Oui, je mets ces propos entre guillemets car ils viennent d’une psychologue.
Je m’étais étonnée remarquer les gens à double visage très facilement. Intérieurement cela me mettait et me mets toujours très en colère qu’autrui ne veuille pas l’entendre : les gens ne veulent pas voir ce qui ne va pas dans le sens de la vie.
Je me souviens alors de ces propos de la « professionnelle » consultée il y a plusieurs années.
J’avoue avoir du mal à comprendre son raisonnement. J’analyse énormément, même sans le vouloir et j’aurais dit qu’ignorer ma partie reptilienne serait justement me mettre en danger.
« Si les gens n’analysent pas les autres c’est pour se protéger »
Re: « Si les gens n’analysent pas les autres c’est pour se protéger »
j’aurais dit qu’ignorer ma partie reptilienne serait justement me mettre en danger.
brr rr rr rr...
*** C'est mignon ça, est-ce que vous pouvez développer ?
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PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: « Si les gens n’analysent pas les autres c’est pour se protéger »
Depuis le plus longtemps que je me souvienne j’ai toujours considéré que le danger ne provenait pas du visible mais du vice, du caché.
Ainsi, je n’ai jamais compris pourquoi en entreprise ou à l’école on pouvait s’en prendre à une personne un peu rebelle, forte en bouche ou maladroite.
C’est la définition même de l’être humain la maladresse.
J’ai sympathisé un jour (ça remonte à des années et des années) avec une jeune femme qui m’avait au préalable bousculer alors que j’avais mon thé à la main. Elle s’était à peine excusée. C’était un test. Je l’ai senti, mais j’ai décidé de l’ignorer. Au fur et à mesure du temps je me suis engouffrée dans une pseudo relation amicale très toxique. J’ai surtout mis du temps à réaliser qu’elle portait un masque; la perversion étant sa nature principale.
Quelques années plus tard j’ai fait un malaise m’ayant conduit aux urgences. Dans le bloc je vois un infirmier rentrer et j’ai tout de suite un très mauvais pressentiment; sa façon d’être ne m’inspirant rien de bon. J’avais envie de lui dire de sortir et j’ai bien regretté de ne pas l’avoir fait pour avoir été agressée : il m’a touchée alors qu’il était juste censée faire une pose d’électrodes.
En 2017, je croise une personne dont j’apprendrai quelques jours plus tard qu’il s’agit d’un collègue de travail : j’ai éprouvé un grand malaise physique en le croisant. J’ai ressenti la même sensation dans le cadre du travail et surtout lorsqu’il est venu se présenter à moi : ça sonnait faux, je trouvais qu’il en faisait trop. Sa façon de parler n’était pas naturelle. J’ai toujours été polie avec lui, tout en restant très froide, en prenant mes distances. Un tas de collègues le voyaient comme étant « gentil ». En ce qui me concerne je le ressentais comme « calculateur » et narcissique (au sens pathologique du terme).
J’ai su qu’il allait essayer de me mettre des bâtons dans les roues et cela n’a pas loupé, même s’il a raté son coup.
C’étaient juste quelques exemples. Désolée pour l’expression, j’ai tapé à la hâte.
J’ai vécu avec un père extrêmement toxique, d’où cette partie animale que j’ai développée.
Ce n’est pas du paranormal contrairement à ce que cette psychologue me disait pour me décrédibiliser. C’est juste de l’observation poussée à son paroxysme.
Ainsi, je n’ai jamais compris pourquoi en entreprise ou à l’école on pouvait s’en prendre à une personne un peu rebelle, forte en bouche ou maladroite.
C’est la définition même de l’être humain la maladresse.
J’ai sympathisé un jour (ça remonte à des années et des années) avec une jeune femme qui m’avait au préalable bousculer alors que j’avais mon thé à la main. Elle s’était à peine excusée. C’était un test. Je l’ai senti, mais j’ai décidé de l’ignorer. Au fur et à mesure du temps je me suis engouffrée dans une pseudo relation amicale très toxique. J’ai surtout mis du temps à réaliser qu’elle portait un masque; la perversion étant sa nature principale.
Quelques années plus tard j’ai fait un malaise m’ayant conduit aux urgences. Dans le bloc je vois un infirmier rentrer et j’ai tout de suite un très mauvais pressentiment; sa façon d’être ne m’inspirant rien de bon. J’avais envie de lui dire de sortir et j’ai bien regretté de ne pas l’avoir fait pour avoir été agressée : il m’a touchée alors qu’il était juste censée faire une pose d’électrodes.
En 2017, je croise une personne dont j’apprendrai quelques jours plus tard qu’il s’agit d’un collègue de travail : j’ai éprouvé un grand malaise physique en le croisant. J’ai ressenti la même sensation dans le cadre du travail et surtout lorsqu’il est venu se présenter à moi : ça sonnait faux, je trouvais qu’il en faisait trop. Sa façon de parler n’était pas naturelle. J’ai toujours été polie avec lui, tout en restant très froide, en prenant mes distances. Un tas de collègues le voyaient comme étant « gentil ». En ce qui me concerne je le ressentais comme « calculateur » et narcissique (au sens pathologique du terme).
J’ai su qu’il allait essayer de me mettre des bâtons dans les roues et cela n’a pas loupé, même s’il a raté son coup.
C’étaient juste quelques exemples. Désolée pour l’expression, j’ai tapé à la hâte.
J’ai vécu avec un père extrêmement toxique, d’où cette partie animale que j’ai développée.
Ce n’est pas du paranormal contrairement à ce que cette psychologue me disait pour me décrédibiliser. C’est juste de l’observation poussée à son paroxysme.
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