Mon baluchon
Re: Mon baluchon
Merci. Bonne année à vous Minijeune ! Que cette année soit remplie de déclics !
Re: Mon baluchon
Bonjour,
Je viens écrire après plusieurs jours de silence.
Je viens faire un tour sur le forum très souvent, mais je crois que j'avais besoin d'une pause au niveau de l'écriture.
Je viens parce que j'ai réussi à avoir un rendez-vous avec une psychologue. Je ne sais pas si c'est comme ça en Europe, mais ici, au Québec, c'est super difficile de trouver un psychologue disponible. Les listes d'attente sont complètes, il est presque impossible de trouver quelqu'un qui aura de la place dans son caseload avant les 3 prochains mois. Je me sentais découragée. J'ai reçu des nouvelles d'une femme psychologue et neuropsychologue, spécialisée en EMDR. La dernière fois que j'ai voulu faire du EMDR, je vomissais à toutes les fois. J'ai hâte de voir ce que ça fera demain. Je ne me sens pas comme en 2012, lorsque j'avais essayé d'en faire avec ma psychologue qui me suivait pour des symptômes anxiodépressifs. Je ne savais même pas à ce moment-là pourquoi j'avais si peur et ce qu'il se passait dans mon inconscient... À quel point c'était explosif.
Je viendrai vous en reparler après.
Sinon, aujourd'hui, c'était une grosse journée.
Au début du mois de janvier, je suis arrivée dans le bureau de mon psychiatre, la veille de mon retour au travail, avec un pot de pilules rempli, et un grand sentiment de désespoir qui me donnait des idées suicidaires très fortes. Je venais de passer un temps des fêtes très difficile. J'ai eu la covid, mais ensuite, le temps que j'aurais dû passer chez mon amie Cath a changé de plan... Ce qui était prévu, c'était que je reste à Sherbrooke jusqu'au 7 janvier... Mais mon amie avait dit oui à d'autres personnes qu'à moi, faisant en sorte que je devais me trouver un endroit où habiter en urgence, un peu pendant mes 10 jours d'isolement de covid. Je m'étais sentie rejetée, ça l'a activé mon TPL. J'étais aussi malheureuse de mon choix de poste au travail, n'aimant pas travailler avec la clientèle de la petite enfance 0-5 ans... Et j'étais maintenant en charge de la halte garderie et d'un projet de maison des jeunes virtuelle auquel je ne croyais plus. Habitant dans une maison avec un couple de personnes bizarres, aux frontières floues.
Catherine et Érik étaient très gentils. Je m'étaient sentie accueillie chez eux, peut-être trop...
Mais au bout de quelques jours, je m'étais sentie très infantilisée. Ils cuisinaient pour moi, ils guettaient, je n'avais pas de place pour mettre mes choses au frigo. Je partageais leur salle de bain, attenante à leur chambre. Ils prenaient leur douche la porte ouverte. Ça n'a pas pris de temps avant que je me sente dans un contexte inconfortable. C'est comme si j'étais une enfant... Mais il y avait une relation d'adulte à adulte aussi et j'ai senti une ouverture de leur part comme s'ils étaient un couple ouvert. Érik m'écrit encore souvent... Bref,tout ça m'a fait décompenser et ma psychiatre de l'interne a préféré me garder à l'hôpital le temps que je puisse réintégrer mon appartement pour le début du mois de février.
Ça fait deux semaines que je suis rentrée chez moi. J'ai maintenant une coloc, Laurie. Mais j'ai un grand 4 1/2 donc ça fait l'affaire. Elle a pris la deuxième chambre. Je suis restée en arrêt de travail, je le suis encore. Je ne sais pas à 100% pourquoi, je crois qu'il faudra que je me penche là-dessus pour comprendre, mais je n'avais pas du tout envie de retourner sur mon emploi. Peut-être parce que je n'aimais pas mes tâches et que j'avais honte d'être encore en arrêt, d'être encore à l'hôpital... Que je savais ce qu'il se disait sur moi. Qu'on trouvait que j'étais instable et pas fiable... Que je changeais d'idées sans arrêt... J'aurais pu demander de retourner sur mon ancien poste de coordonnatrice de la maison des jeunes, mais j'avais le sentiment d'avoir perdu la face.
Il y a une semaine, j'ai signifié mon intérêt à Marco, mon ancien directeur de la Maison de la Famille où j'ai travaillé avant d'aller au CRFM, juste avant la pandémie, pour un poste de coordonnatrice des services intrascolaires 6-12 ans. Après une première discussion téléphonique, il m'a fait une offre considérable. Avec un salaire plus bas que ce que je fais maintenant, mais avec des tâches qui m'intéressent. J'ai dû réfléchir, à m'en ronger les songes... Sur ce que je voulais faire avec cette offre. J'avais jusqu'à aujourd'hui pour donner des nouvelles. J'ai choisi de donner ma démission au CRFM et d'accepter le poste à la MFL. Je suis allée rencontrer l'équipe et Marco tout à l'heure. Ça s'est vraiment bien déroulé! Je sentais que j'arrivais dans un milieu où on m'attendait, au lieu d'être dans un endroit plein de jugement... Le pire dans tout ça c'est que je considère que je suis la pire au niveau du jugement que j'ai par rapport à moi.
Sinon, je me pose énormément de questions... J'ai répondu à un message courriel de ma mère. Elle voulait me donner une lettre et si je n'acceptais pas de la rencontrer, elle allait donner la tâche à ma soeur de me la remettre. Je ne veux pas que ma soeur soit mêlée à tout ça, donc, encore une fois, pour la protéger, je me mets en danger. J'ai écrit à ma mère que je ne voulais pas avoir de ses nouvelles et que je voulais qu'elle comprenne que toutes ses tentatives de contact me fragilisaient... Mais comme de fait, elle n'a pas compris. Elle m'a donc envoyé un autre message, me disant ce qu'elle me disait dans sa lettre. Que dans le fond, elle avait dénoncé Marc, mon oncle (le conjoint de sa soeur aînée Jocelyne), pour les agressions sexuelles qu'elle a vécues jeune. C'était quelque chose qui me rendait tellement irritable et que je trouvais incompréhensible... Que ma mère voit encore Marc, que mon père le protège au lieu de protéger ma mère. Puis là, bien elle l'a dénoncé... Mais du même coup, elle a appris la nouvelle à toutes ses soeurs, mes cousins et cousines... Ce qui m'a fait douter de son témoignage... Pas que ce n'est pas arrivé... Mais ma mère n'est pas proche de sa famille... Donc pourquoi en parler à des gens qui ne sont pas proches d'elle... Pourquoi demander à tout le monde de se positionner. J'ai trouvé cette information dérangeante. Elle m'a aussi écrit que Jocelyne et ses 4 enfants avaient choisi Marc et qu'ils avaient décidé de ne plus jamais rentrer en contact avec elle... J'ai beaucoup pleuré. Je ne comprenais plus rien... Qu'est-ce que ça voulait dire? Elle sait pour mon père, je lui ai dit. Elle veut que je dénonce... Mais va-t-elle faire comme Jocelyne...? Et ma soeur elle? En tout cas. Ça m'a fucké.
Sinon, j'ai un problème d'hyperprolactinémie, avec des symptômes physiques sur un sein... Genre une plaie, un bleu... Je dois aller passer une mammographie et une échographie mammaire. J'ai peur d'avoir le cancer...
Donc ça fait beaucoup. Malgré tout, je continue à essayer, jour après jour, de gérer mon anxiété et de rester forte.
Je viens écrire après plusieurs jours de silence.
Je viens faire un tour sur le forum très souvent, mais je crois que j'avais besoin d'une pause au niveau de l'écriture.
Je viens parce que j'ai réussi à avoir un rendez-vous avec une psychologue. Je ne sais pas si c'est comme ça en Europe, mais ici, au Québec, c'est super difficile de trouver un psychologue disponible. Les listes d'attente sont complètes, il est presque impossible de trouver quelqu'un qui aura de la place dans son caseload avant les 3 prochains mois. Je me sentais découragée. J'ai reçu des nouvelles d'une femme psychologue et neuropsychologue, spécialisée en EMDR. La dernière fois que j'ai voulu faire du EMDR, je vomissais à toutes les fois. J'ai hâte de voir ce que ça fera demain. Je ne me sens pas comme en 2012, lorsque j'avais essayé d'en faire avec ma psychologue qui me suivait pour des symptômes anxiodépressifs. Je ne savais même pas à ce moment-là pourquoi j'avais si peur et ce qu'il se passait dans mon inconscient... À quel point c'était explosif.
Je viendrai vous en reparler après.
Sinon, aujourd'hui, c'était une grosse journée.
Au début du mois de janvier, je suis arrivée dans le bureau de mon psychiatre, la veille de mon retour au travail, avec un pot de pilules rempli, et un grand sentiment de désespoir qui me donnait des idées suicidaires très fortes. Je venais de passer un temps des fêtes très difficile. J'ai eu la covid, mais ensuite, le temps que j'aurais dû passer chez mon amie Cath a changé de plan... Ce qui était prévu, c'était que je reste à Sherbrooke jusqu'au 7 janvier... Mais mon amie avait dit oui à d'autres personnes qu'à moi, faisant en sorte que je devais me trouver un endroit où habiter en urgence, un peu pendant mes 10 jours d'isolement de covid. Je m'étais sentie rejetée, ça l'a activé mon TPL. J'étais aussi malheureuse de mon choix de poste au travail, n'aimant pas travailler avec la clientèle de la petite enfance 0-5 ans... Et j'étais maintenant en charge de la halte garderie et d'un projet de maison des jeunes virtuelle auquel je ne croyais plus. Habitant dans une maison avec un couple de personnes bizarres, aux frontières floues.
Catherine et Érik étaient très gentils. Je m'étaient sentie accueillie chez eux, peut-être trop...
Mais au bout de quelques jours, je m'étais sentie très infantilisée. Ils cuisinaient pour moi, ils guettaient, je n'avais pas de place pour mettre mes choses au frigo. Je partageais leur salle de bain, attenante à leur chambre. Ils prenaient leur douche la porte ouverte. Ça n'a pas pris de temps avant que je me sente dans un contexte inconfortable. C'est comme si j'étais une enfant... Mais il y avait une relation d'adulte à adulte aussi et j'ai senti une ouverture de leur part comme s'ils étaient un couple ouvert. Érik m'écrit encore souvent... Bref,tout ça m'a fait décompenser et ma psychiatre de l'interne a préféré me garder à l'hôpital le temps que je puisse réintégrer mon appartement pour le début du mois de février.
Ça fait deux semaines que je suis rentrée chez moi. J'ai maintenant une coloc, Laurie. Mais j'ai un grand 4 1/2 donc ça fait l'affaire. Elle a pris la deuxième chambre. Je suis restée en arrêt de travail, je le suis encore. Je ne sais pas à 100% pourquoi, je crois qu'il faudra que je me penche là-dessus pour comprendre, mais je n'avais pas du tout envie de retourner sur mon emploi. Peut-être parce que je n'aimais pas mes tâches et que j'avais honte d'être encore en arrêt, d'être encore à l'hôpital... Que je savais ce qu'il se disait sur moi. Qu'on trouvait que j'étais instable et pas fiable... Que je changeais d'idées sans arrêt... J'aurais pu demander de retourner sur mon ancien poste de coordonnatrice de la maison des jeunes, mais j'avais le sentiment d'avoir perdu la face.
Il y a une semaine, j'ai signifié mon intérêt à Marco, mon ancien directeur de la Maison de la Famille où j'ai travaillé avant d'aller au CRFM, juste avant la pandémie, pour un poste de coordonnatrice des services intrascolaires 6-12 ans. Après une première discussion téléphonique, il m'a fait une offre considérable. Avec un salaire plus bas que ce que je fais maintenant, mais avec des tâches qui m'intéressent. J'ai dû réfléchir, à m'en ronger les songes... Sur ce que je voulais faire avec cette offre. J'avais jusqu'à aujourd'hui pour donner des nouvelles. J'ai choisi de donner ma démission au CRFM et d'accepter le poste à la MFL. Je suis allée rencontrer l'équipe et Marco tout à l'heure. Ça s'est vraiment bien déroulé! Je sentais que j'arrivais dans un milieu où on m'attendait, au lieu d'être dans un endroit plein de jugement... Le pire dans tout ça c'est que je considère que je suis la pire au niveau du jugement que j'ai par rapport à moi.
Sinon, je me pose énormément de questions... J'ai répondu à un message courriel de ma mère. Elle voulait me donner une lettre et si je n'acceptais pas de la rencontrer, elle allait donner la tâche à ma soeur de me la remettre. Je ne veux pas que ma soeur soit mêlée à tout ça, donc, encore une fois, pour la protéger, je me mets en danger. J'ai écrit à ma mère que je ne voulais pas avoir de ses nouvelles et que je voulais qu'elle comprenne que toutes ses tentatives de contact me fragilisaient... Mais comme de fait, elle n'a pas compris. Elle m'a donc envoyé un autre message, me disant ce qu'elle me disait dans sa lettre. Que dans le fond, elle avait dénoncé Marc, mon oncle (le conjoint de sa soeur aînée Jocelyne), pour les agressions sexuelles qu'elle a vécues jeune. C'était quelque chose qui me rendait tellement irritable et que je trouvais incompréhensible... Que ma mère voit encore Marc, que mon père le protège au lieu de protéger ma mère. Puis là, bien elle l'a dénoncé... Mais du même coup, elle a appris la nouvelle à toutes ses soeurs, mes cousins et cousines... Ce qui m'a fait douter de son témoignage... Pas que ce n'est pas arrivé... Mais ma mère n'est pas proche de sa famille... Donc pourquoi en parler à des gens qui ne sont pas proches d'elle... Pourquoi demander à tout le monde de se positionner. J'ai trouvé cette information dérangeante. Elle m'a aussi écrit que Jocelyne et ses 4 enfants avaient choisi Marc et qu'ils avaient décidé de ne plus jamais rentrer en contact avec elle... J'ai beaucoup pleuré. Je ne comprenais plus rien... Qu'est-ce que ça voulait dire? Elle sait pour mon père, je lui ai dit. Elle veut que je dénonce... Mais va-t-elle faire comme Jocelyne...? Et ma soeur elle? En tout cas. Ça m'a fucké.
Sinon, j'ai un problème d'hyperprolactinémie, avec des symptômes physiques sur un sein... Genre une plaie, un bleu... Je dois aller passer une mammographie et une échographie mammaire. J'ai peur d'avoir le cancer...
Donc ça fait beaucoup. Malgré tout, je continue à essayer, jour après jour, de gérer mon anxiété et de rester forte.
Re: Mon baluchon
Sinon, je me pose énormément de questions... J'ai répondu à un message courriel de ma mère.
*** Pourquoi vous poser des questions en choisissant toujours de mauvaises excuses, puisque vous savez que vous ne devez plus EN AUCUN CAS avoir une quelconque relation avec elle.
Vous savez qu'elle vous détruit.
Et mesurez bien que ce sera toute votre vie.
Sinon, acceptez cette épreuve. Assumez si c'est pour vous la solution la moins culpabilisante et la plus supportable. Mais réfléchissez SURTOUT comment ne plus vous en rendre malade.
*** Pourquoi vous poser des questions en choisissant toujours de mauvaises excuses, puisque vous savez que vous ne devez plus EN AUCUN CAS avoir une quelconque relation avec elle.
Vous savez qu'elle vous détruit.
Et mesurez bien que ce sera toute votre vie.
Sinon, acceptez cette épreuve. Assumez si c'est pour vous la solution la moins culpabilisante et la plus supportable. Mais réfléchissez SURTOUT comment ne plus vous en rendre malade.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Mon baluchon
3 jours plus tard, j'ai fait une période de dissociation dans laquelle j'ai fait un overdose, sans m'en rendre compte... je me suis ramassée hospitalisée, parce que j'ai pris 2 Rivotril de plus... ça en m'en rendant compte, sans savoir que j'en avais pris avant... je me sentais mal physiquement et psychologiquement. J'ai appelé le centre de crise, j'étais somnolente, je voyais flou... elle a appelé les urgences.
Elle a bien fait... j'ai dormi pendant presque 2 jours sans arrêt... on me disait que j'avais pris plus que 2 pilules mais je n'avais aucun souvenir de l'avoir fait... c'est plus tard que je me suis comme rendue compte que je ne savais plus du tout ce que j'avais fait ce matin là... dissociation...
Je cherchais la cause... parce que ça l'a été le début d'une période de désorganisation... intense... je voyais le changement d'emploi... mais j'avais oublié le message de ma mère. Comment j'ai pu mettre ça de côté...ça et avoir commencé une thérapie.
Bref, ça s'est dégradé... mon état... dans les dernières semaines. J'ai décompensé... je me suis mise à vouloir me rapprocher de la psychiatre de l'interne. Je me suis mise à fantasmer au fait que je voulais que ce soit elle ma maman... la meilleure manière de me rapprocher d'elle,c'était en allant pas bien... pire, en étant en crise, en me faisant du mal...
J'ai écrit un courriel à Dre Robichaud dans lequel j'arrivais à avoir de l'introspection. Je lui disais que j'avais besoin de m'enfuir d'elle et de ne pas pouvoir y accéder parce que j'allais gâcher ma vie. Elle en a parlé avec mon psychiatre de l'externe. Ils ont décidé que je ne pourrais plus jamais être hospitalisée à l'interne... donc ne plus avoir accès à Dre Robichaud... sauf qu'ils m'ont donné le droit de la voir aux 3 mois, en clinique externe, juste pour pas que je perde mon lien avec elle. Parce qu'ils reconnaissent que j'ai un lien important avec elle. Mais je ne sais pas à quel point c'est positif...
Elle a bien fait... j'ai dormi pendant presque 2 jours sans arrêt... on me disait que j'avais pris plus que 2 pilules mais je n'avais aucun souvenir de l'avoir fait... c'est plus tard que je me suis comme rendue compte que je ne savais plus du tout ce que j'avais fait ce matin là... dissociation...
Je cherchais la cause... parce que ça l'a été le début d'une période de désorganisation... intense... je voyais le changement d'emploi... mais j'avais oublié le message de ma mère. Comment j'ai pu mettre ça de côté...ça et avoir commencé une thérapie.
Bref, ça s'est dégradé... mon état... dans les dernières semaines. J'ai décompensé... je me suis mise à vouloir me rapprocher de la psychiatre de l'interne. Je me suis mise à fantasmer au fait que je voulais que ce soit elle ma maman... la meilleure manière de me rapprocher d'elle,c'était en allant pas bien... pire, en étant en crise, en me faisant du mal...
J'ai écrit un courriel à Dre Robichaud dans lequel j'arrivais à avoir de l'introspection. Je lui disais que j'avais besoin de m'enfuir d'elle et de ne pas pouvoir y accéder parce que j'allais gâcher ma vie. Elle en a parlé avec mon psychiatre de l'externe. Ils ont décidé que je ne pourrais plus jamais être hospitalisée à l'interne... donc ne plus avoir accès à Dre Robichaud... sauf qu'ils m'ont donné le droit de la voir aux 3 mois, en clinique externe, juste pour pas que je perde mon lien avec elle. Parce qu'ils reconnaissent que j'ai un lien important avec elle. Mais je ne sais pas à quel point c'est positif...
Re: Mon baluchon
C'est avec votre mère qu'il faut entreprendre un sevrage définitif.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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