Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

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Lenda16
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Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Lenda16 »

Bonsoir tout le monde,
Je souffre de derealisation depuis 10 ans avec des périodes de mieux et de moin bien. Suite à une séparation douloureuse, à un stress intense, une fatigue à gérer 3 enfants cela a empirer depuis 5 mois. Je souffre d'une derelation telle que j'ai peur de devenir folle, de rester comme ça toute ma vie d'être skyzo et j'en passe. Tout me passe par la tête. Voici mes symptômes qui ne font qu'empirer chaque jour : vertiges, nausées, angoisse tachycardie migraine faiblesse du corps côté gauche et depuis quelques temps j'ai des problèmes d'élocution et d'énormes problèmes de concentration... Ce matin j'ai écris une lettre je n'arrivais pas à trouver mes mots... J'ai suivi une psychothérapie qui m'a coûte 500e car je ne voulais pas prendre de médicament et mon cas à empirer au fil des séances. Qui est dans mon cas ? Je pense faire aussi une dépression. Qui a des problèmes d'élocution ou de faiblesse d'un côté du corps ??.. J'ai très peur que ce soit neurologique mais j'ai fais un irm il y a deux mois qui est négatif rien d'anormal. Merci de votre aide, de vos conseil et de vos témoignages...
Dubreuil
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Dubreuil »

A tout hasard, dans vos examens, avez-vous fait des recherches sur l'éventualité d'une sclérose en plaque ? Ne laissez rien au hasard, plus vite un diagnostic est posé, plus vite on peut juguler la maladie. Ou une autre.
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Lenda16
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Lenda16 »

Jai passé un irm qui est totalement normal
Lenda16
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Lenda16 »

J'ai expliqué tout ces symptômes au neurologue et pour lui ce n'est que de l'anxiété mais j'ai du mal à le croire
Dubreuil
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Dubreuil »

Alors, c'est que vous présentez sans doute une hystérie de conversion. ( Troubles chroniques de conversion )
L'hystérie est une névrose, une affection psychiatrique qui se caractérise par des troubles du comportement, où le conflit psychique se manifeste par des signes physiques, des phobies et des crises émotionnelles.
L'hystérie de conversion en est une variété. Elle survient suite à des bouleversements psychoaffectifs, ce qui semble bien être votre cas.
" La conversion" est le fait de transformer un conflit psychique en symptômes physiques, comme :
une boule dans la gorge
des troubles visuels
des palpitations
des douleurs diffuses ou erratiques
des troubles de la sensibilité voire des paralysies
des troubles sensoriels
une immobilisation du corps ( sidération, tétanie )
une perte plus ou moins totale de la faculté de marcher
une faiblesse musculaire totale, ou sur une partie du corps
Parallèlement, des symptômes ponctuels et très bruyants peuvent survenir, comme des crises ressemblant à des crises d'épilepsie, des évanouissements ou malaises, des attaques de panique.
C'est un état chronique qui peut s'améliorer, voire disparaitre quand on fait une psychanalyse ( inconscient ) ou encore, en suivant une psychothérapie analytique.
Vous pouvez tout d'abord commencer par des séances de EMDR, qui vous aideront à erradiquer progressivement votre souffrance psychologique ( traumatismes )
Ce n'est pas grave en soi, c'est un comportement psychique que le corps prend en charge. Mais s'il n'est pas soigné, il continuera, avec des périodes plus ou moins aigues tout au long de votre vie.
Courage, ne laissez pas trainer, prenez soin de vous...
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Dubreuil
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Dubreuil »

UN PEU D'HYSTERIE
( généralités)

La névrose hystérique se caractérise par des troubles somatiques transitoires ou durables, sans lésion organique. On retrouve également des symptômes psychiques intermittents. Les premiers symptômes de l’hystérie débuteraient à l’adolescence, cette pathologie étant assez rare chez l’enfant.
Selon FREUD, l’hystérique aurait subie une « séduction » de la part d’un adulte, le plus souvent le père. Cette séduction causerait un traumatisme pendant l’enfance qui ne prendrait effet qu’après coup, suite à un évènement mineur ; il y aurait alors déclaration de la symptomatologie.
Autrement dit, la névrose hystérique traduirait la résolution pathologique d’une sexualité conflictuelle.
La névrose hystérique est également appelée « névrose de conversion », le symptôme le plus prépondérant étant, pour le courant psychanalytique, les troubles de conversion faisant suite à la mise en place du mécanisme de défense de la conversion (la représentation inacceptable génératrice d’angoisse est transposée à une perturbation physique comportant une signification symbolique inconsciente).

Les symptômes de conversion
Les symptômes somatiques, ( maladies psychosomatiques, troubles divers sans atteinte organique ) sont réversibles même s’ils se montrent rebelles ou durables aux soins.

Troubles de la motricité et du tonus
Crises pseudo-convulsives, généralement spectaculaires: elles ont été décrites initialement par Charcot avec des douleurs dans le ventre, des douleurs ovariennes, des troubles visuels, une perte de connaissance, une raideur du corps. C’est ce que l’on nomme « la grande crise hystérique » ; elles sont aujourd’hui très rares, mais plus présentent dans les sociétés traditionnelles. De nos jours, ces crises sont plus dégradées, l’agitation étant plus discrète, comprenant des crises de larmes, des tremblements de plusieurs membres, de la tête, des hoquets répétés, des toux spasmodiques, une sensation de boule à la gorge (dysphagie), une somnolence diurne, un pseudo-coma (pouvant durer plusieurs minutes à plusieurs jours), de l’asthénie, de l’astasie abasique (incoordination des membres inférieurs et supérieurs), une « crampe de l’écrivain » (plus de sensation dans la main avec laquelle on écrit), une pseudo-paralysie hystérique qui peut affecter n’importe quel membre (souvent le membre paralysé est significatif), une aphonie qui peut aller jusqu’au mutisme, des spasmes des sphincters.

Les troubles sensitifs
Anesthésie, frigidité chez la femme hystérique, des maux de ventre, les organes des sens peuvent être le siège de manifestations de conversion comme la pseudo-surdité, la pseudo-cécité, des troubles neurovégétatifs, des symptômes gastro-intestinaux, des symptômes gynécologiques (aménorrhée : absence des règles, règles irrégulières, abondantes…)

Les symptômes psychiques intermittents
Il existe quatre grands symptômes :
L’amnésie psychogène : incapacité soudaine à évoquer des souvenirs personnels importants. Il n’est pas nécessaire que l’évènement oublié soit traumatique, le caractère conflictuel de sa signification affective peut suffire pour le faire tomber sous le coup de la censure.
Les fugues psychogènes : les personnes partent du domicile, du travail avec l’impossibilité de se souvenir du passé. Il y a parfois, mais très rarement, l’adoption d’une autre identité.
Le somnambulisme : il serait du au clivage de la conscience. Les sujets vont reproduire des scènes dramatiques imaginaires ou des évènements vécus avec une amnésie totale de l’épisode au réveil.
Etats crépusculaires et troubles dissociatifs atypiques : perte de la réalité, état de transe.

Contexte clinique des symptômes
Les hystériques présentent une grande sensibilité à la suggestion. Cette suggestibilité peut avoir un pouvoir de renforcement dans la psychothérapie mais le désir de plaire à l’interlocuteur peut par contre contribuer à la persistance du symptôme. Les symptômes sont donc labiles et fluctuants ; ils apparaissent et disparaissent au gré des contrariétés de la personne.
L’hystérique est dans un mode relationnel de séduction, notamment avec les soignants, avec une érotisation des relations interpersonnelles mais un évitement de la sexualité.
L’hystérique va présenter une plasticité à l’égard des manifestions psychopathologiques ; elle va reproduire ce qu’elle a pu voir chez quelqu’un d’autre ; il s’agit d’une identification inconsciente à la pathologie de l’autre.

Les bénéfices secondaires de cette pathologie sont importants. Ces troubles vont entrainer un grand intérêt de l’entourage pour le patient. Il est préconiser d’isoler la patient hystérique quand celle-ci est en crise. En effet, l’attention d’autrui va contribuer à l’augmentation de ces scènes spectaculaires.

Ces troubles ont une valeur de refuge : la conversion est un mécanisme de défense qui comporte un bénéfice primaire ; refouler la représentation mentale inacceptable et effacer la charge affective trop douloureuse pour le moi conscient.

Hystérie et théorie de la conversion et du refoulement
FREUD se base sur la méthode cathartique pour créer le terme d’hystérie de conversion ; il s’agit de la conversion d’un affect lié à une expérience traumatique. L’affect (colère, haine, humiliation, douleur) n’a pu être exprimé au moment de l’expérience traumatique et il est converti en une innervation corporelle (trouble de conversion). La représentation liée à l’évènement est refoulée, chassée de la conscience.
Refoulement : mécanisme de défense qui permet de garder hors de la conscience l’affect pénible.

Hystérie et théorie de la séduction sexuelle
L’enfant, d’un point de vue économique est incapable d’intégrer l’expérience traumatisante. Il y a un trop plein d’excitation (peur…). FREUD dit que l’enfant ne refoule pas cet évènement mais qu’il n’a pas d’importance pour lui ; l’enfant ne réagit pas tout de suite.
Rapidement dans ses travaux, FREUD met l’accent sur la nature sexuelle de la scène traumatique déclenchante. Il s’agit d’une séduction sexuelle subie dans l’enfance qui n’a d’effet pathogène que dans un deuxième temps (théorie de l’après coup), lors d’un deuxième évènement traumatique venant rappeler par des éléments associatifs le premier. Ce deuxième traumatisme n’est pas nécessairement sexuel mais va faire ressortir toutes les excitations traumatiques qui n’ont pas été élaborées et liquidées.
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abi51
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par abi51 »

voici un lien utile qui pourrait vous aider : http://neurosymptomes.moonfruit.com/

D'autre part pour information la description de l'hystérie que vous faîtes est fausse, complètement erronée et n'a plus cours à ce siècle. Bonjour les dégâts en thérapie.
On parle aujourd'hui de CNEP : Crises non épileptiques psychogènes. C'est une maladie réelle, involontaire et NON SIMULÉE. On pense qu'elle est en partie la résultante des facteurs psychiques et neurobiologique entraînants des troubles moteurs.

Elle est méconnue voire inconnue des soignants qui ont souvent un discours péjoratif et erroné sur le sujet. Charcot & Freud ont dit beaucoup de conneries à ce sujet et malheureusement c'est celles que certains continuent de perpétuer.

Voici quelques liens de Neurologues et psychiatres travaillant sur le sujet.

https://portal.klewel.com/watch/webcast ... LKQ/talk/3

http://neurosymptomes.moonfruit.com/
https://www.lareponsedupsy.info/ressour ... aliste.pdf
Dubreuil
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Dubreuil »

[" D'autre part pour information la description de l'hystérie que vous faîtes est fausse, complètement erronée et n'a plus cours à ce siècle. Bonjour les dégâts en thérapie."
*** Oups ! Je vais de ce pas renvoyer tous mes patients pour vous consulter, et leur présenter mes excuses pour tout l'engagement qu'ils ont respecté à souhaiter gérer leur problématique psychique au delà des " querelles de chapelle ". Mais pas sûr que vous teniez le choc !

Je n'avais pas " encore " parlé des neurosciences simplement par respect pour la compréhension du texte.
L'impatience et la suffisance qui semblent vous caractériser dans le domaine du " savoir ", ne peut pas faire bon ménage avec la nécessité qu'à la personne en difficulté de bien comprendre et réfléchir calmement, et sereinement, à toutes les données des propositions et " découvertes " faites dans le domaine qui l'interesse.
Dans mes réponses, je me place toujours en premier lieu dans le " domaine émotionnel ". Je propose, j'argumente pour donner à l'internaute une " position ",une palette d'informations ( et d'expérience ) où il pourra puiser à sa guise le moment venu.
Mais c'est bien connu, dans l'adolescence ( votre cas ? ) qui devient parfois un état pathologique, la suffisance et l'impatience, commencent d'abord par démolir ce que les parents ont apporté, pour ensuite ( souvent heureusement ) apprendre au jeune, et moins jeune adulte (! ) à faire la part des choses et élaborer ses propres réflexions sur sa vie et son propre questionnement !

" On parle aujourd'hui de CNEP : Crises non épileptiques psychogènes. C'est une maladie réelle, involontaire et NON SIMULÉE. On pense qu'elle est en partie la résultante des facteurs psychiques et neurobiologique entraînants des troubles moteurs. "
***Merci de votre éclairage révolutionnaire !
Vous mélangez subitement hystérie et épilepsie (? ) alors que cette information est sans lien avec ce que j'ai tenté d'expliquer dans mon post précédent.
Il me semble que vous souhaitiez parler de la description de " la nouvelle entité clinique " , la CPNE : crise psychogène non épileptique, se définissant comme une crise paroxystique, évoquant en effet les crises épileptiques, l'hystérie se retrouvant confondue actuellement en troubles associatifs et somatoformes.
La crise psychogène non épileptique ( CPNE ) se présente comme le résultat d'une hyperexcitabilité neuronale, non épileptique, avec un électroencéphalogramme normal.

J'ai bien peur que votre ardeur à vous rendre interessant sur ce site ait quelque peu altéré votre esprit critique.
Croyez-vous que la majorité des psys ( cliniciens, analystes ) ignorent les facteurs psychiques ( donc psychologiques ) et neurobiologiques, de l'hystérie ? C'était bien pour cela que je commençais prosaïquement à proposer une recherche toute autre.
De plus, lisant ( plus bas ) que mes études m'ont portée à la fois vers les troubles psychiques et les troubles psychomoteurs, vous auriez du supputer que je pouvais " peut-être partager plus ou moins " votre avis - intellectuel - sur le sujet !
Je n'ai fait que donner des informations succintes. J'attendais la réponse de Lenda 16 pour ensuite, en fonction de SES ressentis ( et non des vôtres ) peaufiner ma réponse en lui livrant alors d'autres informations.

Votre noble courroux dénote que vous n'êtes pas au fait des " théories de Freud " ( et Lacan ) et que par écran interposé vous souhaitez mener à bien une petite guéguerre sur justement des théories, et non des pratiques psychologiques;
Je reconnais bien là, les débats stériles de certains individus titillés dans leur peur de l'inconscient, et prêts à en découdre pour démontrer que leurs semblables n'ont pas besoin d'avoir LEUR PROPRE INCONSCIENT pour " guérir " de leurs symptômes. ( et non de leur maladie ! )

Je ne vois pas en quoi, par exemple, la psychanalyse pourrait être une hérésie pour les neurosciences. L'un ne va pas sans l'autre dans une globalité de l'être.
C'est vrai que l'on ne parle très bien que de ce que l'on ne connait pas. Ensuite, plus on apprend, et plus on devient humble ! Comme il est dit par Jean Gabin " on ne sait jamais "..
Humble, et respectueux, du moins tolérant des théories du passé, qui sont justement faites pour être approfondies.

" Charcot & Freud ont dit beaucoup de conneries à ce sujet et malheureusement c'est celles que certains continuent de perpétuer. "
*** Zut, quel dommage que vous n'ayez pas pu les en informer à temps !
Freud s'est justement démarqué de Charcot parce qu'il ne partageait pas sa vision sur l'hystérie et l'hypnose ( révisez, révisez… )
Enfin, vous avez au moins réussi à placer votre animosité !
Et ce n'est pas avec Charcot, mais avec BREUER que Freud avait considéré la crise hystérique comme le clivage du contenu de la conscience, témoignant ainsi le retour d'un souvenir traumatique oublié !
Dans les neurosciences, cette interrogation refait justement surface aujourd'hui par la description de cette nouvelle entité clinique : la CPNE !
Quand à Freud, il a bien fallu que son intelligence et son esprit de déduction soient tout d'abord reconnus par la psychiatrie, pour permettre ensuite l'avancement de la connaissance de ce qui se passe dans notre cerveau humain !
Certes, ce n'est pas avec vos propos actuels que vous l'égalerez dans son génie.

" Elle est méconnue voire inconnue des soignants qui ont souvent un discours péjoratif et erroné sur le sujet. '
*** Les soignants soignent. Ils ne pérorent pas.
Les symptômes ne sont pas importants chez un analyste, ils ne sont que la conséquence de la souffrance qu'ils procurent au patient, pour l'aider ( par lui-même ) à la comprendre et la dépasser.
Croyez-vous que les psys ne se document pas ,ne font pas de séminaires, des recherches pour faire avancer leur profession ?

Je note également ( avec effarement ) que vous possédez la science infuse ! Puisque vous pensez que la recherche ne peut supporter aucun tatonnement ", aucune erreur, aucune " connerie " !!
En suivant votre raisonnement, on doit faire l'économie de la recherche, pour trouver de suite la bonne réponse.
Etes-vous bien sûr qu'en ce moment, neurologues et psychiatres ne sont pas entrain de faire d'énormes bourdes ? Courez vite… courez !

*** Relisez aussi ces liens, vos propres liens, ce sont ceux que vous donnez pour étayer vos élucubrations, puisqu'ils ne parlent absolument pas de l'hystérie, mais de l'EPILEPSIE !
Vous êtes tellement pressé de " casser du psy ", que vous en devenez ridicule
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Dubreuil
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Dubreuil »

lenda 16, comment allez-vous ?
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Shf
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Re: Je ne sais pas ce que j'ai aidez moi

Message par Shf »

Depuis un an Mon enfant fait des crises cnep vu specialiste maigri plus rien d Elle inerte vis ca 24.24 h je ne sors plus travailles plus nuit jour surveillance de tout tel sommeil repas delirs...la manipulation me detruit psy.psecialiste m y en placent ppir elle je crois pas a ces efforts fais semblant mais moi
Je me sens.mal
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