Bonjour,
La vie est parsemée d’épreuves, parfois même de blessures aussi. Certaines guérissent seules, d’autres continuent à supputer malgré le temps qui passe.
Pour les aider à cicatriser j’ai il y a longtemps consulté des professionnels : psychiatres et psychologues. Mon investissement dans ces thérapies n’aura été que minime : ma présence était aléatoire. Presque systématiquement j’abandonnais tout au bout de deux séances, bien entendu sans en informer le thérapeute.
Plus récemment, suite à un problème professionnel, j’ai fait appel au psychologue du travail de mon entreprise. Il m’a rapidement informée de son objectif : m’orienter vers un psychologue de ville plus à même de m’accompagner dans les difficultés rencontrées.
Au bout de deux séances, j’ai voulu tout arrêter. Il est plus difficile de partir sur la pointe des pieds quand on est amené à croiser le thérapeute dans les couloirs. Je lui ai donc adressé un mail l’informant de ma décision d’arrêter le suivi. Suite à sa réponse j’ai changé mon fusil d’épaule et poursuivi les séances avec lui.
Étonnamment, et pour la première fois, j’ai toujours été présente physiquement et mentalement à tous les rendez-vous. Puis ma situation s’est apaisée. La décision a été prise d’arrêter le suivi. Un arrêt du suivi à l’initiative du thérapeute et non du mien, en voilà une nouveauté. Même si cette nouveauté n’a pas été agréable. Je l’ai revu ponctuellement par la suite.
Plus récemment et en parallèle j’ai pris la décision de consulter un psychologue clinicien. Les mauvaises habitudes reviennent au galop : je ne me suis jamais présentée au 3ème rendez-vous. Cela ne m’empêche pas de rester dans la contemplation d’un potentiel suivi, de regarder, choisir quel thérapeute solliciter.
Ma situation professionnelle a évolué. Elle s’est assainie, même si le défaut de confiance et d’affirmation de soi continuent restent une gène certaine. J’ai envie de faire un point de cette situation avec le psychologue du travail. Mais encore et surtout de prendre un rendez-vous auquel je ne me présenterai pas…
Qu’est-ce qu’il peut bien se passer dans ma tête ?
Une mauvaise idée
Re: Une mauvaise idée
Simple extrapolation de ma part, désolée. Il se trouve que les deux psy qui m’ont été conseillés par mon entourage sont cliniciens.
Re: Une mauvaise idée
Ce n'est pas une réponse qui fait comprendre votre choix, en avez-vous une autre ?
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: Une mauvaise idée
J’ai été voir un psychologue pour donner suite aux conseils du psychologue du travail. Parce que je sais pertinemment que des événements de mon passé pèsent sur mes épaules et m’empêchent d’avancer comme je le voudrais. J’ai besoin de trouver des solutions pour aller de l’avant, pour réussir à me retrouver.
Re: Une mauvaise idée
Par exemple, Hypnothérapeute humaniste près de chez vous, ou pour vous renseigner-Tél : 06 61 80 53 18
https://hypnotherapeutehum.wixsite.com/website
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PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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