Les bases de la communication non violente avec Rosenberg
Re: Les bases de la communication non violente avec Rosenber
merci Enora et jeannette
je vous promet de travailler sur les partages que vous avez fait
j'ai besoin de temps
merci
Enora : ou as tu mis ce poste sur noêl
je vous promet de travailler sur les partages que vous avez fait
j'ai besoin de temps
merci
Enora : ou as tu mis ce poste sur noêl
Re: Les bases de la communication non violente avec Rosenber
Justement Jeannette, peut être une "vérité" commune à toutes, mais des procédés différents.
Ici il s'agit pas d'"abattre un mur" derrière lequel sont maintenues les souffrances mais de "pacifier avec les gardiens".
Les mots employés sont toujours importants pour moi. Ils véhiculent soit de la tendresse , soit de la violence.
Après chacun fait son choix. (après tout certains disent qu'ils ont "besoin de se faire violence")
Ici il s'agit pas d'"abattre un mur" derrière lequel sont maintenues les souffrances mais de "pacifier avec les gardiens".
Les mots employés sont toujours importants pour moi. Ils véhiculent soit de la tendresse , soit de la violence.
Après chacun fait son choix. (après tout certains disent qu'ils ont "besoin de se faire violence")
Re: Les bases de la communication non violente avec Rosenber
Oui les mots sont importants. Ils sont des clefs qui ouvrent des portes. Ou qui, plus exactement et lorsqu'ils sont "pensés" et "ressentis" en même temps que "dits", recréent un lien entre inconscient et conscient, permettant le "passage" de certains ressentis (refoulements), leur libération, et stoppant leurs effets nocifs.
Quant à "pacifier avec le gardien" ou "abattre le mur renfermant nos ressentis" ou (dans mon cas) "se défaire de la camisole de force", ... Je crois que, quel que soit le mot, ce n'est jamais une "décision" de notre part. Tout au plus pouvons-nous tenter de rechercher l'état d'esprit qui le permet. Et, surtout, accepter tout ce qui accompagne ce moment.
J'avais regardé les vidéos de Padovani il y a déjà pas mal de temps. Outre que, dans de nombreux domaines, elle ne fait que reformuler les grandes lignes des théories freudiennes en en changeant simplement le vocabulaire, je ne la "rejoignais" que sur un point : l'éveil est un accident qui ne peut être provoqué, tout au plus peut-on se rendre au carrefour où il a le plus de chances de se produire... Encore une histoire de "chemin".
Là où je ne suis plus en accord, c'est que, souvent, la seule solution passe par le fait de s'interdire à soi-même ce que Mme Dubreuil appelait le "bénéfice secondaire". Et que je suppose qu'elle nommerait "céder à son gardien", ou équivalent. http://www.centreaide.com/fille-abusee- ... 83-20.html Ce qui me parait incompatible avec la "tendresse" et la "compassion" enseignés par Padovani car les souffrances à affronter sont effectivement douloureuses, violentes, etc. Si l'on ne recherche que tendresse et compassion, on reculera en permanence à l'abord de la souffrance, en se contentant de négocier... Et j'en ai vu trop d'exemples autour de moi (y compris chez des adeptes de Padovani qui me l'avait faite découvrir) pour ne pas savoir que le risque est réel.
Bref. Ce n'est qu'une opinion personnelle. Tu le devines, quitte à "sortir" de la psychanalyse au sens orthodoxe du terme, je me sens plus en accord avec les représentations alchimiques, bouddhistes (entre autres spiritualités) ou issues des anciennes écoles du mystère qu'avec cette représentation. Mais chacun la sienne. Et je suis persuadée que la solution passe, pour chacun, par le fait de trouver effectivement les bons "mots". St Exupery disait que "trouver sa vérité, c'est trouver son langage". Si tu trouves ta vérité avec les mots de Padovani, tant mieux.
Quant à "pacifier avec le gardien" ou "abattre le mur renfermant nos ressentis" ou (dans mon cas) "se défaire de la camisole de force", ... Je crois que, quel que soit le mot, ce n'est jamais une "décision" de notre part. Tout au plus pouvons-nous tenter de rechercher l'état d'esprit qui le permet. Et, surtout, accepter tout ce qui accompagne ce moment.
J'avais regardé les vidéos de Padovani il y a déjà pas mal de temps. Outre que, dans de nombreux domaines, elle ne fait que reformuler les grandes lignes des théories freudiennes en en changeant simplement le vocabulaire, je ne la "rejoignais" que sur un point : l'éveil est un accident qui ne peut être provoqué, tout au plus peut-on se rendre au carrefour où il a le plus de chances de se produire... Encore une histoire de "chemin".
Là où je ne suis plus en accord, c'est que, souvent, la seule solution passe par le fait de s'interdire à soi-même ce que Mme Dubreuil appelait le "bénéfice secondaire". Et que je suppose qu'elle nommerait "céder à son gardien", ou équivalent. http://www.centreaide.com/fille-abusee- ... 83-20.html Ce qui me parait incompatible avec la "tendresse" et la "compassion" enseignés par Padovani car les souffrances à affronter sont effectivement douloureuses, violentes, etc. Si l'on ne recherche que tendresse et compassion, on reculera en permanence à l'abord de la souffrance, en se contentant de négocier... Et j'en ai vu trop d'exemples autour de moi (y compris chez des adeptes de Padovani qui me l'avait faite découvrir) pour ne pas savoir que le risque est réel.
Bref. Ce n'est qu'une opinion personnelle. Tu le devines, quitte à "sortir" de la psychanalyse au sens orthodoxe du terme, je me sens plus en accord avec les représentations alchimiques, bouddhistes (entre autres spiritualités) ou issues des anciennes écoles du mystère qu'avec cette représentation. Mais chacun la sienne. Et je suis persuadée que la solution passe, pour chacun, par le fait de trouver effectivement les bons "mots". St Exupery disait que "trouver sa vérité, c'est trouver son langage". Si tu trouves ta vérité avec les mots de Padovani, tant mieux.
Si quelque chose s’oppose à toi et te déchire, laisse croître, c’est que tu prends racine et que tu mues. A. de St Exupery - Citadelle
Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter. K. Gibran
Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter. K. Gibran
Re: Les bases de la communication non violente avec Rosenber
juste pour vous dire que la je ne vous suit pas
mais bon j'essaierais plus tard
moi je cherche juste un moyen de me débarrasser des mes souffrances, celle que je subit et celle que je génère chez les autres.
a part la corde et le tabouret auquel j'ai définitivement renoncer, car j'ai décidé de renoncer à la violence.. faut faire quoi ?
je viens d'acheter pour madame, a lire a deux, 4 livres sur la communication non violente.. on a tous les deux a y gagner pour sûr.
et cela grâce a ce que vous avez partagée toutes les deux.
merci à vous deux.
c'etait juste un besoin de vous donner ma reconnaissance pour votre générosité dans vos approches.
mais bon j'essaierais plus tard
moi je cherche juste un moyen de me débarrasser des mes souffrances, celle que je subit et celle que je génère chez les autres.
a part la corde et le tabouret auquel j'ai définitivement renoncer, car j'ai décidé de renoncer à la violence.. faut faire quoi ?
je viens d'acheter pour madame, a lire a deux, 4 livres sur la communication non violente.. on a tous les deux a y gagner pour sûr.
et cela grâce a ce que vous avez partagée toutes les deux.
merci à vous deux.
c'etait juste un besoin de vous donner ma reconnaissance pour votre générosité dans vos approches.
Re: Les bases de la communication non violente avec Rosenber
Merci Unlui.
Des achats qui je l'espère t'apporteront ce que tu en attends.
Et par ailleurs élève de Rosenberg dont le travail porte sur "la communication non violente"?
Jeannette je me contente de partager ce qui marche pour moi, parce que ce langage me parle et agit, parce que j'aime partager.
Et je sais pour ma part que beaucoup de changements découlent de ma propre décision.
J'accepte que tu ressentes des doutes face à cette voie en particulier parce qu'elle ne résonne pas pour toi.
Il est possible que d'autres voies conviennent à d'autres personnes.
Des achats qui je l'espère t'apporteront ce que tu en attends.
Pourquoi ce "que" ? En quoi ce serait un mal d'être l'héritière des grandes voies de la psychanalyse en utilisant un autre langage?elle ne fait que reformuler les grandes lignes des théories freudiennes en en changeant simplement le vocabulaire
Et par ailleurs élève de Rosenberg dont le travail porte sur "la communication non violente"?
Jeannette je me contente de partager ce qui marche pour moi, parce que ce langage me parle et agit, parce que j'aime partager.
Et je sais pour ma part que beaucoup de changements découlent de ma propre décision.
J'accepte que tu ressentes des doutes face à cette voie en particulier parce qu'elle ne résonne pas pour toi.
Il est possible que d'autres voies conviennent à d'autres personnes.
Re: Les bases de la communication non violente avec Rosenber
Ai-je dit le contraire ?
Je ne rejette pas. Je dis et je répète : si cela te convient, tant mieux.
Le reste n'est que "perception" de ta part. J'expose mon point de vue, désolée si il ne correspond pas au tien. Mais débattre n'est pas combattre !
Je ne rejette pas. Je dis et je répète : si cela te convient, tant mieux.
Le reste n'est que "perception" de ta part. J'expose mon point de vue, désolée si il ne correspond pas au tien. Mais débattre n'est pas combattre !
Si quelque chose s’oppose à toi et te déchire, laisse croître, c’est que tu prends racine et que tu mues. A. de St Exupery - Citadelle
Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter. K. Gibran
Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter. K. Gibran
Re: Les bases de la communication non violente avec Rosenber
juste pour dire a jeannette que je ne regarde pas le doigt quand on me montre une étoile
donc quelque soit le moyen de me montrer, je ne confond pas le chemin et le but
merci
donc quelque soit le moyen de me montrer, je ne confond pas le chemin et le but
merci
Re: Les bases de la communication non violente avec Rosenber
Pour en revenir au sujet:
http://www.cnvformations.fr/
La CNV est une invitation à reconsidérer notre façon de nous exprimer, d’écouter et d’entrer en relation. Nous avons en effet tous expérimenté des manières joyeuses et authentiques d’être en relation avec nous-mêmes et avec les autres. Nous vivons également des situations moins satisfaisantes où nous sommes en conflit et doutons de notre capacité à trouver avec l’autre une relation harmonieuse et constructive.
La CNV nous propose dans ces situations une trame pour maintenir le dialogue ouvert et découvrir que les solutions aux conflits émergent de la qualité du dialogue et de la sincérité de l’intention. Les grandes lignes en sont :
• repérer ce qui, dans notre manière de penser et de communiquer, génère de l’opposition ou, au contraire facilite la communication et désamorce les conflits
• clarifier ce que nous vivons, notamment les enjeux ou besoins, et établir nos priorités parmi eux.
• s’exprimer de manière concise, avec des demandes claires
• décoder l’agressivité d’autrui, c’est à dire ne pas la prendre contre soi de manière à garder le dialogue ouvert
• écouter et développer une écoute empathique
Plus qu’un processus ou un langage, la CNV devient au fil du temps une invitation à concentrer notre attention sur ce qui est en jeu chez nous et chez l’autre, à réfléchir à notre intention : continuer à jouer à « qui à tort, qui a raison ? » ou bien (r)établir le lien ?
http://www.cnvformations.fr/
La CNV est une invitation à reconsidérer notre façon de nous exprimer, d’écouter et d’entrer en relation. Nous avons en effet tous expérimenté des manières joyeuses et authentiques d’être en relation avec nous-mêmes et avec les autres. Nous vivons également des situations moins satisfaisantes où nous sommes en conflit et doutons de notre capacité à trouver avec l’autre une relation harmonieuse et constructive.
La CNV nous propose dans ces situations une trame pour maintenir le dialogue ouvert et découvrir que les solutions aux conflits émergent de la qualité du dialogue et de la sincérité de l’intention. Les grandes lignes en sont :
• repérer ce qui, dans notre manière de penser et de communiquer, génère de l’opposition ou, au contraire facilite la communication et désamorce les conflits
• clarifier ce que nous vivons, notamment les enjeux ou besoins, et établir nos priorités parmi eux.
• s’exprimer de manière concise, avec des demandes claires
• décoder l’agressivité d’autrui, c’est à dire ne pas la prendre contre soi de manière à garder le dialogue ouvert
• écouter et développer une écoute empathique
Plus qu’un processus ou un langage, la CNV devient au fil du temps une invitation à concentrer notre attention sur ce qui est en jeu chez nous et chez l’autre, à réfléchir à notre intention : continuer à jouer à « qui à tort, qui a raison ? » ou bien (r)établir le lien ?
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