FRIENDZONE mais pas tout à fait
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FRIENDZONE mais pas tout à fait
Voilà je suis lycéens et je suis enfin tomber amoureux d'une fille mais c'est n'est pas à quoi vous pouvez vous attendre.Je l'ai rencontré l'année dernière et je sentais qu'elle m'aimait Beaucoup de sourire et moi je ferais un peu le con , je l'ai sentais pas plus qu'une amie. Et cette année J'ai compris que je l'aimais alors je suis aller avec confiance et lui dire je t'aime et elle ne m'a pas répondu elle m'a juste donner un sourire et ce n'est seulement que par écrit qu'elle m'a dit je t'aime comme ami , et nous sommes Dans la même classe Et elle me cherche parfois le me surnomme avec un nom mignon et elle me sourit beaucoup et me dit même je t'aimes en blaguant quand j'ai raconter tout ça à ma Psy elle m'a dit que cette fille m'aimait mais qu'elle veux être sûr que j'ai des vrais sentiments alors s'il vous plaît conseiller moi dites moi ce qu'il faut faire
Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
Avis d'un étudiant:
Ne te laisse pas trop submerger par tes sentiments.
Reste celui que tu es par ton humour, tes avis personnels,...
Une fille a besoin d'un homme qui reste sur ces pieds (qui sait qui il est et ce qu'il veut).
Si vous êtes fais l'un pour l'autre, elle finira par craquer
Ne te laisse pas trop submerger par tes sentiments.
Reste celui que tu es par ton humour, tes avis personnels,...
Une fille a besoin d'un homme qui reste sur ces pieds (qui sait qui il est et ce qu'il veut).
Si vous êtes fais l'un pour l'autre, elle finira par craquer
Je ne suis pas psychologue
Si vous n'avez pas de réponse á votre sujet sous 30h, vous pouvez envoyer un "up" sur votre sujet.
Si vous n'avez pas de réponse á votre sujet sous 30h, vous pouvez envoyer un "up" sur votre sujet.
Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
Il est probable qu'elle te fasse mijoter un peu. Les étudiants font souvent ça.
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Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
Marasqui a écrit :Avis d'un étudiant:
Ne te laisse pas trop submerger par tes sentiments.
Reste celui que tu es par ton humour, tes avis personnels,...
Une fille a besoin d'un homme qui reste sur ces pieds (qui sait qui il est et ce qu'il veut).
Si vous êtes fais l'un pour l'autre, elle finira par craquer
MERCI DE TON CONSEILMarasqui a écrit :Avis d'un étudiant:
Ne te laisse pas trop submerger par tes sentiments.
Reste celui que tu es par ton humour, tes avis personnels,...
Une fille a besoin d'un homme qui reste sur ces pieds (qui sait qui il est et ce qu'il veut).
Si vous êtes fais l'un pour l'autre, elle finira par craquer
Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
*** Changez de psy !UNDERTAKER a écrit : quand j'ai raconter tout ça à ma Psy elle m'a dit que cette fille m'aimait mais qu'elle veux être sûr que j'ai des vrais sentiments alors s'il vous plaît conseiller moi dites moi ce qu'il faut faire
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
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Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
Merci de me dire la vérité en faceDUBREUIL a écrit :*** Changez de psy !UNDERTAKER a écrit : quand j'ai raconter tout ça à ma Psy elle m'a dit que cette fille m'aimait mais qu'elle veux être sûr que j'ai des vrais sentiments alors s'il vous plaît conseiller moi dites moi ce qu'il faut faire
Mais vous n'avez pas un Autres PUTAIN de conseils
Je déteste les insultes envers les autres et encore moi derrière un écran je trouve que ces pour les lâches
Mais c'est tout ce que vous pouvez me dire Si je suis entrain de demander conseil sur Internet ce que j'ai conscience que mon psy n'est pas terrible
Mais c'est parce que elle ne me coût pas chère contrairement aux autres et je ne suis pas Riche loin delà
Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
Une " vraie " psy ne donne JAMAIS un avis quelconque à son patient. Son rôle est SURTOUT de rester neutre ! Elle l'accompagne dans LE POURQUOI de son questionnement.
Après c'est vous qui voyez.
Après c'est vous qui voyez.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
Ah ben oui, c'est nettement mieux de payer " pas cher " un charlatan, que de mettre le prix pour aller mieux !UNDERTAKER a écrit :Si je suis entrain de demander conseil sur Internet ce que j'ai conscience que mon psy n'est pas terrible
Mais c'est parce que elle ne me coût pas chère contrairement aux autres et je ne suis pas Riche loin delà
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
DUBREUIL a écrit :J'ai relu le message ci-dessus, et j'en profite pour parler des " soi-disant thérapies en ligne", souvent pratiquées par des " soi-disant professionnels ". Ainsi que " pourquoi il est nécessaire de " payer " sa thérapie .
Potentiellement attrayante, la thérapie en ligne n'est quasi pas pratiquée par les « vrais » psychologues.
Très peu de psychologues ou de psychiatres pratiquent cet outil souvent proposé par des professionnels au profil parfois douteux. Alors, avant de vous laisser séduire par certains arguments chocs qui peuvent être avancés, ou une facilité évidente, prenez le temps d'une réflexion.
De plus en plus de sites vous déploient des trésors de séduction et d'imagination pour vous inviter à vous engager dans des séances de thérapie en ligne. Si des contacts en ligne peuvent se justifier dans certaines situations ( déplacement à l'étranger, impossibilité de quitter le domicile, handicap, tout premier contact pour se renseigner, etc. ), la thérapie en ligne reste injustifiée.
Il est probablement possible d'envisager des diagnostics ou pré-diagnostics médicaux par téléphone, ce qui d'ailleurs se fait déjà au niveau de certains services de garde afin de mieux dispatcher les patients (médecin de garde, urgences). Cela signifie-t-il pour autant qu'il faille se passer d'une visite chez le médecin ?
Pour faire du bon boulot avec un psychologue, il faut être motivé. Nous pourrions le paraphraser comme suit : il faut absolument se bouger. Se rendre chez un psychologue, c'est également s'exposer, prendre un risque. Là aussi se mesure la motivation au changement.
Le travail à distance n’est souvent rien moins qu'une manière de ne pas s'engager, de ne pas s'exposer, et finalement de ne pas aller mieux.
La question du cadre, essentielle, se trouve également mise à mal. Le cadre est beaucoup plus difficile à poser si vous êtes chez vous, interrompu, et qui sait aussi, ce cadre n'intéresse peut-être tout simplement pas le "professionnel" qui vous répond.
Toute personne ayant des connaissances minimales en communication vous le dira: un aspect essentiel du contact entre deux personnes est lié à la communication non verbale. ( présence de l’interlocuteur, émotions, etc… ) Toutes ces informations, webcam ou pas webcam, sont beaucoup moins disponibles, dans un sens comme dans l'autre (patient psy et psy patient).
La thérapie à distance n’existe pas, ce sont des entretiens, rien de plus.
Vérifiez qui se trouve au bout du fil ou derrière l'ordinateur. Quelle est sa formation? Appelez-vous une personne spécifique au profil et à la formation bien définie, ou un numéro d'appel général vous parlant, par exemple, de professionnels certifiés (ce qui ne veut soyons très clairs absolument rien dire) vous répondant anonymement ?
Un cadre clair est-il fixé? Des durées précises envisagées? Une ponctualité respectée? Comment saurez-vous si votre interlocuteur semble 100% présent dans l'entretien? Si quelqu’un n’est pas à côté de lui et fait des recherches sur vous ? Si on ne se moque pas de vous en profitant de des détails que vous donnez, etc, etc…
Prudence ! Méfiance ! Intelligence !
Protocole premier d’une consultation
C’est souvent la première rencontre qui inaugure l’adhésion ou non à une thérapie. On ne livre pas son âme n’importe où, et à n’importe qui.
Chaque personne est suffisamment « abîmée » pour qu’au moins réparation lui soit faite dans un endroit « respectueux », uniquement destiné à sa venue.
Une pièce feutrée, meublée sobrement, pour que sa parole y prenne toute la place.
Et que quand elle revienne, elle soit assurée de retrouver tout à la même place. Rien en moins, et rien en plus.
Un fauteuil pour le thérapeute, assis à côté ou derrière le patient, ou près du bureau.
Le bureau, car il est parfois utile que quelque chose " de réel " sépare le patient de son thérapeute. Fasse barrière. Aide à l’indépendance. Coupe symboliquement la symbiose. Permette au patient de ne pas se sentir agressé. Intime le fait qu’il est différent de l’autre...
Tout le mobilier réel symbolise le matériel psychique. Une pièce que l’on range, et c’est dans notre tête que l’on cherche aussi à mettre nos idées en place.
Chaque objet est investi par le patient dans une charge émotionnelle qui ne doit pas le détourner de ses propres associations d’idées, ses propres fantasmes.
Les repères matériels sont des repères symboliques.
Un vêtement oublié par quelqu'un, un objet qui rappelle une autre présence, un mouchoir qui traîne, une odeur, et le patient peut ne pas se sentir attendu.
PSYCHOLOGUE CLINICIEN - ANALYSTE
Re: FRIENDZONE mais pas tout à fait
Mais avant, ce que j'entends, ou que je lis souvent, de la part des personnes qui voudraient bien.. mais n'osent pas !
" J’ai peur d’aller encore plus mal si je vais voir un psy !"
Se sentir délogé de soi-même par un(e) inconnu(e) qui ne parle pas " notre langue ", se retrouver décalé(e) dans ses propres certitudes ou croyances, peut nous sembler en effet insupportable.
On a peur d'aller jusqu'à la sensation de chaos, de perdre les repères que l'on s'était construits pour survivre à notre douleur morale.
La " résistance " mise en opposition au travail thérapeutique est une façon désespérée de repousser le spectre de la perte de notre identité, la terreur que nos propres remparts bétonnés sur un sol mouvant, ne se dérobent sous nos pieds, et que plus rien ne soit là pour nous préserver de ce que nous appelons trop vite, et bien à tort, " la folie " !
Pourtant, est fou celui qui ne sait pas qu'il est fou, qui croit que ce sont les autres qui le sont.
Ainsi donc, si nous pouvons parler du pire, n'est-ce pas parce qu'il est derrière nous, et que le meilleur serait à venir ?
" J’ai peur d’aller encore plus mal si je vais voir un psy !"
Se sentir délogé de soi-même par un(e) inconnu(e) qui ne parle pas " notre langue ", se retrouver décalé(e) dans ses propres certitudes ou croyances, peut nous sembler en effet insupportable.
On a peur d'aller jusqu'à la sensation de chaos, de perdre les repères que l'on s'était construits pour survivre à notre douleur morale.
La " résistance " mise en opposition au travail thérapeutique est une façon désespérée de repousser le spectre de la perte de notre identité, la terreur que nos propres remparts bétonnés sur un sol mouvant, ne se dérobent sous nos pieds, et que plus rien ne soit là pour nous préserver de ce que nous appelons trop vite, et bien à tort, " la folie " !
Pourtant, est fou celui qui ne sait pas qu'il est fou, qui croit que ce sont les autres qui le sont.
Ainsi donc, si nous pouvons parler du pire, n'est-ce pas parce qu'il est derrière nous, et que le meilleur serait à venir ?
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