Cher Toi,
Non, je n'ai pas le droit de vouloir le pire pour Toi. Excuse-moi. Je m'interroge sur qu'elle a été ta vie avant, sur le comment tu étais perçu par les autres. Les enfants que t'ont-ils fait, ou tes Parents ?
Je ne dois pas Te blâmer. Non.
Ecoute, peut-être serai-je mise en cause, c'est vrai si Je n'avais écouté mes ressentiments. Rien de Tout cela n'aurait été dévoilé. Tu "as" le droit d'exister, et ce n'est pas à "moi", j'ai commis aussi des fautes, à "moi" de t'en vouloir. Dans ce genre d'affaire le temps est mis à rude épreuve. Si tu savais que je me suis sentie réduite et sale.
Parfois, je me demande si tu penses encore à moi, si tu m'en veux de ne pas avoir réussi. Si tu savais comme je pense à toi.
Excuse-moi d'avoir parlé à cet autre, sans lui, tu n'aurais jamais été nommé. Tu ne semblais pas si méchant, qu'est ce que la castration chez un Humain. Excuse-moi, tu as du souffrir avant, avant moi, pour commettre ces gestes déplacés, qui t'a éduqué, tu souffres à cause de moi, ou à cause de ton Passé. Je reviendrai vers Toi, après.
Toi
Re: Toi
Tu as éjaculé.
H'ôte(s)----Toi. Haute personne, qui a éjaculé en dedans de mon moi. Mon abri. Toi-------------
Mon corps je ne le perçois plus. Dans le lavage, je ne suis plus moi. L'eau coule, mouille. Qu'est-ce qu'elle mouille ? Quelqu'un. Dans ce quel....... un !
Un viol. J'ai joué la pute avec mon hôte plusieurs fois. ô Toi.
Humiliation psy et physique.
Ces toits, abritent, biens rangés. Beaucoup de choses à cacher, beaucoup trop.................
H'ôte(s)----Toi. Haute personne, qui a éjaculé en dedans de mon moi. Mon abri. Toi-------------
Mon corps je ne le perçois plus. Dans le lavage, je ne suis plus moi. L'eau coule, mouille. Qu'est-ce qu'elle mouille ? Quelqu'un. Dans ce quel....... un !
Un viol. J'ai joué la pute avec mon hôte plusieurs fois. ô Toi.
Humiliation psy et physique.
Ces toits, abritent, biens rangés. Beaucoup de choses à cacher, beaucoup trop.................
Re: Toi
J'ai mis de côté les sentiments qu'un individu peut avoir pour un autre.
Bien des gens arrivent au fil du temps à rencontrer quelqu'un et à se lier.
Je ne sais pas comment vous faites, pour sentir l'eau qui ruisselle sous le jet de la douche, si vous appréhendez les contacts humains.. si .....
Ce corps si étranger, si intime, si précieux. Si.....................
Si par les grandes chaleurs vous arrivez à dévoiler un peu de votre corps.
Comment repérer les prédateurs sexuels, comment vous faites dans les lieux étroits, bondés.
Pourquoi Dieu a érigé l'homme comme dominant. Une arme destructrice, un sexe. Une arme efficace, qui réduit au silence.
Ce corps si désirable, impur, si...........................
Toi, l'HOMME, tu auras ta place dans le cimetière parmi toutes les âmes du village. Quoi que tu es fait. Dégoûtant !
Bien des gens arrivent au fil du temps à rencontrer quelqu'un et à se lier.
Je ne sais pas comment vous faites, pour sentir l'eau qui ruisselle sous le jet de la douche, si vous appréhendez les contacts humains.. si .....
Ce corps si étranger, si intime, si précieux. Si.....................
Si par les grandes chaleurs vous arrivez à dévoiler un peu de votre corps.
Comment repérer les prédateurs sexuels, comment vous faites dans les lieux étroits, bondés.
Pourquoi Dieu a érigé l'homme comme dominant. Une arme destructrice, un sexe. Une arme efficace, qui réduit au silence.
Ce corps si désirable, impur, si...........................
Toi, l'HOMME, tu auras ta place dans le cimetière parmi toutes les âmes du village. Quoi que tu es fait. Dégoûtant !
Re: Toi
Toi...... il y a deux jours mon alarme s'est activée. Surprise, oui.
Ce qui m'a coupé l'appétit, et toute envie momentanément et ce, pour les heures suivantes.
Dans ces moments là, j'ai envie de m'hyperventiler. T'y prend plaisir, comme Tes viols tu sais de quoi je parle ?, les céphalées sont horribles, tout revers de médaille. En fin de compte, tu serais déchu de toute responsabilité.
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Ce qui m'a coupé l'appétit, et toute envie momentanément et ce, pour les heures suivantes.
Dans ces moments là, j'ai envie de m'hyperventiler. T'y prend plaisir, comme Tes viols tu sais de quoi je parle ?, les céphalées sont horribles, tout revers de médaille. En fin de compte, tu serais déchu de toute responsabilité.
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Re: Toi
il y a un blocage, ce blocage paralyse toute ma personne.
Je pense aux femmes qui portent un enfant et dont le ventre ne se développe.
Lorsque mon avocat a appelé, tout mon corps s'est peu à peu figé, ma voix était normale. Je suis restée quelques heures dans un espèce de brouillard givrant.
incapable d'exécuter une tâche. Je n'ai naturellement pas envie d'un plaisir. Alors là...
Etre comme dans un déni du corps, d'existence. Ce corps ne trouve pas d'utilité. Lorsque celui-ci est souffreteux, uniquement, ou en manque.
Je pense aux femmes qui portent un enfant et dont le ventre ne se développe.
Lorsque mon avocat a appelé, tout mon corps s'est peu à peu figé, ma voix était normale. Je suis restée quelques heures dans un espèce de brouillard givrant.
incapable d'exécuter une tâche. Je n'ai naturellement pas envie d'un plaisir. Alors là...
Etre comme dans un déni du corps, d'existence. Ce corps ne trouve pas d'utilité. Lorsque celui-ci est souffreteux, uniquement, ou en manque.
Re: Toi
Je me revois en train de devoir mettre son sexe dans ma bouche.
Il appuyait sur ma tête
L'odeur était épouvantable de son truc. Il empestait la fumée.
Il changeait régulièrement de capote.
Il m'a toujours prise par l'avant/J'étais ralentie. Je pense qu'il savait pour les autres agressions passées.
Lorsque je suis rentrée, j'ai mis un certain temps à retrouver le goût, la saveur des aliments.
Cette après midi ne devait pas se dérouler comme cela. j'ai eu confiance.
Je ne comprends pas comment j'ai pu lâcher malgrè mes refus, mon vetement d'en bas. Comment il a pu avec force me l'enlever, et me pénétrer.
Comment j'ai pu, y retourner après plusieurs fois. J'ai été sa pute, en vrai.
Cette image m'est revenue depuis Xjours, elle tourne en boucle. Comme un bovin en quelque sorte qui rumine.
Je survis en me mettant constamment dans des situations cocasses.
Ce que je ne digère pas, c'est qu'il y
a eu refus, et que la justice a déclaré un non lieu. Ce refus a été clairement dessiné.
Mais comme j'y suis retournée après cela a dû changer la donne.
Il y a trois ans j'ai été à nouveau je reprends mon souffle entre temps, c'est, ça me tue mon énergie de causer de ça.je bafouille un peu. Les images, visions d'agresseurs hommes défilent et se confondent en un récit sans fin.
Ce refus n'a pas été clairement entendu, et il y a enquête.
Ses, tous ses sexes d'hommes, le corps, la réprésentation que je peux donner au mien, aux leurs, le toucher, les sensations..
On peut, pourrait rire de tout.
A moins d'en être passé par là.
Je n'arrive pas à me procurer du plaisir dans les choses que je fais. De quelle manière se comporter ? Le plaisir est égale au danger, à l'atteinte, entrave à quelque chose, quelqu'un.
Ce dernier, cette dernière mésaventure, a été un electro choc, elle s'est passée dans un contexte public; lieu de medecine.
D'ou mes réelles peurs de consultations. Même si on essaye de me rassurer.
J'écoute les propositions que vous avez pu me faire sur les différentes thérapies etc. Cela reste un lieu clos, un lieu potentiel de menace.
Je suis un animal apeuré, effrayé, il n'y a nul endroit ou je me sens en réalité en sécurité. Je sais avec qui je me sens bien, ce n'est pas un lieu aussi.
Une sorte de claustrophobie. Lorsque vous êtes un peu trop près de moi, je réagis trop. J'ai ressenti ces choses lorsque j'ai ouvert la plaie pour la première fois. On m'a dit plusieurs fois que je souffrais de symptômes traumatiques.
Cela m'anéantis en deux.
A l'école, j'ai subi une agression sexuelle.
Je n'ai guère d'avenir glorieux. Ma vision du maintenant.
Respectez juste..
Il appuyait sur ma tête
L'odeur était épouvantable de son truc. Il empestait la fumée.
Il changeait régulièrement de capote.
Il m'a toujours prise par l'avant/J'étais ralentie. Je pense qu'il savait pour les autres agressions passées.
Lorsque je suis rentrée, j'ai mis un certain temps à retrouver le goût, la saveur des aliments.
Cette après midi ne devait pas se dérouler comme cela. j'ai eu confiance.
Je ne comprends pas comment j'ai pu lâcher malgrè mes refus, mon vetement d'en bas. Comment il a pu avec force me l'enlever, et me pénétrer.
Comment j'ai pu, y retourner après plusieurs fois. J'ai été sa pute, en vrai.
Cette image m'est revenue depuis Xjours, elle tourne en boucle. Comme un bovin en quelque sorte qui rumine.
Je survis en me mettant constamment dans des situations cocasses.
Ce que je ne digère pas, c'est qu'il y
a eu refus, et que la justice a déclaré un non lieu. Ce refus a été clairement dessiné.
Mais comme j'y suis retournée après cela a dû changer la donne.
Il y a trois ans j'ai été à nouveau je reprends mon souffle entre temps, c'est, ça me tue mon énergie de causer de ça.je bafouille un peu. Les images, visions d'agresseurs hommes défilent et se confondent en un récit sans fin.
Ce refus n'a pas été clairement entendu, et il y a enquête.
Ses, tous ses sexes d'hommes, le corps, la réprésentation que je peux donner au mien, aux leurs, le toucher, les sensations..
On peut, pourrait rire de tout.
A moins d'en être passé par là.
Je n'arrive pas à me procurer du plaisir dans les choses que je fais. De quelle manière se comporter ? Le plaisir est égale au danger, à l'atteinte, entrave à quelque chose, quelqu'un.
Ce dernier, cette dernière mésaventure, a été un electro choc, elle s'est passée dans un contexte public; lieu de medecine.
D'ou mes réelles peurs de consultations. Même si on essaye de me rassurer.
J'écoute les propositions que vous avez pu me faire sur les différentes thérapies etc. Cela reste un lieu clos, un lieu potentiel de menace.
Je suis un animal apeuré, effrayé, il n'y a nul endroit ou je me sens en réalité en sécurité. Je sais avec qui je me sens bien, ce n'est pas un lieu aussi.
Une sorte de claustrophobie. Lorsque vous êtes un peu trop près de moi, je réagis trop. J'ai ressenti ces choses lorsque j'ai ouvert la plaie pour la première fois. On m'a dit plusieurs fois que je souffrais de symptômes traumatiques.
Cela m'anéantis en deux.
A l'école, j'ai subi une agression sexuelle.
Je n'ai guère d'avenir glorieux. Ma vision du maintenant.
Respectez juste..
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