Psychologue très ambivalente

Consultation psychologue : Séance chez le psy
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Amelie A
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Psychologue très ambivalente

Message par Amelie A »

Merci d’avance à tous ceux qui me liront.

J’ai consulté une psychologue de Juin 2020 à Décembre de la même année pour un trouble anxieux. Je lui ai dit d'emblée être une personne difficilement apaisée, ce qui n’a pas eu l’air de l’inquiéter plus que de raison.

Dès le début, elle m'a dit de lui faire part du moindre mot ou phrase pouvant me blesser. Elle m’avait aussi dit de ne pas hésiter à la rappeler en cas d’angoisse ou d’incompréhension d’une séance. A ce sujet, elle fait partie des rares personnes ayant autorisées les gens à l'appeler directement sur son numéro personnel en cas d’urgence.

J’ai dû souvent appeler, parfois pour des incompréhension : je n’ai pas supporté par exemple qu’elle parle de ma mère comme si il ne lui restait que très peu de temps à vivre.
Certes, elle a un cancer. Mais seul l’oncologue a son dossier médical.
Et cela lui est arrivé plusieurs fois de tenir des propos suscitant mon inquiétude...
Je rentrais et je ressassais.

Par ailleurs, elle était aussi très ambivalente : au téléphone elle annonçait par exemple qu’on devrait se voir une fois par semaine au lieu de deux fois par mois (sans toutefois rien préciser au sujet des modalités) et quand j’ai tenté de lui parler de la fréquence des rendez-vous son ton de voix a changé et elle est tombée des nues.
C’est arrivé sur d’autres sujets.

Un jour, elle m’appelle juste une heure avant la notre rendez-vous pour me dire son obligation et la mienne de porter le masque car « Doctolib » l’avait rappelé à l’ordre. ??? Ensuite, c’était son superviseur qui lui aurait dit qu’elle ne pouvait pas ne pas mettre le masque, même si nous étions à deux mètres l’une de l’autre.
Bref, fondamentalement je me suis pliée à sa règle, mais dans la forme je n’ai pas compris ses explications sans cesses changeantes.

J’avais l'impression d’avoir affaire à une girouette.

Malgré cela, je l’admirais. Je me suis attachée.
J’ai toujours ressenti le besoin de « demander pardon » pour tout et rien avec elle. Je me sentais en position d'infériorité. Peut-être que je ne me sentais pas dans un cadre assez sécurisé pour lui en parler.

Par ailleurs, j’ai eu le droit à tous les diagnostics, tous se contredisant. Au début j’étais dans la névrose car j’écris et étant dans la création à son sens on est dans la névrose.

Ensuite, je suis subitement passée dans la psychose (j’avoue ne pas lui avoir apporté d’éléments nouveaux entre temps) car un névrosé n’aurait jamais eu de sensation de liquide dans la jambe. Je lui ai parlé de mon trouble somatique et cette sensation m’est en effet déjà arrivée, mais rien à voir avec une sensation de liquéfaction. Un névrosé ne « ressasserait pas ».
Ensuite, lasse de ne pas comprendre elle m’a dit : « Vous êtes les trois ». Je commençais à en avoir marre de ses changements d’avis perpétuels et lui ai envoyé un sms en lui disant que contrairement à elle une autre thérapeute consultée dans une autre ville savait m’apaiser.
Elle n’a pas eu l’air d'apprécier et m’a répondu : « Là vous me parler de votre psy de ... avant vous me parliez de votre psy de ... » Je ne savais pas qu’il y avait des sujets tabous en thérapie ! Elle m’avait d’ailleurs dit que rien ne la choquerait et que je pouvais parler de tout.

Bref, ce jour là je ne suis ni névrosé ni dans les trois structures psychiques à la fois, mais je suis passée directement dans la psychose !
Elle me dit ce même jour « douter de ses compétences » et ne pas être « magicienne ». Je suis selon elle « sensible ».
Par ailleurs je serais « surdouée ». Je n’ai pas envie d’entendre cela et je ne me sens aucunement douée, encore moins « sur ».

Lors de cette dernière consultation elle m’a dit qu’elle ne m’appèlerait plus entre deux rendez-vous. Cependant, le lendemain j’ai fait une très sérieuse crise d’angoisse et elle n’a pas été là.

Je ne l’ai pas digéré, j’ai mis deux heures à avaler un sandwich. Elle m’a répondu qu’il fallait que j’ai un dialogue avec moi-même. Je crois que ce jour là j'étais partagée entre la volonté de continuer avec elle et l’envie d’arrêter : je lui ai envoyé trois messages auxquels je n’ai eu de réponse.

Deux jours plus tard, elle m’avait bloqué de sa liste de patients.

Pas moyen d’avoir une discussion avec elle à ce sujet, simplement un sms me disant que mes troubles ne relèveraient pas de la psychothérapie...

Je m’interroge en effet sur ce personnage très mielleux en apparence. Est-ce que son attitude était un écho à la mienne ?!


Enfin, elle se dit aussi « d’orientation psychanalytique », mais n’a jamais pu/su interpréter un seul de mes rêves. Alors, comme le reste, j’ai laissé tomber.

Je vais attendre quelques mois avant d’entamer à nouveau un suivi psy.
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Re: Psychologue très ambivalente

Message par Dubreuil »

Dès le début, elle m'a dit de lui faire part du moindre mot ou phrase pouvant me blesser.
***Cela ne se dit pas. Le psy écoute et ne répond pas, mais fait des liens et propose des interprétations que le patient accepte ou ne relève pas selon ce qu'il ressent.

Elle m’avait aussi dit de ne pas hésiter à la rappeler en cas d’angoisse ou d’incompréhension d’une séance. A ce sujet, elle fait partie des rares personnes ayant autorisées les gens à l'appeler directement sur son numéro personnel en cas d’urgence.
*** Cela est interdit dans l'éthique du psy. C'est une proposition considérée comme "séductrice"

J’ai dû souvent appeler, parfois pour des incompréhension : je n’ai pas supporté par exemple qu’elle parle de ma mère comme si il ne lui restait que très peu de temps à vivre.
*** Le psy ne porte aucun jugement, ni ne reprend les propos du patient pour donner un avis.

Certes, elle a un cancer. Mais seul l’oncologue a son dossier médical.
Et cela lui est arrivé plusieurs fois de tenir des propos suscitant mon inquiétude...
Je rentrais et je ressassais.
*** Le psy ne peut parler que des émotions de son patient, et le faire parler pour qu'il libère son angoisse sans jamais dire ses propres pensées ou sentiments.

Par ailleurs, elle était aussi très ambivalente : au téléphone elle annonçait par exemple qu’on devrait se voir une fois par semaine au lieu de deux fois par mois (sans toutefois rien préciser au sujet des modalités) et quand j’ai tenté de lui parler de la fréquence des rendez-vous son ton de voix a changé et elle est tombée des nues.
C’est arrivé sur d’autres sujets.
*** Avant de commencer une thérapie le psy et le patient se mettent d'accord sur le prix, la régularité des rendez-vous, et rien ne peut en être changé par la suite. C'est ce qui structure le patient et le structure dans une rigueur bienveillante.

Un jour, elle m’appelle juste une heure avant la notre rendez-vous pour me dire son obligation et la mienne de porter le masque car « Doctolib » l’avait rappelé à l’ordre. ??? Ensuite, c’était son superviseur qui lui aurait dit qu’elle ne pouvait pas ne pas mettre le masque, même si nous étions à deux mètres l’une de l’autre.
Bref, fondamentalement je me suis pliée à sa règle, mais dans la forme je n’ai pas compris ses explications sans cesses changeantes.
*** Le psy ne reçoit aucun ordre de qui que ce soit. C'est lui qui assume seul des erreurs et ses défaillances sans en faire porter le poids à son patient.

J’avais l'impression d’avoir affaire à une girouette.
*** Ce n'est pas une professionnelle.

Malgré cela, je l’admirais. Je me suis attachée.
J’ai toujours ressenti le besoin de « demander pardon » pour tout et rien avec elle. Je me sentais en position d'infériorité. Peut-être que je ne me sentais pas dans un cadre assez sécurisé pour lui en parler.
*** Elle est tout aussi perdue que vous parce que c'est une usurpatrice dangereuse dans ce qu'elle joue avec le psychisme de son patient.

Par ailleurs, j’ai eu le droit à tous les diagnostics, tous se contredisant. Au début j’étais dans la névrose car j’écris et étant dans la création à son sens on est dans la névrose.

Ensuite, je suis subitement passée dans la psychose (j’avoue ne pas lui avoir apporté d’éléments nouveaux entre temps) car un névrosé n’aurait jamais eu de sensation de liquide dans la jambe. Je lui ai parlé de mon trouble somatique et cette sensation m’est en effet déjà arrivée, mais rien à voir avec une sensation de liquéfaction. Un névrosé ne « ressasserait pas ».
*** Vos troubles étaient psychosomatiques, et n'ont rien à voir avec un diagnostic.
Le privilège du psy, c'est justement de ne pas se soucier des symptômes de son patient et de ne pas rentrer dans le nom d'une maladie psychique qui ne fait qu'emprisonner le patient dans un jugement lui intimant une croyance stupide et restrictive. Nul ne connait l'avenir d'un trouble mental.

Ensuite, lasse de ne pas comprendre elle m’a dit : « Vous êtes les trois ».
*** Vous voyez bien que ce n'est pas une psy.

Elle n’a pas eu l’air d'apprécier et m’a répondu : « Là vous me parler de votre psy de ... avant vous me parliez de votre psy de ... » Je ne savais pas qu’il y avait des sujets tabous en thérapie ! Elle m’avait d’ailleurs dit que rien ne la choquerait et que je pouvais parler de tout.
*** Un psy doit savoir manier " le contre-transfert " et comprendre que le patient vit à travers lui ses fantasmes, ses douleurs, etc... il n'est qu'un passeur, un témoin, c'est tout.

Elle me dit ce même jour « douter de ses compétences » et ne pas être « magicienne ». Je suis selon elle « sensible ».
*** Aucun psy ne parle ainsi. Elle n'est pas sûre d'elle, car elle n'a jamais fait de thérapie personnelle, et elle n'est pas psy.

Deux jours plus tard, elle m’avait bloqué de sa liste de patients.
*** Une folle dangereuse, tout simplement. Vous êtes très équilibrée pour avoir résisté à tant de bêtise et de manipulation.

Je m’interroge en effet sur ce personnage très mielleux en apparence. Est-ce que son attitude était un écho à la mienne ?!
*** Oui.

Enfin, elle se dit aussi « d’orientation psychanalytique », mais n’a jamais pu/su interpréter un seul de mes rêves.
*** Bien sûr, puisque c'est un charlatan !

Je vais attendre quelques mois avant d’entamer à nouveau un suivi psy.
*** Vous êtes tombée sur une femme dangereuse et malhonnête. La prochaine fois renseignez-vous
n'ayez pas peur de demander le numéro ADELI pour bien savoir si le psy est inscrit en qualité de psy reconnu.

Et si vous avez des questions à me poser n'hésitez pas.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Amelie A
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Re: Psychologue très ambivalente

Message par Amelie A »

Whaou, merci pour toutes ces réponses !

Cette dame est à la base psychologue pour enfants, même si elle travaille aussi avec d’autres publics. Elle est sur « Doctolib » et possède un numéro ADELI. Elle m’a dit dès le début qu’elle avait fait un travail sur elle.

J’ai eu confiance, un peu moins par la suite.

L’histoire du port du masque n’est qu'anecdotique : je voulais surtout illustrer son côté « girouette » avec cet exemple parmi tant d’autres. Je me suis pliée à sa limite, j’ai accepté sa règle. Seulement, sa repartie m’a interpellée : « J’ai été à l’écoute ». Sans être une très grande analyste l’emploi de ce passé signifie donc qu’elle n’y ai plus.

C’est « marrant » que vous me parliez de son côté séductrice car j’avais repéré ça chez elle dès le début. Rien que sa voix est mielleuse.

Cependant, j’ai choisi d’ignorer cet aspect en me disant que je devais lui faire confiance. Elle aussi m’a à un moment qualifiée de « charmeuse lors d’une séance  ». Euuuh, loin de moi l’idée de « charmer » un(e) thérapeute. Je ne lui ai pas demandé ce qu’elle entendait par là. J’aime bien être apprêtée. C’est sûrement de là que vient son terme de « charmeuse ».
Et je ne dirais rien sur un commentaire qu’elle a failli faire sur mon physique. J’ai trouvé cela assez perturbant.
Quoi qu’il en soit, il n’y a jamais eu aucune ambiguïtés. Cette femme vit avec un homme (il me semble du moins) et ses enfants ont plus de 25 ans.

En parlant de « danger », elle m’a appelée plus de 40 minutes au mois d’Août pour déplacer un rendez-vous. Fondamentalement sa demande semblait anodine : intervertir mon horaire avec celui d’un autre patient. Je m’y étais pliée.
Elle en a profité pour me demander des nouvelles et m’a glissé par trois fois : « Comment allez vous ? ». Je sentais des pleurs dans sa voix. J’ai trouvé cela ...curieux. J’ai donc fini par lui dire : « Vous avez une voix bizarre ». Était-ce une perche tendue ? Je ne saurais l’affirmer. Elle a eu l’air surpris et m’a répondu : « Ah oui, vous avez remarqué ? Je suis tombée de cheval pendant mes vacances. J’ai mal au dos ».

Et l’appel qui aurait dû durer trois minutes maximum s’est prolongé. Elle m’a mise en garde à un moment : « Méfiez-vous, il y a beaucoup de psys cinglés ». C’était après lui avoir parlé d’un psychologue sur un réseau social me paraissant très obscure (il parle notamment de « notre goût pour l’apocalyse » ou du côté sombre du bonheur).
J’avoue que cet appel m’a laissé perplexe. Après tout, un sms n’aurait t-il pas fait l’affaire ?

Je me suis demandée si ce n'était pas dû au fait de ne pas l’avoir appelée.

Je ne saurais dire si la démarche était séductrice. Avec le recul je ne trouve pas cela très sain.

Peut-on parler d’une forme de manipulation ou bien le terme est t-il ici galvaudé ? Quant à psychose et douée c’étaient à mon sens sortis de nul part : rien n’était étayé. Elle m’a juste dit : vous êtes peut-être Sur**** parce que vous vous sentez toujours intellectuellement inférieure aux autres. C’est un gros raccourci. Je suis juste humble et consciente de mes limites.

Quoi qu’il en soit le terme surdoué n’a rien d’un diagnostic. Je me suis juste demandée le bien fondée d’un tel terme.

Entre ses mots et ses actes se tenait un gouffre !
Si elle n’était pas censée « jugée », elle a tout de même dit que ma mère avait ce deuxième cancer du sein parce qu’elle n’avait pas réussi à être mère ! Peut-être suis-je la seule à trouver ses mots assez accusateurs. Je ne saurais l’imputer à une quelconque maladresse car elle l’a à nouveau affirmé lors d’une autre séance.

Je ne pourrais « entendre certaines choses » : oui, parler de l'éventualité du décès de ma mère du cancer ne l’était pas. Et je trouvais juste inapproprié de me relancer plusieurs fois sur ce sujet. Je ne sais pas si c’était de la maladresse.

Enfin, je réalise l’avoir idéalisée : votre message me fait juste confirmer certaines impressions à posteriori. Je l’ai placée trop haut dans mon estime.

Merci pour votre lecture attentive.
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Re: Psychologue très ambivalente

Message par Dubreuil »

Cette dame est à la base psychologue pour enfants, même si elle travaille aussi avec d’autres publics. Elle est sur « Doctolib » et possède un numéro ADELI.
*** A quel titre, et sur quel diplôme ?
Peut-être sur des cours par correspondance et un certificat d'assiduité
c'est en effet scandaleux et puni par la loi**

Quoi qu’il en soit, il n’y a jamais eu aucune ambiguïtés.
*** Vous ignorez tout d'elle. Ne vous fiez jamais aux apparences. La preuve !

Elle m’a mise en garde à un moment : « Méfiez-vous, il y a beaucoup de psys cinglés ».
*** pour détourner son incompétence.

C’était après lui avoir parlé d’un psychologue sur un réseau social me paraissant très obscure (il parle notamment de « notre goût pour l’apocalyse » ou du côté sombre du bonheur).
*** Pourtant c'est vrai !

Peut-on parler d’une forme de manipulation ou bien le terme est t-il ici galvaudé ?
*** Si vous posez cette question c'est que vous n'avez pas bien lu mon post précédent.

Quoi qu’il en soit le terme surdoué n’a rien d’un diagnostic. Je me suis juste demandée le bien fondée d’un tel terme.
*** Faites les tests de QI avec un psy si cela vous interpelle.

Entre ses mots et ses actes se tenait un gouffre !
Si elle n’était pas censée « jugée », elle a tout de même dit que ma mère avait ce deuxième cancer du sein parce qu’elle n’avait pas réussi à être mère ! Peut-être suis-je la seule à trouver ses mots assez accusateurs. Je ne saurais l’imputer à une quelconque maladresse car elle l’a à nouveau affirmé lors d’une autre séance.
*** Vous ne m'avez pas lu sérieusement. Dommage.




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Amelie A
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Re: Psychologue très ambivalente

Message par Amelie A »

Merci à nouveau pour ces réponses.

Si, j’avais lu, mais peut-être trop vite ;)

Oui, elle n’avait pas à donné ses impressions concernant ma mère. Et concernant la manipulation c’en était aussi une forme.

En effet, il ne faut jamais se fier aux apparences. Dans la vie, je suis la première à le dire et à le faire pourtant ! J’essaye toujours d’aller au-delà. Mais là le contexte était différent. Je me suis laissée « emportée ».
Je suis prudente dans la vie, je ne fais pas facilement confiance.

Je ne la connaissais pas, c’est exact. Merci pour ce rappel 😉
Je ne peux donc rien affirmer.

Quant au fait de m’avoir dit de me méfier des psychologues (parce qu’il y a « beaucoup de cinglés parmi les psys) je valide votre réponse.

Merci de m’avoir lue.
Amelie A
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Re: Psychologue très ambivalente

Message par Amelie A »

Je me demandais si faire ses consultations à domicile étaient autorisées.
C’est son cas et la première fois j’ai été assez surprise.

Merci de m’avoir lue.
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: Psychologue très ambivalente

Message par Dubreuil »

Non, c'est le patient qui doit se déplacer dans le lieu neutre du cabinet du psy.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Amelie A
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Re: Psychologue très ambivalente

Message par Amelie A »

Donc si j’ai bien compris elle était « hors la loi » puisqu’elle faisait ses consultations dans son salon. Je me suis d’ailleurs toujours demandée comment faisaient ses proches pour sortir.
Dubreuil
Psychologue clinicien
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Inscription : 03 août 2012, 17:28

Re: Psychologue très ambivalente

Message par Dubreuil »

Pour moi, c'est bon, j'ai répondu professionnellement à vos questions principales.
Je comprends que vous avez besoin de revenir sur votre passé et mesurer l'énormité du charlatanisme de votre " ex-psy ", mais ce n'est pas à moi de partager complaisamment des situations où vous me demandez encore de vous convaincre que vous avez été dupée, alors que je n'ai fait que vous en donner les évidences adaptées.
Evitez maintenant les bénéfices secondaires de votre épreuve qui est terminée.
Passez à autre chose.
Bien à vous
Bonne année 2021
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Amelie A
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Inscription : 29 déc. 2020, 14:41

Re: Psychologue très ambivalente

Message par Amelie A »

Je n’aurais justement jamais osé parler de « charlatanisme ».

Et j'ai aussi été ambivalente.

Merci de m’avoir répondu professionnellement.

Bonne année 2021 !
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