. Des fruits frais mais aussi des compotes souvent plus faciles à avaler. Si votre dîner se compose d'une soupe, d'un yaourt au bifidus (très utile pour l'intestin) et d'une compote, c'est parfait. Mais pensez aussi aux fruits séchés : quelques pruneaux au petit-déjeuner, par exemple, vous assurent la tranquillité d'une bonne dose de fibres.

L'âge avançant, on a souvent moins envie de viandes et de poissons, en tout cas au repas du soir que l'on préfère léger pour faciliter le sommeil. Si c'est votre cas, il faut compenser avec des laitages et des fromages car ils vous apportent une partie des protéines dont vous avez besoin et le calcium nécessaire pour la solidité de vos os. Mangez-en le plus possible, à chaque repas, y compris au petit-déjeuner. Même si vous prenez un café au lait à ce repas et surtout si vous avez l'habitude d'une autre boisson

Viande ou poisson, tous les jours au déjeuner, c'est indispensable pour votre quota de protéines. Le poisson ne pose pas de difficultés de mastication mais ce n'est pas toujours le cas de la viande. La solution est simple : il faut la hacher ! Si vous avez une provision de biftecks hachés et de filets de poissons dans votre congélateur, vous êtes tranquille. Cuisinez-les à la poêle sans trop de gras car, outre les calories qu'ils apportent, ils peuvent être difficiles à digérer, surtout quand ils sont trop cuits.

Un goûter
Il n'a jamais fait de mal à personne et il vous est nécessaire pour vous redonner du tonus en fin de journée et parce que vous dînez léger pour mieux dormir. Un thé, des biscuits ou des toasts de pain de mie avec beurre et confiture. Il sera encore plus agréable si vous invitez des amis.

L'appétit et la sensation de soif diminuent à cause du vieillissement cérébral. Même en dehors de toute maladie dégénérative, telle une démence sénile, certaines personnes âgées n'ont que rarement faim ou soif. Le faible appétit peut résulter d'une altération du goût liée à la diminution des papilles gustatives et des récepteurs de l'odorat. Il peut aussi provenir d'un régime restrictif et monotone (limitant le sel, par exemple) pour des raisons médicales.

Les difficultés de mastication sont dues à un mauvais état dentaire (dents en moins, caries, prothèses mal ajustées, gencives douloureuses). Elles conduisent souvent à ne consommer que des aliments mixés ou faciles à avaler, sans devoir être mâchés. Ces problèmes de mastication sont aggravés par la baisse de sécrétion salivaire et les risques de fausse-route alimentaire, qui ont tendance à augmenter avec l'âge.

La digestion devient plus difficile. Les sécrétions gastriques et intestinales sont moins abondantes, le tube digestif est plus lent à se vider et moins efficace pour transformer les aliments, l'intestin et la vésicule biliaire deviennent moins toniques et moins tolérants aux graisses, aux fibres dures et aux légumes verts. Le menu se limite de plus en plus à des aliments faciles à digérer, pris au cours de repas de plus en plus réduits.

Se nourrir nécessite un enchaînement d'actions motrices : faire et rapporter les courses à la maison, cuisiner, manger, puis ranger et s'occuper de la vaisselle. Pour les personnes âgées qui vivent seules et ne sont pas en forme, la préparation d'un repas peut s'apparenter à un parcours du combattant. Les magasins sont de plus en plus éloignés du centre-ville et marcher, lorsqu'on souffre de rhumatismes aux genoux ou à la hanche, devient une épreuve. Outre les rhumatismes, d'autres problèmes physiques compliquent la préparation des repas, comme une éventuelle baisse de la vision ou une difficulté à rester longtemps debout. Les troubles neurologiques sont un autre obstacle : difficile de faire les courses ou la cuisine quand on présente des troubles de la mémoire, des tremblements, des problèmes d'équilibre, voire une désorientation dans l'espace.

La solitude si fréquente après un veuvage et l'éloignement des enfants n'incitent pas à faire de la cuisine et l'habitude se perd peu à peu au profit de grignotages ou de conserves basiques peu appétissantes. La dépression est beaucoup plus répandue qu'on ne le croit chez les personnes âgées. Elle est due au sentiment d'isolement, d'inutilité sociale ou de mort prochaine et s'accompagne d'une perte d'appétit qui va parfois jusqu'à l'anorexie. Cette dénutrition progressive est souvent interprétée comme une conséquence inéluctable du vieillissement, un effet de l'âge que l'entourage finit par accepter. Dans les institutions et même parfois en famille, les conflits sont fréquents au moment des repas : la personne âgée critique sans cesse les menus ou les modes de préparation. Tout devient prétexte à ne pas manger et cette opposition, qui peut froisser ou irriter les autres, exprime en partie cette tendance anorexique.

La baisse importante de revenus oblige nombre de personnes âgées à privilégier les féculents peu coûteux (pain, pâtes, riz, pommes de terre) au détriment des aliments protéiques et des fruits ou légumes frais. En outre, les prix pratiqués dans les commerces de proximité, où vont plus volontiers les personnes âgées, limitent encore le pouvoir d'achat sur certains produits.

Il n'y a aucune raison d'imposer des régimes stricts, des interdits alimentaires ou un menu fade, sans sel, à une personne âgée. Les médicaments permettent de lutter efficacement contre les problèmes de tension ou de cholestérol, alors qu'aucun traitement n'est actif contre l'ennui de manger chaque jour une cuisine sans intérêt. Le bénéfice des régimes sans sel ou sans graisses sur la durée de vie est rarement supérieur aux inconvénients sur la qualité de vie.

Manger doit rester un acte de plaisir et de convivialité à tout âge, même et surtout après 80 ans. En institution, il vaut cent fois mieux partager son repas à la salle à manger que de le prendre seul dans sa chambre. À la maison, la présence d'une aide-ménagère ou d'un bénévole associatif peut compenser l'absence de la famille et des amis.

Du fait du vieillissement digestif, même chez les seniors bien portants, il est parfois préférable de multiplier les petits repas dans la journée pour éviter les déjeuners ou dîners trop lourds à digérer. On prendra ainsi une collation en milieu de matinée et d'après-midi.

La malnutrition globale, qui porte à la fois sur le niveau calorique et sur l'apport en protéines, est plus fréquente avec l'âge, notamment en cas de solitude, de faibles revenus, de difficultés à se déplacer... Cette malnutrition induit une perte de poids progressive, qui débute par une fonte des tissus gras, suivie par une fonte des tissus musculaires limitant encore les capacités physiques. Les os se fragilisent. Le corps commence à tourner au ralenti, multipliant les petites économies d'énergie par une réduction des gestes et des activités.

Le calcium.
Ce minéral étant moins bien absorbé par l'intestin, l'apport doit être plus élevé que chez l'adulte (autour de 2 grammes par jour). Une carence en calcium entraîne une fragilité osseuse (ostéoporose) et favorise les fractures à la moindre chute.

Le fer.
Les carences en fer sont fréquentes, car l'absorption de ce minéral diminue avec l'âge et, de surcroît, les personnes âgées ont tendance à consommer moins de viande rouge. Ces carences induisent une anémie qui se manifeste par une pâleur, un essoufflement à l'effort, un pouls rapide, une sécheresse des lèvres.

La vitamine A.
La carence est responsable d'une sécheresse de la cornée, de conjonctivites, d'une mauvaise vision nocturne, d'une sécheresse et d'une rugosité de la peau.

La vitamine B.
Accentué par la consommation d'alcool, le déficit en cette vitamine donne des jambes lourdes et raides, des douleurs le long des nerfs, des troubles du caractère. Les fortes carences provoquent des polynévrites et des œdèmes des jambes.

Les vitamines B2 et B6.
Leur carence est surtout responsable de dermite séborrhéique du visage et du cuir che- velu, de lèvres sèches et croûteuses ou fissurées (chéilite, perlèche), de grosse langue lisse et dépapillée (perte des papilles).

La vitamine B12.
La carence est à l'origine de l'anémie dite de Biermer, laquelle est assez fréquente chez la personne âgée.

La vitamine C.
Un apport insuffisant favorise les douleurs articulaires, un saignement des gencives et un déchaussement des dents, l'apparition de bleus sous la peau.

La vitamine D.
La carence en vitamine D peut générer une ostéomalacie (os mous) avec des déformations du thorax, des jambes arquées, des tassements vertébraux.

L'acide folique.
La carence provoque une inflammation de la langue, une diarrhée chronique, une anémie.

Les fibres végétales.
Leur déficit est un facteur aggravant de la constipation, déjà fréquente chez la personne âgée.

La prévention des carences repose sur la diversification de l'alimentation et la mise en place, si nécessaire, de mesures médicales ou sociales : livraison de repas à domicile, aide-ménagère, repas pris en commun. Le traitement des carences fait appel aux médicaments de supplémentation, prescrits par le médecin au cas par cas.

Les suppléments vitaminiques sont inutiles tant que le senior a une vie et une alimentation normales, une activité physique et une exposition au soleil suffisantes. Quand les habitudes changent, il est utile de poser la question de ces suppléments au médecin.

Urée et protéines
Si le taux d'urée est un peu élevé, il faut non pas diminuer la ration en protéines, mais plutôt augmenter l'apport en eau pour mieux éliminer les déchets. En diminuant l'apport protéique, on risque de provoquer une perte d'appétit et des carences multiples.

La canicule exceptionnelle de l'été 2003 a dramatiquement démontré l'importance de la boisson dans la santé, notamment chez les personnes âgées. Un principe doit cependant être respecté toute l'année : il ne faut pas attendre d'avoir soif pour boire, et cela quelle que soit la température ambiante.
Une assiette de soupe se consomme très facilement et fait souvent partie des habitudes alimentaires. Cela peut représenter environ 200 ml d'eau, le petit déjeuner et le goûter sont aussi deux bonnes occasions de boire un bol de lait ou de thé, plutôt qu'une tasse de café serré. Enfin, de nombreux fruits, surtout les oranges, contiennent beaucoup d'eau.

Il est indispensable de maintenir le volume de boisson autour de 1,5 litre par jour si la température est froide ou tempérée, et près du double par forte chaleur. Pour y parvenir, diversifiez au maximum vos boissons : pensez aux eaux aromatisées - elles ont l'avantage d'être sans sucre -, au thé glacé à la menthe et aux tisanes (vous pouvez en préparer 1 litre, et le mettre dans une bouteille au réfrigérateur). Des jus de fruits (sans sucre de préférence), un verre de bière sans alcool, un verre de vin par repas sont souvent plus faciles à boire que la monotone eau de source inodore et sans saveur. Ne vous forcez pas à boire une grande quantité à chaque fois, buvez plutôt des petites gorgées régulièrement.
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Re: Urgent, c'est le tournant de ma vie

Message par Dubreuil »

HOPITAL DE JOUR

L'hôpital de jour a pour mission d'accueillir des patients dont les troubles psychiques ne sont pas encore suffisamment stabilisés pour permettre un retour à domicile sans accompagnement. Il propose deux types de prises en charge : Réhabilitation psycho-sociale. Personnalités en souffrance.

ATELIER DU JEU DE ROLE DE MORENO
La thérapie de groupe du Jeu de rôle de Moréno, aussi appelé Psychodrame de Moréno ( psycho, venant de psychologie, et drame venant de théâtre ) utilise la parole et les associations de pensées, les rêves, les tensions du participant, pour jouer avec le temps passé, présent, avenir, dans le but de l’aider à comprendre et gérer ses conflits professionnels, affectifs ou familiaux.
La personne et le reste du groupe exprime et se libère de tensions affectives plus ou moins fortes à des fins de prise de conscience de soi et d’évolution personnelle et relationnelle.
Le psychodrame, ou jeu de mise en scène à but psychothérapique
Dans son sens le plus général, le psychodrame est un travail en groupe où sont improvisés les rôles et les dialogues. Il permet de lever certains blocages, de dédramatiser des situations traumatisantes ou d'aborder un passage difficile.

EXEMPLES DES ACTIVITÉS EN HÔPITAL DE JOUR

Atelier manuel
IL vous sera proposé diverses activités : cartonnage, dessin sur sable, couture, perles, écriture, etc...

Art-thérapie
Une psychologue art-thérapeute, animera ce groupe d’expression utilisant des divers supports artistiques (peinture, écriture, collage, etc.) afin d’exprimer les émotions, souvenirs, mais aussi de poser des mots sur des maux et des couleurs sur des douleurs.

Balnéothérapie, Fitness
Des éducateurs sportifs vous proposeront des activités sportives en balnéothérapie et également dans la salle de fitness.

Autres activités thérapeutiques
Divers jeux de société d'une grande variété et à but thérapeutique seront proposés lors de séances avec les infirmier(e)s.
Lecture des actualités qui permet de suivre l’actualité tout en s’ouvrant à la découverte de nombreux autres thèmes.

Chant, Théâtre de Moréno : le but n’est pas la perfection artistique mais l’utilisation de l’art comme moyen d’expression, de valorisation personnelle, d’affirmation de soi et d’épanouissement personnel.

« Gazette » : consiste à faire réaliser un journal aux patients de l’hôpital de jour tous les deux mois.

Groupe « nutrition» : cet atelier vous permettra d’obtenir un meilleur équilibre alimentaire au quotidien.
Relaxation : des séances de relaxation sont animées par une infirmière.

Jardin thérapeutique : le jardinage stimule les sens, les émotions, la mémoire, etc.

Expression corporelle : développe l'attitude ludique en favorisant le lâcher prise, la confiance en soi et l'ouverture vers l'autre.

Éducation médico-sociale : donne des bases, des règles et des outils, sur différents thèmes médico-sociaux.
Activités animées par les psychologues
Ateliers mémoire : proposent au patient des exercices sur la mémoire.

Groupe de paroles : l'objectif de ces groupes est de permettre aux patients de partager leurs difficultés, leurs réussites, leurs expériences, de s'identifier à celles des autres et de réfléchir

Repas thérapeutique
Chaque repas fait l’objet d’un soin particulier de la part de notre chef-cuisinier et de toute leur équipe.
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Re: Urgent, c'est le tournant de ma vie

Message par Dubreuil »

Education sensuelle
Message par enora » 03 mai 2014, 07:08

Un site très bien fait à ce propos
http://www.educationsensuelle.com/
Nous sommes une association non subventionnée gérée bénévolement dont l'objectif est d'apporter des informations et une vision de la sexualité différente de ce que véhiculent actuellement les médias.
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Re: Urgent, c'est le tournant de ma vie

Message par Dubreuil »

JE SOUHAITE ECRIRE EN PRIVE SUR CE FORUM

Ce forum est justement proposé pour parler du mal-être de l'internaute. Il écrit sous un faux nom qui lui permet l'anonymat, il ne dit pas les vrais noms de son entourage, il peut changer les lieux, les dates, etc...Et il peut ainsi recevoir diverses réponses pour l'aider à réfléchir sans que quiconque sache qui il est.
Le témoignage d'une personne est lu par d'autres personnes toutes aussi anonymes pour permettre à certain(e)s de peut-être s'y reconnaître.
C'est aussi pour cela qu'en qualité de professionnelle je ne réponds pas en privé, parce que mes réponses peuvent également aider ceux et celles qui lisent mes réponses, et vivent les mêmes traumatismes, en n'osent pas non plus en parler en public.
Avant d'écrire votre message, vous pouvez lire mon post : "URGENT C'EST LE TOURNANT DE MA VIE". Dedans il y a déjà plein de réponses que j'ai données aux internautes.
Je suis à votre disposition POUR VOUS LIRE ET VOUS REPONDRE si vous le souhaitez.
Courage.
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Re: Urgent, c'est le tournant de ma vie

Message par Dubreuil »

SI VOUS AVEZ DES IDEES SUICIDAIRES
Message par kesiaa » 21 mai 2022,

Un site qui vous propose une écoute si vous avez des idées suicidaires : https://ilya1espoir.com/
Vous trouverez d'autres numéros d'urgence en cliquant sur ce lien viewtopic.php?f=267&t=333
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Re: Urgent, c'est le tournant de ma vie

Message par Dubreuil »

L'ORIENTATION SEXUELLE
Message par comment » 04 juin 2022, 15:52

Il faut que tu saches qu'il est possible d'être hétérosexuel sans l'être à 100%.
Est-ce que tu sais qu'il existe un truc que l'on appelle échelle de Kinsey ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Ki ... _de_Kinsey
Il y a aussi la grille d'orientation sexuelle de Klein. https://fr.wikipedia.org/wiki/Grille_d% ... e_de_Klein
Il faut aussi pense à distinguer l'orientation sexuelle et l'orientation romantique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Orientati ... romantique
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